L'actualité du Marketing Internet

Des chercheurs am?ɬ�ricains travaillent sur une proth?ɬ�se ?ɬ�lectrique qui permettrait ?ɬ� des malvoyants de distinguer lumi?ɬ�re et objets. Le dispositif entame une nouvelle phase de tests cliniques avant commercialisation.

Voil?ɬ� cinq ans maintenant, depuis 2002, que le professeur Mark Humayun de l'Universit?ɬ� de Californie du Sud et ses ?ɬ�quipes travaillent sur la mise au point de cette proth?ɬ�se optique. C'est un syst?ɬ�me qui repose sur l'interaction entre une cam?ɬ�ra, un bo?ɬ�tier de transmission, un r?ɬ�cepteur et un implant r?ɬ�tinien.

Ainsi, lorsque la micro-cam?ɬ�ra fix?ɬ�e sur une paire de lunettes filme une tasse ?ɬ� caf?ɬ�, elle transmet son image ?ɬ� un petit bo?ɬ�tier install?ɬ� ?ɬ� la ceinture du patient. Cette image est convertie en signaux ?ɬ�lectriques, puis renvoy?ɬ�e ?ɬ� distance ?ɬ� un r?ɬ�cepteur plac?ɬ� ?ɬ� la surface de l'oeil. Charge ensuite ?ɬ� ce r?ɬ�cepteur de transmettre les signaux, via un micro-c?ɬ�ble, ?ɬ� l'implant install?ɬ� sur la r?ɬ�tine.

L'implant r?ɬ�tinien va jouer ici le r?ɬ�le de stimulateur. Comme le feraient les photor?ɬ�cepteurs d'une r?ɬ�tine saine, ses ?ɬ�lectrodes vont stimuler le nerf optique pour permettre au cerveau de percevoir l'image film?ɬ�e initialement par la cam?ɬ�ra. Dans sa description, le processus peut para?ɬ�tre long et d?ɬ�coup?ɬ�, mais tout se fait en temps r?ɬ�el selon ses concepteurs.

Une mise sur le march?ɬ� en 2009

Et apparemment les premiers r?ɬ�sultats ont d?ɬ�pass?ɬ� les espoirs des scientifiques. ?Ǭ� C'?ɬ�tait surprenant de constater ce que nos 6 premiers patients ?ɬ�taient capables de faire ?ɬ� l'aide de 16 pixels ou ?ɬ�lectrodes ?Ǭ�, pr?ɬ�cise Mark Humayun. ?Ǭ� Ils pouvaient d?ɬ�tecter la lumi?ɬ�re ou m?ɬ�me distinguer des objets telle une tasse ou une assiette. ?Ǭ�

La nouvelle version de cet "oeil bionique", baptis?ɬ� Argus II, devrait permettre d'aller encore plus loin. Plus petite, la proth?ɬ�se sera dot?ɬ�e de 60 ?ɬ�lectrodes qui devraient donc transmettre une image plus pr?ɬ�cise. Elle va maintenant subir des tests cliniques pendant une ou deux ann?ɬ�es sur une cinquantaine de patients ?ɬ�ges de plus de 50 ans et atteints de troubles graves de la vue.

En fonction des r?ɬ�sultats des travaux, Argus II pourrait ?ɬ�tre mis sur le march?ɬ� am?ɬ�ricain en 2009, au prix estim?ɬ� de 30 000 dollars. Le produit serait alors le premier ?ɬ� r?ɬ�pondre aux probl?ɬ�mes des personnes atteintes de c?ɬ�cit?ɬ�. Les aveugles pourraient en profiter, sans pour autant b?ɬ�n?ɬ�ficier d'une acuit?ɬ� visuelle parfaite.

Argus II n'est pas le seul projet de ce genre. Plusieurs ?ɬ�quipes de chercheurs dans le monde travaillent sur des dispositifs plus ou moins diff?ɬ�rents, mais avec le m?ɬ�me objectif : permettre de recouvrer la vue. En France, selon une ?ɬ�tude r?ɬ�alis?ɬ�e par l'INSEE en 2005, on d?ɬ�nombrerait plus de 1,1 million d'aveugles et malvoyants. Et dans le monde, selon Mark Humayun et ses collaborateurs, ce sont 25 millions de personnes qui seraient devenues aveugles, victimes de d?ɬ�g?ɬ�n?ɬ�rescence r?ɬ�tinienne.

Source: News.

Officiellement op?ɬ�rationnel depuis le 1er janvier 2007, le centre NeuroSpin va repousser les limites de la neuro-imagerie et permettre de mieux comprendre le fonctionnement du cerveau. Objectif : pr?ɬ�voir les perturbations ?ɬ� l'instar d'un mod?ɬ�le m?ɬ�t?ɬ�orologique.

?Ǭ� Nous ne savons pas vraiment comment fonctionne le cerveau. Il est d?ɬ�j?ɬ� souvent trop tard lorsque l'on voit le signe de la maladie d'Alzheimer sur un scanner. Il faut anticiper. ?Ǭ� Ce constat relay?ɬ� par Denis le Bihan, directeur de NeuroSpin, justifie ?ɬ� lui seul la mise en service du tout nouveau centre d?ɬ�di?ɬ� aux recherches en mati?ɬ�re de neuro-imagerie c?ɬ�r?ɬ�brale par r?ɬ�sonance magn?ɬ�tique nucl?ɬ�aire en champ intense. D?ɬ�pressions, Parkinson, Alzheimer, huntington, ?ɬ�pilepsie, schyzophr?ɬ�nie, autisme, addictions, les maladies du cerveau sont en passe de devenir les premiers maux des soci?ɬ�t?ɬ�s d?ɬ�velopp?ɬ�es. Un ph?ɬ�nom?ɬ�ne amplifi?ɬ� par l'allongement de l'esp?ɬ�rance de vie.

Le plus puissant scanner IRM au monde

NeuroSpin est implant?ɬ� ?ɬ� Saclay, en Ile-de-France. Quatre-vingt personnes repr?ɬ�sentant toutes les disciplines scientifiques sont d?ɬ�j?ɬ� ?ɬ� l'oeuvre sur les quelque 11 000 m2 que compte le site. Un scanner d'imagerie par r?ɬ�sonance magn?ɬ�tique (IRM), d'une puissance de 3 Tesla (mesure de champ magn?ɬ�tique) y a ?ɬ�t?ɬ� install?ɬ�, ainsi qu'un mod?ɬ�le plus puissant de 7 Tesla. Ce dernier mod?ɬ�le est le premier du genre en France, le 4e en Europe. D'ici ?ɬ� 2009, les ?ɬ�quipes pluridisciplinaires de Neurospin auront doubl?ɬ�, avec un effectif de 160 personnes. Le centre accueillera alors le scanner IRM le plus puissant du monde avec 11,6 Tesla au compteur.

Gr?ɬ�ce ?ɬ� sa puissance, l'outil devrait donner lieu ?ɬ� des avanc?ɬ�es sur la compr?ɬ�hension du fonctionnement de notre cerveau. L'allemand Siemens, pour le scanner et le laboratoire fran?ɬ�ais Guerbet, pour l'imagerie mol?ɬ�culaire, sont les deux partenaires industriels de ce projet aliment?ɬ� par une enveloppe de 200 millions d'euros. ?Ǭ� Ces nouveaux outils vont nous permettre de voir des choses que l'on ne voit pas aujourd'hui. ?ɂǨ partir de l?ɬ�, il sera plus facile de mieux guider les scanners de moindre puissance pour qu'ils regardent exactement l?ɬ� o?ɬ? il faut ?Ǭ�, avance Denis le Bihan. Aujourd'hui, on recense quelque 12 000 scanners IRM dans le monde dont la puissance ne d?ɬ�passe pas pour la plupart, 1,5 Telsa.

Une vitrine civile pour le CEA

Le Commissariat fran?ɬ�ais ?ɬ� l'Energie Atomique est tr?ɬ�s impliqu?ɬ� dans le projet Neurospin. Il apporte 64% (33 millions d'euros) du financement et plus de 50% du personnel. Une fa?ɬ�on pour l'institution, plut?ɬ�t associ?ɬ�e ?ɬ� des besoins militaire et nucl?ɬ�aire, d'embellir son image. NeuroSpin repr?ɬ�sente en effet une belle vitrine de promotion des recherches m?ɬ�dicales men?ɬ�es par le CEA. ?Ǭ� Il met ses connaissances en mati?ɬ�re de supraconductivit?ɬ� ?ɬ� la disposition des neurologues ?Ǭ�, pr?ɬ�cise Denis le Bihan. ?Ǭ� La maturit?ɬ� est d?ɬ�sormais suffisante pour que toutes les disciplines scientifiques collaborent sur un tel projet. ?Ǭ�

Un mini-h?ɬ�pital de 8 lits a ?ɬ�t?ɬ� mis en place dans les locaux de NeuroSpin. Tous volontaires, les patients se livreront ?ɬ� des exp?ɬ�rimentations sous protocole scientifique. ?ɂǨ la fin de l'ann?ɬ�e 2009, un autre scanner d'une capacit?ɬ� de 17 Tesla sera ?ɬ�galement en exp?ɬ�rimentation. Mais cette fois, le tunnel ne pourra accueillir qu'une souris.

Source: News.

Les tissus high-tech sont utilis?ɬ�s depuis plusieurs ann?ɬ�es d?ɬ�j?ɬ�, en particulier dans l'a?ɬ�rospatial et le sport de haut niveau. La prochaine ?ɬ�tape pourrait ?ɬ�tre les textiles interactifs compos?ɬ�s de mat?ɬ�riaux conducteurs. Ils pourraient pr?ɬ�venir un infarctus ou un risque de mort subite du nourrisson.

L'issue d'une situation m?ɬ�dicale d'urgence d?ɬ�pend souvent des premi?ɬ�res minutes d'intervention. Les moindres signaux d'alerte doivent pouvoir ?ɬ�tre rep?ɬ�r?ɬ�s et signal?ɬ�s sans d?ɬ�lai au m?ɬ�decin intervenant. C'est pour optimiser l'utilisation de ces pr?ɬ�cieuses minutes que chercheurs et scientifiques r?ɬ�fl?ɬ�chissent ?ɬ� un nouveau type de sous-v?ɬ�tements, capables de transmettre des informations en temps r?ɬ�el. Selon un principe g?ɬ�n?ɬ�ral, ces derniers, truff?ɬ�s de micro-capteurs, doivent ?ɬ�tre capables de r?ɬ�agir ?ɬ� des variations corporelles ioniques, caract?ɬ�ristiques des alertes d'incidents cardiovasculaires ou diab?ɬ�tiques. Leur utilisation, moins contraignante que les capteurs dermiques localis?ɬ�s, constitue tr?ɬ�s certainement une avanc?ɬ�e pour les 20% d'Europ?ɬ�ens qui souffrent de maladies cardio-vasculaires et 45% meurent.

Pour que ce sc?ɬ�nario de recherche devienne r?ɬ�alit?ɬ�, le consortium MyHeart, compos?ɬ� d'une quarantaine de partenaires europ?ɬ�ens emmen?ɬ�s par Philips, travaille depuis 2004 sur la conception de ce type de v?ɬ�tement capable d'analyser l'?ɬ�tat cardiovasculaire de celui qui le porte. Un v?ɬ�tement qui doit pouvoir signaler par exemple le manque d'effort physique, la surcharge pond?ɬ�rale, les troubles du sommeil ou l'exc?ɬ�s de stress. Au moindre arr?ɬ�t de flux sanguin ou autres anomalies, il ?ɬ�mettrait un signal ?ɬ� destination d'un centre de soins. Avant de parvenir ?ɬ� un tel r?ɬ�sultat, les chercheurs vont devoir r?ɬ�soudre non seulement des probl?ɬ�mes d'ordre technique mais aussi d'ordre ?ɬ�thique. Il faudra en effet que les patients acceptent l'id?ɬ�e d'?ɬ�tre surveill?ɬ�s en permanence...

Un pyjama qui vient de l'espace

La commercialisation r?ɬ�cente d'un chandail appel?ɬ� Hug Shirt (vendu aux environs de 150 euros) permet de franchir un premier pas et de tester l'attitude du grand public. D?ɬ�velopp?ɬ� par la soci?ɬ�t?ɬ� anglaise CuteCircuit, il mesure la tension art?ɬ�rielle, le pouls et la temp?ɬ�rature. Un autre v?ɬ�tement, le soutien-gorge sportif NuMetrex, propos?ɬ� par Textronics sera peut-?ɬ�tre lui mieux accept?ɬ�. Il capte le pouls de la personne qui le porte et transmet les donn?ɬ�es ?ɬ� un appareil port?ɬ� au poignet. Une premi?ɬ�re solution, pratique, pour surveiller son rythme cardiaque durant un exercice.

Dans un autre domaine, qui touche la sensibilit?ɬ� des parents, la soci?ɬ�t?ɬ� belge Verhaert et l'Universit?ɬ� Libre de Bruxelles (ULB) travaillent depuis plusieurs ann?ɬ�es ?ɬ� la mise au point d'un pyjama "pr?ɬ�ventif" contre la mort subite du nourrisson. Le v?ɬ�tement contr?ɬ�le le rythme cardiaque du b?ɬ�b?ɬ� pendant son sommeil et lance une alerte en cas d'arr?ɬ�t respiratoire. Un syst?ɬ�me qui b?ɬ�n?ɬ�ficie directement des r?ɬ�sultats d'exp?ɬ�riences men?ɬ�es ?ɬ� bord des navettes spatiales et de la station MIR d?ɬ�s 1993.

?ɂǨ l'origine, Manuel Paiva, professeur ?ɬ� l'ULB, voulait ?ɬ�tudier les effets de l'apesanteur sur les syst?ɬ�mes musculaires et cardio-vasculaires des astronautes. Parall?ɬ�lement ?ɬ� ces exp?ɬ�riences, ce scientifique a pens?ɬ� ?ɬ� int?ɬ�grer ces capteurs dans les pyjamas pour b?ɬ�b?ɬ�s. ?Ǭ� Je suis convaincu que ce type de v?ɬ�tement intelligent est la bonne solution pour limiter les cas de mort subite ?Ǭ�, explique-t-il. ?Ǭ� Mais il faut encore multiplier les recherches. Une ?ɬ�tude men?ɬ�e sur 1 000 b?ɬ�b?ɬ�s aux ?ɂ�?tats-Unis, avec un concept proche du n?ɬ�tre, n'a pas abouti ?ɬ� des conclusions satisfaisantes car il y a encore trop de fausses alarmes ?Ǭ�. Malgr?ɬ� cet inconv?ɬ�nient, la soci?ɬ�t?ɬ� Verhaert pourrait se d?ɬ�cider ?ɬ� commercialiser son pyjama pr?ɬ�ventif en 2007 ou 2008.

Source: News.

La r?ɬ�sistance des bact?ɬ�ries aux antibiotiques constitue une vraie menace pour la sant?ɬ� publique dans le monde. En France, l'Institut National de Veille Sanitaire vient de mettre en place un site d'information sur le sujet. Un nouvel outil pour inciter les m?ɬ�decins ?ɬ� optimiser leurs prescriptions. Interview.

?ɂǨ l'aube des ann?ɬ�es 2000, l'Organisation Mondiale de la Sant?ɬ� publiait un rapport alarmant dans lequel elle pointait l'inefficacit?ɬ� grandissante des m?ɬ�dicaments antimicrobiens, soulignant du m?ɬ�me coup le risque accrus de d?ɬ�c?ɬ�s.

En France, le ph?ɬ�nom?ɬ�ne de pharmacor?ɬ�sistance est important, en corr?ɬ�lation avec une consommation particuli?ɬ�rement ?ɬ�lev?ɬ�e des antibiotiques. Une ?ɬ�tude r?ɬ�alis?ɬ�e en 2003 par l'ESAC, r?ɬ�seau de surveillance belge, pointait les Fran?ɬ�ais dans le tierc?ɬ� de t?ɬ�te des consommateurs, entre la Gr?ɬ�ce et le Luxembourg.

Depuis l'hiver 2002, la consommation enregistre un certain ralentissement, encourag?ɬ�e par les campagnes du minist?ɬ�re de la Sant?ɬ�. Le lancement d'un site de surveillance des antibiotiques par l'INVS s'inscrit dans cette politique. Explications de Bruno Coignard, m?ɬ�decin ?ɬ�pid?ɬ�miologiste et coordinateur du projet.

News.fr : ?ɂǨ qui proposez-vous cet outil de surveillance ?
Bruno Coignard - Le site s'adresse en priorit?ɬ� aux m?ɬ�decins prescripteurs d'antibiotiques ainsi qu'aux d?ɬ�cideurs en mati?ɬ�re de politique de lutte contre la r?ɬ�sistance aux antibiotiques. De l'?ɬ�chelon local, dans chaque ?ɬ�tablissement de sant?ɬ� par exemple, ?ɬ� l'?ɬ�chelon national, au minist?ɬ�re de la Sant?ɬ�. Il fournit ?ɬ� chacun des donn?ɬ�es actualis?ɬ�es pour mesurer l'ampleur de la r?ɬ�sistance des antibiotiques en France et son ?ɬ�volution. Le site ?ɬ�tant public, le particulier peut aussi le consulter. Un glossaire est d'ailleurs propos?ɬ� pour l'aider ?ɬ� comprendre les termes techniques.

Votre initiative est-elle sans pr?ɬ�c?ɬ�dent ?
Cette initiative est originale, car elle collige pour la premi?ɬ�re fois, en un endroit unique, des donn?ɬ�es de surveillance de la r?ɬ�sistance des antibiotiques, issues de plusieurs r?ɬ�seaux et partenaires de l'INVS. L'Institut r?ɬ�pond ainsi ?ɬ� ses missions de coordination et de mise ?ɬ� disposition de donn?ɬ�es de sant?ɬ� utiles pour orienter les actions de pr?ɬ�vention.

Il y avait urgence ?ɬ� r?ɬ�agir ?
Oui, car le nombre d'antibiotiques ?ɬ� notre disposition est limit?ɬ� et il faut donc les pr?ɬ�server. Le probl?ɬ�me de la r?ɬ�sistance des antibiotiques n'est toutefois pas nouveau. La mise en ligne de ces donn?ɬ�es ne fait qu'accompagner de nombreuses initiatives, d?ɬ�velopp?ɬ�es depuis plusieurs ann?ɬ�es, autour du plan national pour pr?ɬ�server l'efficacit?ɬ� des antibiotiques. Les r?ɬ�seaux de surveillance permettent de mesurer r?ɬ�guli?ɬ�rement cette efficacit?ɬ� et d'adapter les recommandations de traitement.

?ɂǨ quel rythme les donn?ɬ�es recueillies seront-elles mises ?ɬ� jour ?
Le site sera mis ?ɬ� jour chaque ann?ɬ�e. Nos r?ɬ�seaux de surveillance produisent des donn?ɬ�es annuelles et nous actualiserons donc ce site au m?ɬ�me rythme. Les ?ɬ�volutions annuelles des taux de r?ɬ�sistance seront soulign?ɬ�es mais difficiles ?ɬ� pr?ɬ�voir pour le moment. Dans sa phase de lancement, le site traite une quinzaine de bact?ɬ�ries et levures ; d'autres esp?ɬ�ces pourront ?ɬ�tre ajout?ɬ�es par la suite.

Votre site est focalis?ɬ� sur les antibiotiques en France ; l'outil n'est pas utile hors de nos fronti?ɬ�res ?
Notre dossier est effectivement destin?ɬ� en priorit?ɬ� ?ɬ� un public fran?ɬ�ais. Mais les r?ɬ�seaux de surveillance ?ɬ� l'origine des donn?ɬ�es pr?ɬ�sent?ɬ�es travaillent aussi ?ɬ�troitement avec nos voisins europ?ɬ�ens. Chaque ann?ɬ�e, l'INVS transmet au r?ɬ�seau European Antimicrobial Resistance Surveillance Scheme des donn?ɬ�es sur la r?ɬ�sistance aux antibiotiques de plusieurs bact?ɬ�ries. Ces donn?ɬ�es sont accessibles sur le site EARSS et permettent de comparer la situation de la France ?ɬ� celle de ses voisins.

Source: News.