L'actualité du Marketing Internet

Les fondateurs de Kazaa et Skype finalisent le Venice Project, une plate-forme peer-to-peer de diffusion en streaming de contenu vid?ɬ�o l?ɬ�gal. Les internautes sont invit?ɬ�s ?ɬ� s'inscrire pour tester ce service, dont le lancement est pr?ɬ�vu en 2007.

L'int?ɬ�r?ɬ�t grandit autour du Venice Project, la plate-forme de diffusion de contenus audiovisuels cr?ɬ�?ɬ�e par Niklas Zennstrom et Janus Friis, les fondateurs de Kazaa et Skype. Apr?ɬ�s avoir ?ɬ�t?ɬ� r?ɬ�serv?ɬ�e en test aupr?ɬ�s d'une centaine d'utilisateurs tri?ɬ�s sur le volet, elle est d?ɬ�sormais disponible en version de test, comme l'explique sur son blog Fredrik de Wahl, le directeur ex?ɬ�cutif de Venice Project.

Une "b?ɬ�ta" qui n'est pas encore ouverte ?ɬ� tous, pour m?ɬ�nager ses serveurs et donner le temps ?ɬ� la plate-forme de monter en puissance et s'enrichir en contenus. La soci?ɬ�t?ɬ� s'est inspir?ɬ�e de la formule de marketing viral choisie par Google lorsqu'il lan?ɬ�a son service de messagerie ?ɬ�lectronique Gmail.

Venice Project invite, pour l'instant, les internautes int?ɬ�ress?ɬ�s par le b?ɬ�ta-test ?ɬ� s'inscrire. Une fois l'inscription valid?ɬ�e, ils pourront utiliser ?ɬ� leur guise la plate-forme, et ils b?ɬ�n?ɬ�ficieront d'un nombre limit?ɬ� d'invitations pour permettre ?ɬ� leurs amis ou contacts de tester ?ɬ� leur tour le service.

?Ǭ� L'objectif de cette sortie en b?ɬ�ta est de mettre le service ?ɬ� l'?ɬ�preuve par plusieurs milliers d'internautes, en augmentant de plus en plus le nombre de testeurs, jusqu'?ɬ� ce que nous ayons install?ɬ� nos serveurs, nos fibres et nos datacenters partout dans le monde ?Ǭ�, souligne Fredrik de Wahl.

Lancement officiel courant 2007

La technologie en question s'appuie sur un logiciel peer-to-peer pour diffuser en streaming des contenus (films, s?ɬ�ries t?ɬ�l?ɬ�, ?ɬ�missions...). Mais cette fois, pas question de reproduire les m?ɬ�mes erreurs qu'avec Kazaa, qui fut rapidement consid?ɬ�r?ɬ� comme un logiciel favorisant le piratage. Venice Project travaille en coop?ɬ�ration avec les fournisseurs de contenus et n?ɬ�gocie des contrats pour la diffusion de leurs oeuvres.

Contrairement ?ɬ� un logiciel peer-to-peer classique, ou encore aux plates-formes de streaming comme YouTube, les internautes ne peuvent pas mettre en ligne eux-m?ɬ�mes de vid?ɬ�os. Seuls les formats prot?ɬ�g?ɬ�s fournis par les ayants droit pourront circuler sur le r?ɬ�seau. En revanche, les utilisateurs auront la possibilit?ɬ� de se cr?ɬ�er une playlist, avec leurs programmes pr?ɬ�f?ɬ�r?ɬ�s, ?ɬ� partager avec leurs contacts.

Le logiciel permet de s?ɬ�lectionner et de visionner une vid?ɬ�o avec les m?ɬ�mes fonctionnalit?ɬ�s qu'un lecteur classique (avance rapide, retour en arri?ɬ�re, pause...). ?Ǭ� Les mois ?ɬ� venir verront la sortie d'un logiciel vid?ɬ�o qui permettra un streaming plus robuste, avec beaucoup plus de contenu et d'interactivit?ɬ� ?Ǭ�, promet Fredrik de Wahl.

L'ouverture officielle est pr?ɬ�vue pour le courant de l'ann?ɬ�e 2007. Le mod?ɬ�le ?ɬ�conomique - service payant par abonnement ou financ?ɬ� par la publicit?ɬ� - n'a pas encore ?ɬ�t?ɬ� d?ɬ�taill?ɬ�.

Besoin de faire garder un blog en votre absence? blogsitter.net, premi?ɬ�re plateforme de "blogsitting", propose des "nounous" b?ɬ�n?ɬ�voles pour blogs d?ɬ�laiss?ɬ�s pendant les vacances.

"Un blog affam?ɬ� meurt tr?ɬ�s vite!", avertit le site am?ɬ�ricain sur sa page d'accueil (http://blogsitter.net).

"Pour un blogueur s?ɬ�rieux, il n'est pas question de s'arr?ɬ�ter sous pr?ɬ�texte de vacances dans des ?ɬ�les exotiques" o?ɬ? la connexion internet est rare, lente, ou parfois inexistante, explique ?ɬ� l'AFP Gilles Klein, r?ɬ�dacteur en chef du magazine en ligne, pointblog.com, et blogueur lui-m?ɬ�me (http://gillesklein.blog.lemonde.fr).

Les "nounous blogueuses", elles, veulent bloguer chez les autres pour la beaut?ɬ� du geste ou pour montrer un savoir faire et renforcer leur r?ɬ�putation sur le web.

Blogsitter s'adresse donc ?ɬ� tous les blogueurs de la plan?ɬ�te, temporairement d?ɬ�connect?ɬ�s, et leur offre une plateforme de rencontre avec des "nounous blogueuses", gracieusement recrut?ɬ�es selon trois crit?ɬ�res: fiabilit?ɬ�, disponibilit?ɬ� et exp?ɬ�rience.

En un clic, le blogueur en d?ɬ�tresse peut d?ɬ�poser gratuitement sa petite annonce en ligne, en pr?ɬ�cisant son identit?ɬ� d'internaute, un mot de passe et son URL (Uniform resource locator), c'est-?ɬ�-dire son adresse de blog.

De leur c?ɬ�t?ɬ�, les "nounous blogueuses" doivent remplir un questionnaire en ligne.

Question: "Que faites-vous si votre blog commence ?ɬ� pleurer?"

R?ɬ�ponse d'Antony Feint, candidat australien qui a rejoint la pouponni?ɬ�re de blogsitter en d?ɬ�cembre: "Un blog qui pleure a besoin de ce petit plus d'attention, son petit billet quotidien".

Question: "Votre exp?ɬ�rience de blogging": Anthony, internaute chevronn?ɬ� et auteur r?ɬ�gulier d'articles en ligne sur les technologies de l'information, pr?ɬ�cise qu'il anime un talk show sur le web, et g?ɬ�re deux blogs depuis plus d'un an.

Osman, linguiste turc, propose un double service de gardiennage en anglais et en turc. Il revendique une solide exp?ɬ�rience du blog th?ɬ�matique de sport, de voyage, et de cin?ɬ�ma.

Le candidat doit aussi r?ɬ�sumer sa passion pour le blog en quelques mots. "Le blogging c'est un mode de vie. Il me faut ma dose tous les jours", ?ɬ�crit Osman.

Sur les disponibilit?ɬ�s requises, Osman dit bloguer "un peu plus d'une heure par jour" et Fausto, internaute p?ɬ�ruvien, "au moins deux heures par jour".

Plusieurs blogs francophones ou anglophones se sont int?ɬ�ress?ɬ�s ?ɬ� l'exp?ɬ�rience originale de blogsitter et ont invit?ɬ� leurs visiteurs ?ɬ� donner leur avis.

"Le blogsitting, c'est un bon concept, et je vais le tester", dit un message post?ɬ� sur Digg.com par Elfenthor, blogueur anonyme.

Elamr explique sur le m?ɬ�me blog qu'il g?ɬ�re le sien "comme une entreprise" qui lui permet de "rembourser un cr?ɬ�dit immobilier". Mais pour rester "comp?ɬ�titif dans la niche th?ɬ�matique que j'exploite, je dois actualiser r?ɬ�guli?ɬ�rement mon blog".

Blogsitter sert les internautes passionn?ɬ�s et ceux, comme Elamr, qui mon?ɬ�tisent leurs blogs par le biais de petites annonces publicitaires.

Ces blogueurs, r?ɬ�tribu?ɬ�s "au clic", ont donc tout int?ɬ�r?ɬ�t ?ɬ� nourrir leur blog pour maintenir un trafic suffisant de visiteurs, pr?ɬ�server leurs revenus, et une r?ɬ�putation dans la blogosph?ɬ�re.

Source: News.

La technologie d'enregistrement magn?ɬ�tique perpendiculaire permet d'?ɬ�tendre la capacit?ɬ� de stockage th?ɬ�orique des disques durs. Et ce, qu'ils soient miniatures ou non ! Ainsi, les premiers baladeurs disposant de 160 Go de m?ɬ�moire devraient voir le jour en 2007.

C'est toujours la m?ɬ�me question : comment stocker un maximum de donn?ɬ�es dans un minimum d'espace ? Toshiba et Fujitsu viennent apporter chacun de nouveaux ?ɬ�l?ɬ�ments de r?ɬ�ponses avec deux disques durs miniatures. Celui de Toshiba, de 1,8 pouce de diam?ɬ�tre (4,6 cm), est le premier de cette taille ?ɬ� afficher une capacit?ɬ� de 100 Go. Tandis que celui de Fujitsu, un peu plus grand avec 2,5 pouces, offre, lui, une capacit?ɬ� de 300 Go.

Ces deux disques durs reposent en fait sur une nouvelle fa?ɬ�on d'enregistrer les donn?ɬ�es: l'enregistrement magn?ɬ�tique perpendiculaire ou PMR (Perpendicular Magnetic Recording), par opposition ?ɬ� la m?ɬ�thode traditionnelle dite d'enregistrement longitudinal. Ce proc?ɬ�d?ɬ� devrait permettre, ?ɬ� terme et en th?ɬ�orie, de multiplier par dix la densit?ɬ� de stockage des informations sur un disque dur.

Les limites de la miniaturisation

La technologie n'est pas nouvelle. On avait tent?ɬ� de l'utiliser pour les disquettes dans les ann?ɬ�es 80, sans toutefois y parvenir. Utilis?ɬ�e seulement pour quelques mod?ɬ�les de disques durs d'ordinateurs portables, elle fut mise au rebus pendant quelques temps avant de ressortir des cartons.

Une raison ?ɬ� cela : les laboratoires de R&D ont atteint les limites de la miniaturisation des particules m?ɬ�talliques magn?ɬ�tis?ɬ�es pour inscrire des donn?ɬ�es binaires (des z?ɬ�ro et des un) sur la surface d'un disque. Les miniaturiser un peu plus provoquerait un ph?ɬ�nom?ɬ�ne physique appel?ɬ� "super paramagn?ɬ�tisme", qui peut inverser la polarit?ɬ�, c'est-?ɬ�-dire transformer des z?ɬ�ro en un, et donc occasionner des pertes de donn?ɬ�es.

L'enregistrement perpendiculaire ne change pas fondamentalement le fonctionnement des disques durs. Les particules m?ɬ�talliques microscopiques (un alliage de fer et de cobalt) qui composent une des couches du disque dur sont toujours magn?ɬ�tis?ɬ�es par un courant ?ɬ�lectrique transmis par la t?ɬ�te de lecture et d'?ɬ�criture, puis transform?ɬ�es en petits aimants bipolaires. C'est l'orientation de cette polarit?ɬ� (nord-sud ou sud nord, dans le cas d'un enregistrement longitudinal) qui d?ɬ�termine si la t?ɬ�te de lecture doit lire z?ɬ�ro ou un.

Comme son nom le laisse deviner, l'enregistrement perpendiculaire se caract?ɬ�rise par une orientation de l'axe polaire des particules, qui n'est plus horizontal mais perpendiculaire au plateau du disque. Cette disposition att?ɬ�nue les risques d'interf?ɬ�rence entre groupes de particules et facilite la captation, par la t?ɬ�te de lecture, des variations de champ magn?ɬ�tique. R?ɬ�sultat : la taille des particules peut ?ɬ�tre r?ɬ�duite de moiti?ɬ� ; 120 nanom?ɬ�tres de long sur 25 de large contre 250 nanom?ɬ�tres de long sur 30 de large aujourd'hui.

Une technologie interm?ɬ�diaire

On estime que cette m?ɬ�thode d'enregistrement perpendiculaire, qui atteindra ses limites vers 2010, permettra de fabriquer des disques durs pour ordinateur de bureau d'une capacit?ɬ� de 1 t?ɬ�raoctet (1 To, soit 1000 Go) d?ɬ�s l'an prochain. ?ɂǨ l'horizon 2010, on devrait m?ɬ�me atteindre les 5 To. Les appareils mobiles quant ?ɬ� eux devraient int?ɬ�grer, d?ɬ�s l'an prochain, des disques durs de 1,8 pouce d'une capacit?ɬ� de 160 Go.

Pour les fabricants de disques durs, confront?ɬ�s ?ɬ� la concurrence des m?ɬ�moires flash, il faut repousser toujours plus les capacit?ɬ�s de stockage. Deux artifices notamment permettraient d'exploiter la technologie PMR de fa?ɬ�on optimale : modifier la forme des particules magn?ɬ�tis?ɬ�es, ou encore chauffer le plateau du disque ?ɬ� l'aide d'un laser au moment de l'?ɬ�criture, pour une plus grande pr?ɬ�cision.

Mais ce ne sont l?ɬ� que des technologies interm?ɬ�diaires. ?ɂǨ plus long terme, il faudra repousser d'autres limites. Tant en mati?ɬ�re de vitesse d'acc?ɬ�s aux donn?ɬ�es que de r?ɬ�duction de la consommation d'?ɬ�nergie.

Source: News.

Le mot le plus recherch?ɬ� sur Lycos durant cette ann?ɬ�e est d?ɬ�j?ɬ� connu, puisqu'il s'agit de "poker". La requ?ɬ�te, qui ?ɬ�tait en 10?ɬ�me position l'ann?ɬ�e derni?ɬ�re passe ainsi devant Pamela Anderson (4?ɬ�me), MySpace (2?ɬ�me) ou encore Britney Spears (10?ɬ�me). Chez AOL, c'est le temps qu'il fera qui a le plus int?ɬ�ress?ɬ� les internautes en 2006, devant la requ?ɬ�te "dictionnaire" et "chien".

Le site Nayio propose aux internautes de rechercher leurs chansons en chantant : sur un simple fredonnement, le site se dit capable de retrouver dans la base de donn?ɬ�es musicale de Napster la chanson correspondante. Les cr?ɬ�ateurs du concept pr?ɬ�cisent tout de m?ɬ�me que la pertinence des r?ɬ�sultats est am?ɬ�lior?ɬ�e par la justesse de la voix du chercheur. Nayio Media d?ɬ�veloppe par ailleurs, sur la base de cette technologie d'identification vocale, toute une s?ɬ�rie d'outils, dont un permet de mesurer la justesse d'un chant.

Source: Jounal-Du-Net.

L'op?ɬ�rateur fran?ɬ�ais a confirm?ɬ� son objectif de 22.000 suppressions de postes pour 2006-2008, avec seulement 6.000 recrutements. Il esp?ɬ�re ainsi r?ɬ�duire ses effectifs de 13 %, soit de 16.000 personnes. D'ores et d?ɬ�j?ɬ�, 45 % de son plan sur 3 ans aurait ?ɬ�t?ɬ� r?ɬ�alis?ɬ�, en grande partie via des d?ɬ�parts en pr?ɬ�-retraites. Pour le reste, France T?ɬ�l?ɬ�com compte d?ɬ�velopper le travail en temps partiel, mais aussi encourager les cr?ɬ�ations d'entreprises et les passages vers la fonction publique. Des mesures que la direction devrait imposer, malgr?ɬ� l'opposition des syndicats.

Les passionn?ɬ�s de musique ?ɬ� la recherche de nouveaut?ɬ�s se fient bien souvent aux recommandations de leur disquaire pour les choisir. A l'heure o?ɬ? la musique se diffuse et se vend de plus en plus en ligne, aucun service de conseil ?ɬ�quivalent n'existait jusque-l?ɬ� en France. Le lancement de Last.fm en version fran?ɬ�aise aujourd'hui devrait r?ɬ�parer cette lacune.

Fond?ɬ� en 2004, le site Last.fm regroupe d?ɬ�j?ɬ� 15 millions d'utilisateurs dans le monde et enregistre environ 5 millions de visiteurs uniques sur son portail chaque mois, d'apr?ɬ�s son cr?ɬ�ateur Martin Stitskel. Au-del?ɬ� des fonctionnalit?ɬ�s habituelles des r?ɬ�seaux sociaux (ajouter des amis, remplir un profil et ?ɬ�changer des messages), Last.fm propose un service d'?ɬ�coute musicale gratuit (extraits et morceaux complets) et se veut un v?ɬ�ritable moteur de recommandation ?ɬ� destination des passionn?ɬ�s de musique. Gr?ɬ�ce son service radio, les internautes peuvent en effet choisir d'?ɬ�couter leurs groupes ou artistes favoris, mais aussi ceux proches de leur univers musical, le tout dans une qualit?ɬ� d'?ɬ�coute ?ɬ�quivalente de celle des CD (128 kps).

Pour y parvenir, Last.fm propose ?ɬ� ses membres de "tagguer" les morceaux en incluant les liens potentiels vers d'autres artistes. Les membres ont ?ɬ�galement la possibilit?ɬ� de cr?ɬ�er des listes de lecture et de se lier avec d'autres membres aux go?ɬ�ts proches des leurs afin de d?ɬ�couvrir leurs listes de lecture. Le lecteur Flash t?ɬ�l?ɬ�chargeable de Last.fm est en outre localis?ɬ�, ce qui permet aux membres de recevoir des informations pertinentes en fonction de leur situation sur leurs groupes favoris : dates des concerts ou encore sorties des albums etc. De plus les cr?ɬ�ateurs ou labels qui le souhaitent peuvent cr?ɬ�er leur propre espace afin de diffuser et de promouvoir leurs titres. Ils ont ?ɬ�galement la possibilit?ɬ� de proposer un lien vers leur espace de vente, et ce quel qu'il soit.

Alors qu'il n'existait jusque-l?ɬ� que deux versions du site, l'une en japonais et l'autre en anglais, Last.fm proposait d?ɬ�j?ɬ� les biographies et extraits musicaux de nombreux artistes fran?ɬ�ais et aurait, d'apr?ɬ�s le fondateur, un noyau de fans importants en France. Avec la traduction du site, Last.fm, qui emploie deux fran?ɬ�ais sur 27 employ?ɬ�s, veut passer ?ɬ� la vitesse sup?ɬ�rieure : "La premi?ɬ�re ?ɬ�tape est de traduire le site pour montrer notre volont?ɬ� de communiquer avec les labels et artistes fran?ɬ�ais. Nous les inviterons ensuite ?ɬ� ajouter leurs morceaux et ?ɬ�v?ɬ�nements sur le site", explique Martin Stitskel.

La soci?ɬ�t?ɬ� lance simultan?ɬ�ment des versions en allemand, italien, russe, portugais, espagnol, cor?ɬ�en et mandarin. Ces versions traduites seront pour le moment pilot?ɬ�es depuis Londres, o?ɬ? se situe le si?ɬ�ge de l'entreprise. D'ici ?ɬ� trois ans environ, le fondateur envisage d'implanter des bureaux dans les pays o?ɬ? Last.fm sera disponible.

Pour populariser l'usage de sa plate-forme, Last.fm ne compte que sur le bouche-?ɬ�-oreille, le meilleur moyen, selon Martin Stitskel, d'attirer de v?ɬ�ritables passionn?ɬ�s de musique qui sauront enrichir correctement la base de recommandations.

Tout n'est pas gratuit sur Last.fm : un abonnement premium permet ainsi d'acc?ɬ�der ?ɬ� des fonctions plus complexes. La majeure partie des revenus de la soci?ɬ�t?ɬ� provient cependant de la vente d'espaces publicitaires ainsi que des accords commerciaux pass?ɬ�s avec des ?ɬ�diteurs, le cybermarchand Amazon, et des marchands de tickets de concerts. Un mod?ɬ�le ?ɬ�conomique qui a su convaincre les investisseurs puisque la start-up a b?ɬ�n?ɬ�fici?ɬ� en mai d'une premi?ɬ�re lev?ɬ�e de fonds (sans doute ?ɬ� l'origine de cette internationalisation) aupr?ɬ�s d'Index Ventures, pour un montant non r?ɬ�v?ɬ�l?ɬ�.