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vendredi 22 décembre 2006

Les syst?ɬ�mes de recommandation gagnent la musique en ligne



Les sites sp?ɬ�cialis?ɬ�s qui ont pour objectif d'aider le m?ɬ�lomane ?ɬ� enrichir son catalogue musical, en fonction de ses go?ɬ�ts, se multiplient. L'un d'entre eux, Last.fm, est maintenant accessible en version fran?ɬ�aise.

Rapprocher les go?ɬ�ts musicaux des uns et des autres et pr?ɬ�senter des recommandations sur cette base, c'est le principe m?ɬ�me de Last.fm. Cette start-up anglaise, qui a d?ɬ�j?ɬ� conquis 15 millions d'utilisateurs avec son syst?ɬ�me de radio musicale personnalis?ɬ�e, franchit donc le channel pour proposer au amateurs de musique, fran?ɬ�ais et francophones, une version financ?ɬ�e par la publicit?ɬ� et des formules d'abonnement premium.

La voie des r?ɬ�seaux sociaux

Qu'il soit en anglais ou en fran?ɬ�ais, le principe reste le m?ɬ�me. L'utilisateur du service installe sur son ordinateur une extension de programme sp?ɬ�cifique, un plug'in, charg?ɬ�e de dresser la liste de ce qu'il ?ɬ�coute avec les logiciels de lecture Windows Media, Winamp, iTunes ou tout autre logiciel de musique sur abonnement. Les informations recueillies sont envoy?ɬ�es vers les serveurs de Last.fm qui proposent alors ?ɬ� l'internaute des listes dynamiques des derniers titres diffus?ɬ�s, artistes, albums ou morceaux de la semaine en fonction de ses go?ɬ�ts. Un principe que Last.fm d?ɬ�signe comme le scrobbling.

Sur cette base, des rapprochements sont ?ɬ�tablis avec les profils d'autres utilisateurs dont on peut aussi ?ɬ�couter les stations de radio personnalis?ɬ�es. Seul l'abonnement permet de cr?ɬ�er sa propre station radio, dont la programmation est orient?ɬ�e en fonction de ce que l'on ?ɬ�coute et de ce qu'?ɬ�coutent ceux qui partagent la m?ɬ�me sensibilit?ɬ� musicale.

En s'inspirant de la technologie d?ɬ�velopp?ɬ�e par Last.fm et de statistiques fournies par le site marchand Amazon.com, la maison de disques EMI a lanc?ɬ� son propre service, TuneGlue. Ce site permet de dresser des cartographies musicales ?ɬ� partir du nom d'un artiste et d'acc?ɬ�der par leur interm?ɬ�diaire aux discographies de tous les artistes li?ɬ�s, aux derni?ɬ�res nouvelles les concernant, ?ɬ� des sites marchands qui vendent leurs disques ou ?ɬ� leur site officiel. Musicovery, un service fran?ɬ�ais, propose pour sa part de marier les deux mod?ɬ�les : la cartographie musicale et la radio personnalis?ɬ�e.

Des moteurs de recherche d?ɬ�di?ɬ�s au son

Si le fonctionnement de Last.fm repose avant tout sur le rapprochement communautaire, d'autres moteurs de recommandation musicale privil?ɬ�gient le rapprochement d'oeuvres et d'artistes en fonction de leurs caract?ɬ�ristiques acoustiques. Que ce soit l'ambiance, les paroles, la m?ɬ�lodie, le tempo, le rythme ou encore l'instrumentation.

Search Inside The Music par exemple, de Sun Microsystems, s'appuie sur une radiographie du contenu audio des fichiers. Selon Paul Lamere, l'un des principaux d?ɬ�veloppeurs du projet, le syst?ɬ�me analyse une minute de musique en trois secondes, ?Ǭ� il cherche alors des fichiers ayant les m?ɬ�mes attributs ?Ǭ�. Pour l'heure, Search Inside The Music reste un projet de recherche et n'est pas accessible. Mais des syst?ɬ�mes similaires existent d?ɬ�j?ɬ�, tel que Soundflavor, dont on peut librement tester l'efficacit?ɬ�.

Un autre moteur de recherche reposant sur le m?ɬ�me principe, True Music Search Engine, permet de rapprocher les fichiers musicaux stock?ɬ�s sur son propre disque dur d'oeuvres musicales distribu?ɬ�es gratuitement, sous licence Creative Commons, par des artistes inconnus ou en d?ɬ�veloppement.

Quel que soit le site et le service choisis, le principe de la recommandation constitue en tout cas un excellent moyen, pour l'utilisateur, de lier le connu ?ɬ� l'inconnu et de favoriser la d?ɬ�couverte de nouveaux artistes et de nouvelles musiques proches de ses pr?ɬ�f?ɬ�rences.

Source: News.

Des v?ɬ�tements high-tech pour sauver des vies

Les tissus high-tech sont utilis?ɬ�s depuis plusieurs ann?ɬ�es d?ɬ�j?ɬ�, en particulier dans l'a?ɬ�rospatial et le sport de haut niveau. La prochaine ?ɬ�tape pourrait ?ɬ�tre les textiles interactifs compos?ɬ�s de mat?ɬ�riaux conducteurs. Ils pourraient pr?ɬ�venir un infarctus ou un risque de mort subite du nourrisson.

L'issue d'une situation m?ɬ�dicale d'urgence d?ɬ�pend souvent des premi?ɬ�res minutes d'intervention. Les moindres signaux d'alerte doivent pouvoir ?ɬ�tre rep?ɬ�r?ɬ�s et signal?ɬ�s sans d?ɬ�lai au m?ɬ�decin intervenant. C'est pour optimiser l'utilisation de ces pr?ɬ�cieuses minutes que chercheurs et scientifiques r?ɬ�fl?ɬ�chissent ?ɬ� un nouveau type de sous-v?ɬ�tements, capables de transmettre des informations en temps r?ɬ�el. Selon un principe g?ɬ�n?ɬ�ral, ces derniers, truff?ɬ�s de micro-capteurs, doivent ?ɬ�tre capables de r?ɬ�agir ?ɬ� des variations corporelles ioniques, caract?ɬ�ristiques des alertes d'incidents cardiovasculaires ou diab?ɬ�tiques. Leur utilisation, moins contraignante que les capteurs dermiques localis?ɬ�s, constitue tr?ɬ�s certainement une avanc?ɬ�e pour les 20% d'Europ?ɬ�ens qui souffrent de maladies cardio-vasculaires et 45% meurent.

Pour que ce sc?ɬ�nario de recherche devienne r?ɬ�alit?ɬ�, le consortium MyHeart, compos?ɬ� d'une quarantaine de partenaires europ?ɬ�ens emmen?ɬ�s par Philips, travaille depuis 2004 sur la conception de ce type de v?ɬ�tement capable d'analyser l'?ɬ�tat cardiovasculaire de celui qui le porte. Un v?ɬ�tement qui doit pouvoir signaler par exemple le manque d'effort physique, la surcharge pond?ɬ�rale, les troubles du sommeil ou l'exc?ɬ�s de stress. Au moindre arr?ɬ�t de flux sanguin ou autres anomalies, il ?ɬ�mettrait un signal ?ɬ� destination d'un centre de soins. Avant de parvenir ?ɬ� un tel r?ɬ�sultat, les chercheurs vont devoir r?ɬ�soudre non seulement des probl?ɬ�mes d'ordre technique mais aussi d'ordre ?ɬ�thique. Il faudra en effet que les patients acceptent l'id?ɬ�e d'?ɬ�tre surveill?ɬ�s en permanence...

Un pyjama qui vient de l'espace

La commercialisation r?ɬ�cente d'un chandail appel?ɬ� Hug Shirt (vendu aux environs de 150 euros) permet de franchir un premier pas et de tester l'attitude du grand public. D?ɬ�velopp?ɬ� par la soci?ɬ�t?ɬ� anglaise CuteCircuit, il mesure la tension art?ɬ�rielle, le pouls et la temp?ɬ�rature. Un autre v?ɬ�tement, le soutien-gorge sportif NuMetrex, propos?ɬ� par Textronics sera peut-?ɬ�tre lui mieux accept?ɬ�. Il capte le pouls de la personne qui le porte et transmet les donn?ɬ�es ?ɬ� un appareil port?ɬ� au poignet. Une premi?ɬ�re solution, pratique, pour surveiller son rythme cardiaque durant un exercice.

Dans un autre domaine, qui touche la sensibilit?ɬ� des parents, la soci?ɬ�t?ɬ� belge Verhaert et l'Universit?ɬ� Libre de Bruxelles (ULB) travaillent depuis plusieurs ann?ɬ�es ?ɬ� la mise au point d'un pyjama "pr?ɬ�ventif" contre la mort subite du nourrisson. Le v?ɬ�tement contr?ɬ�le le rythme cardiaque du b?ɬ�b?ɬ� pendant son sommeil et lance une alerte en cas d'arr?ɬ�t respiratoire. Un syst?ɬ�me qui b?ɬ�n?ɬ�ficie directement des r?ɬ�sultats d'exp?ɬ�riences men?ɬ�es ?ɬ� bord des navettes spatiales et de la station MIR d?ɬ�s 1993.

?ɂǨ l'origine, Manuel Paiva, professeur ?ɬ� l'ULB, voulait ?ɬ�tudier les effets de l'apesanteur sur les syst?ɬ�mes musculaires et cardio-vasculaires des astronautes. Parall?ɬ�lement ?ɬ� ces exp?ɬ�riences, ce scientifique a pens?ɬ� ?ɬ� int?ɬ�grer ces capteurs dans les pyjamas pour b?ɬ�b?ɬ�s. ?Ǭ� Je suis convaincu que ce type de v?ɬ�tement intelligent est la bonne solution pour limiter les cas de mort subite ?Ǭ�, explique-t-il. ?Ǭ� Mais il faut encore multiplier les recherches. Une ?ɬ�tude men?ɬ�e sur 1 000 b?ɬ�b?ɬ�s aux ?ɂ�?tats-Unis, avec un concept proche du n?ɬ�tre, n'a pas abouti ?ɬ� des conclusions satisfaisantes car il y a encore trop de fausses alarmes ?Ǭ�. Malgr?ɬ� cet inconv?ɬ�nient, la soci?ɬ�t?ɬ� Verhaert pourrait se d?ɬ�cider ?ɬ� commercialiser son pyjama pr?ɬ�ventif en 2007 ou 2008.

Source: News.

La taxe sur la copie priv?ɬ�e rapporte 154 millions d'euros


154 millions d'euros seront r?ɬ�colt?ɬ�s cette ann?ɬ�e gr?ɬ�ce ?ɬ� la redevance sur la copie priv?ɬ�e, soit un million d'euros de moins que l'an dernier (155 millions d'euros), selon Copie France et Sorecop, les deux organismes qui r?ɬ�coltent les fonds aupr?ɬ�s des industriels. Les CD vierges rapportent 72 % de la taxe d?ɬ�di?ɬ�e aux organismes du monde musical, tandis que les baladeurs num?ɬ�riques ?ɬ� disque dur en apportent 23 %. Pour le monde de l'image, les DVD vierges sont les plus gros contributeurs et rapportent 69 % des revenus, tandis que les cassettes VHS y contribuent ?ɬ� hauteur de 19 % et les enregistreurs vid?ɬ�o ?ɬ� disque dur ?ɬ� 12 %. En 2007 les disques durs externes seront tax?ɬ�s, au m?ɬ�me titre que les baladeurs vid?ɬ�o.

Source: JournalDuNet.

Mode d?��Ǩ�Ѣemploi pour un r?ɬ�f?ɬ�rencement anglophone

Le bilinguisme d'un site, s'il apporte plus de visibilit?ɬ�, ne s'improvise pas. Extension de domaine et h?ɬ�bergement localis?ɬ�s, voire IP g?ɬ�olocalis?ɬ�e contribueront au bon r?ɬ�f?ɬ�rencement international.

Le r?ɬ�f?ɬ�rencement en langue anglaise repr?ɬ�sente un des aspects ?ɬ� prendre en compte d?ɬ�s la conception du site anglais. La formule id?ɬ�ale ?ɬ� appliquer pour s'assurer un positionnement avantageux dans les moteurs anglophones est d'avoir une extension du nom de domaine et un h?ɬ�bergement localis?ɬ�s. "C'est la meilleure combinaison", explique Marie Pourreyron, g?ɬ�rante de la soci?ɬ�t?ɬ� de positionnement Altitude Referencement. "Tout d?ɬ�pend ensuite des moyens et objectifs fournis par la soci?ɬ�t?ɬ�. Il y a bien s?ɬ�r des formules interm?ɬ�diaires", signale-t-elle.

Une extension agit directement sur le r?ɬ�f?ɬ�rencement. Pour positionner le site sur les moteurs anglais, il est plus avantageux d'opter pour une extension du pays vis?ɬ�, par exemple .co.uk pour l'angleterre ou bien .com.au pour l'Australie. "L'extension du pays est aussi mieux index?ɬ�e par la plupart des outils r?ɬ�gionaux et la soumission s'en trouvera facilit?ɬ�e", souligne Romain Orjekh du prestataire en r?ɬ�f?ɬ�rencement Aeronet.

L'utilisation des r?ɬ�pertoires est une alternative ?ɬ� l'extension g?ɬ�olocalis?ɬ�e, par exemple : www.nomdomaine.com/english. Cette m?ɬ�thode est appr?ɬ�ci?ɬ�e pour sa simplicit?ɬ� de mise en place. Elle permet ?ɬ�galement de b?ɬ�n?ɬ�ficier de la notori?ɬ�t?ɬ� du site initial, essentiel pour un moteur comme Google. Cependant, cette alternative complique parfois l'inscription dans certains annuaires, qui consid?ɬ�reront les diff?ɬ�rents r?ɬ�pertoires comme des doublons.

Selon les configurations, l'h?ɬ�bergement peut ?ɬ�galement avoir un r?ɬ�le essentiel dans le positionnement. L'extension prend g?ɬ�n?ɬ�ralement le dessus sur l'h?ɬ�bergement. Par exemple un site en ".fr" h?ɬ�berg?ɬ� aux Etats-Unis ressort quand m?ɬ�me par d?ɬ�faut sur la recherche en page France. "Sauf pour les extensions en .com, .net et .info. Pour ces sites, c'est la localisation de l'h?ɬ�bergement qui compte", informe Marie Pourreyron.

Afin de mettre tous les atouts de son c?ɬ�t?ɬ�, il est donc conseill?ɬ� d'h?ɬ�berger le site dans le pays cibl?ɬ�. "Il est possible de relever des contre-exemples. Nous avons d?ɬ�j?ɬ� vu des sites h?ɬ�berg?ɬ�s en France pouvant s'indexer et se positionner dans des moteurs internationaux. Reste qu'un h?ɬ�bergement dans le pays aide l'indexation dans des outils r?ɬ�gionaux", confie Romain Orjekh.

Certains h?ɬ�bergeurs facilitent le r?ɬ�f?ɬ�rencement international en offrant la possibilit?ɬ� d'avoir une IP g?ɬ�olocalis?ɬ�e, simplifiant grandement l'h?ɬ�bergement : "c'est le luxe pour le r?ɬ�f?ɬ�rencement", confie la g?ɬ�rante d'Altitude Referencement.

Une fois l'aspect technique pass?ɬ�, le contenu du site doit absolument ?ɬ�tre travaill?ɬ�. Il est donc n?ɬ�cessaire de s'adapter aux modes et habitudes du pays anglophone vis?ɬ�. En clair, proposer un discours coh?ɬ�rent et surtout pas une traduction simple du site fran?ɬ�ais. Le choix des mots cl?ɬ� lui-m?ɬ�me doit ?ɬ�tre repens?ɬ�. "Pour ?ɬ�tablir la liste des mots cl?ɬ�s en anglais, nous effectuons les m?ɬ�mes ?ɬ�tapes que pour la liste fran?ɬ�aise, sans se contenter d'une traduction litt?ɬ�rale", affirme Marie Pourreyron. C'est-?ɬ�-dire prendre en compte les expressions courantes, les habitudes, voir comment se place la concurrence et analyser le tout pour ressortir la liste la plus pertinente.

Dans les pays anglophones eux-m?ɬ�mes, des diff?ɬ�rences doivent ?ɬ�tre faites. "Les habitudes de recherche ne sont pas les m?ɬ�mes selon les pays : dans les pays scandinaves o?ɬ? la pratique de l'anglais et le niveau en anglais des habitants sont ?ɬ�lev?ɬ�s, les internautes recherchent aussi bien en anglais qu'en su?ɬ�dois. A contrario, au Japon ou en Chine o?ɬ? l'anglais est moins parl?ɬ�, la plupart des recherches se limitent ?ɬ� la langue du pays", souligne le repr?ɬ�sentant d'Aeronet.

Autres petites astuces ?ɬ� mettre en place sur le site : renseigner la balise m?ɬ�ta-langue et multiplier les liens vers le pays vis?ɬ�.

Reste la difficult?ɬ� majeure dans le r?ɬ�f?ɬ�rencement international : la pression concurrentielle. "Il n'est pas plus difficile techniquement parlant de positionner un site en anglais, qu'un site en fran?ɬ�ais, en italien ou espagnol. Cependant, le volume de site et la pression concurrentielle sont plus importants, pour l'instant, que sur le march?ɬ� fran?ɬ�ais", averti Romain Orjekh.

Source: JournalDuNet.

En d?ɬ�cembre, le e-commerce, c'est hotte !


Novembre et d?ɬ�cembre 2005 : plus de 1,7 milliard d?��Ǩ�Ѣeuros ont ?ɬ�t?ɬ� d?ɬ�pens?ɬ�s en achats sur la toile, d?��Ǩ�Ѣapr?ɬ�s la F?ɬ�d?ɬ�ration de Vente ?ɬ� Distance. Son sondage avait mis en avant qu?��Ǩ�Ѣun cadeau d?��Ǩ�Ѣinternaute sur trois avait ?ɬ�t?ɬ� choisi en ligne. La FEVAD esp?ɬ�re donc 2 milliards d?��Ǩ�Ѣeuros de d?ɬ�penses pour cette ann?ɬ�e. Mais la probl?ɬ�matique mon?ɬ�taire se trouve presque en retrait devant le casse-t?ɬ�te logistique de la distribution de tous ces produits command?ɬ�s.

Plus d?��Ǩ�Ѣachats en ligne signifie plus de livraisons, et elles explosent ces derniers temps, comme en t?ɬ�moigne l?��Ǩ�Ѣ?ɬ�volution du trafic de Coliposte. Coliposte est une branche de la Poste franco-allemande qui prend en charge les colis de moins de 30 kg, et elle attendait un pic de 1,4 million de colis par jour pour les 18, 19 et 20 d?ɬ�cembre.

On a coutume de dire qu?��Ǩ�Ѣau plus fort des f?ɬ�tes, 10% des colis connaissent des probl?ɬ�mes de traitement de service postal. Si l?��Ǩ�Ѣon rajoute les emb?ɬ�ches des paiements qui peuvent retarder la livraison (regardons droit dans les yeux eBay), il faut d?ɬ�finitivement ?ɬ�viter d?ɬ�cembre. Grouper ses commandes au moins un mois ?ɬ� l?��Ǩ�Ѣavance reste la seule garantie d?��Ǩ�Ѣun pied de sapin bien garni. Enfin, pour les t?ɬ�m?ɬ�raires qui ont envoy?ɬ� leur e-mail au p?ɬ�re No?ɬ�l trop tard, il est grandement recommand?ɬ� de ne pas choisir le "mode ?ɬ�conomique" de livraison du site marchand. Un colis suivi et assur?ɬ� vaut plus cher, mais un colis pay?ɬ� et jamais re?ɬ�u aussi.

Source: Info-Du-Net.

Comment Voyages-sncf.com surfe sur la neige avec "Eragon"


?ɬ�quipes marketing de Voyages-sncf ne manquent pas d'id?ɬ�es... Apr?ɬ�s la piste du communautaire pour la client?ɬ�le des cadres et des clients d'entreprises, le num?ɬ�ro un du voyage en ligne (*), filiale de la SNCF et de l'am?ɬ�ricain Expedia, cible les adolescents. Plus pr?ɬ�cis?ɬ�ment par le biais du r?ɬ�ve et du cin?ɬ�ma. Il lance cette semaine une campagne marketing tr?ɬ�s opportuniste, ?ɬ� l'occasion de la sortie au cin?ɬ�ma du film fantastique "Eragon".

Le voyagiste en ligne a envoy?ɬ� par e-mail une newsletter aux abonn?ɬ�s de son fil d'information, habill?ɬ�e aux couleurs du long-m?ɬ�trage. Un univers onirique imagin?ɬ� par un jeune auteur am?ɬ�ricain, Christopher Paolini, sur la voie d'un succ?ɬ�s plan?ɬ�taire ?ɬ� la J.K. Rowlings et sa fructueuse s?ɬ�rie des Harry Potter.

Ingr?ɬ�dients et accroche de cette campagne? Le film ayant pour d?ɬ�cors des paysages de neige et de montagne, voyages-sncf propose une offre adapt?ɬ�e. Qui d?ɬ�bute par plusieurs destinations "r?ɬ�elles" pour "prolonger" l'aventure ?Ǭ�au pays des neiges ?ɬ�ternelles?Ǭ�, par exemple les pays nordiques. Une offre de ?Ǭ�loisirs fantastiques?Ǭ� est ?ɬ�galement au programme: construction d'un igloo, motoneige...

E-mailing et mini site

Outre l'envoi de l'e-mailing, un mini site internet est cr?ɬ�?ɬ� pour l'occasion. ?Ǭ�Cela fait deux ans que voyages-sncf.com travaille en partenariat avec des distributeurs de cin?ɬ�ma (**) et des agences ?ɬ�v?ɬ�nementielles?Ǭ�, explique ?ɬ� ZDNet.fr Samira Chakkaf, ?ɬ� la communication du site voyagiste. ?Ǭ�Nous le faisons sans rythme impos?ɬ�. Par exemple, avec le film Alexandre, le spectacle Ben Hur...?Ǭ�. En tout 15 films ont donn?ɬ� lieu ?ɬ� des partenariats, ?Ǭ�et nous en d?ɬ�veloppons de plus en plus?Ǭ�. La derni?ɬ�re initiative en date concerne le dessin anim?ɬ� "Happy Feet", qui a fait l'objet d'une campagne similaire d?ɬ�but d?ɬ�cembre, plac?ɬ�e elle aussi sous le signe des c?ɬ�mes enneig?ɬ�es.

C?ɬ�t?ɬ� moyens engag?ɬ�s, ?Ǭ�nous r?ɬ�alisons des cr?ɬ�ations sp?ɬ�cifiques, avec nos ?ɬ�quipes en interne ou en externe?Ǭ�, des graphistes et des cr?ɬ�atifs notamment.

(*) voyagessncf.com a r?ɬ�alis?ɬ� en 2005 un volume d'affaires de 1,16 milliard d'euros, + 48% en un an. Le site vise 1,5 milliard d'euros en 2006
(**) en l'esp?ɬ�ce Twentieth Century Fox France

Source:ZNet.