mercredi 31 janvier 2007
L'opérateur mobile américain Verizon Wireless aurait pu devenir le distributeur exclusif de l'iPhone d'Apple. C'est ce que révèle Jim Gerace, le vice-président de Verizon, dans USA Today. Selon lui, un accord n'a pas pu être trouvé il y a deux ans, à cause des conditions demandées par Apple. Apple demandait notamment un pourcentage sur les abonnements et voulait avoir son mot à dire sur les conditions de ventes de son mobile. Devant le refus de l'opérateur, Apple s'est tourné vers Cingular. L'iPhone devrait être lancé en Juin aux Etats-Unis.
Source: JDN
Ce billet, écrit à 07:22 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
68 commentaires
:: 524 trackbacks
Nokia va lancer une campagne de publicité à partir du 5 février avec le slogan : "La musique vous parle avec Nokia". Plurimédia, elle se déclinera en TV, affichage, et sur les portails Web et les sites ciblant les 15-24 ans. Par ailleurs, des partenariats seront mis en place avec des webradios, des web TV et des radios musicales.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 07:16 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
42 commentaires
:: 121 trackbacks
Le géant de l'informatique Apple va installer au printemps sa plate-forme de vente en ligne de vidéos à Luxembourg, premier pas pour conquérir le marché européen, a affirmé mardi à l'AFP le ministre de l'Economie du Grand Duché, Jeannot Krecké.
"Apple va étendre ses activités de commerce électronique au Luxembourg en lançant au printemps prochain sa plate-forme iTunes Video pour la vente de vidéos en Europe", a indiqué le ministre, confirmant des informations de presse.
Selon Jeannot Krecké, les dirigeants de la firme américaine ont "discuté depuis plusieurs mois" avec les autorités luxembourgeoise pour l'implantation de cette plate-forme.
"Il s'agira de diffuser des séries télévisées et des longs métrages dans différents pays européens", a précisé M. Krecké. Le ministre de l'Economie n'a pas souhaité apporter plus de précisions sur les plans de la firme.
Apple a ouvert en 2005 à Luxembourg iTunes Music Store, sa plate-forme européenne pour la vente de musique en ligne. Le groupe avait choisi le Grand-Duché en raison du taux de TVA très avantageux sur les services en ligne, notamment le téléchargement de contenu.
Ce taux s'élève à 15% au Luxembourg, contre 19,6% en France par exemple. Il s'agit de l'un des taux de TVA les plus bas en Europe.
Le Luxembourg héberge déjà les grands noms du commerce électronique mondial en raison précisément de ce taux de TVA avantageux. Les géants américains du commerce en ligne comme Amazon ou AOL y ont implanté leurs plate-formes européennes. La firme de logiciel Digital Rivers a également ouvert en février 2006 une filiale au Grand-Duché pour la vente en ligne de ses produits à travers l'Europe.
"L'extension des activités de Apple au Grand-Duché s'inscrit dans la continuité de la politique que le gouvernement luxembourgeois mène depuis plusieurs années pour attirer les entreprises des nouvelles technologies et de commerce électronique", a assuré Jeannot Krecké.
Source: News.
Ce billet, écrit à 07:09 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
54 commentaires
:: 527 trackbacks
La croissance de la publicité en ligne ne faiblit pas : +48,2% en 2006...
Les annonceurs investissent massivement la Toile. Alléchés par la hausse continue des abonnés, et par la généralisation du haut débit, ils dépensent sans compter sur le Web français depuis plusieurs années.
Selon les derniers chiffres de TNS Media Intelligence et de l'IAB (Intenret Advertising Bureau), les investissements publicitaires en ligne ont progressé en France de 48,2% en 2006 à 1,688 milliard d'euros.
C'est néanmoins "un peu" moins moins qu'en 2005 : le marché avait alors bondi de 74% à 1,13 milliard d'euros.
Internet représente désormais 8% des investissements contre 5,9 % en 2005 et 3,6 % en 2004, solidifiant sa place de cinquième média français derrière l'affichage (qui progresse de 4,9% à 2,6 milliards), la radio (+6,6% à 3,3 milliards), la TV (+9,1% à 6,3 milliards) et la presse (+9,5% à 7 milliards). Mais devant le cinéma (+13,6% à 202 millions) et les médias tactiques (+21,6% à 12,6 millions).
La part d'Internet pourrait être plus importante car les études ne prennent pas en compte les liens sponsorisés qui pourtant représentent une part importante des dépenses des annonceurs.
Selon une étude de DoubleClick, principal fournisseur de technologies et de services de publicité online, le marché des liens sponsorisés européen a connu un pic sans précédent. Il devrait atteindre les 2,16 milliards d'euros d'investissements en 2006.
En France, les liens sponsorisés représentent 37% des investissements publicitaires en ligne, c'est aussi le pays où la progression de ce type de publicité a été la plus forte en Europe.
"Les annonceurs ont largement intégré Internet dans leur réflexion médias ", commente pour le Figaro Eric Trousset, directeur marketing du pôle d'investissements publicitaires de TNS.
Espérons que cela dure...
Source: Silicon
Ce billet, écrit à 07:06 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
56 commentaires
:: 526 trackbacks
Les internautes européens et particulièrement français sont de plus en plus nombreux à faire une partie de leurs emplettes en ligne pour lesquelles ils ont dépensé en moyenne 509 euros en 2006.
Cela ne surprendra véritablement personne et nombreuses sont les études qui confirment cette tendance, l'achat sur Internet commence à prendre sérieusement de l'ampleur, séduisant au fil des mois de plus en plus de consommateurs.
Le supermarché Internet
Selon une étude* du même genre qui vient d'être publiée et à mettre à l'actif de l' European Interactive Advertising Association, un organisme européen de représentation des régies publicitaires interactives, les achats en ligne des consommateurs français ont ainsi augmenté de 30 % en 2006 par rapport à 2005 et concernent 75% de la population internaute française, un phénomène à la hausse observable dans une moindre mesure toutefois, à l'échelle du vieux continent.
Côté budget, les cyber-acheteurs ont dépensé en moyenne 509 euros en 2006 contre 391 euros en 2005, les internautes français étant plus que les autres attirés par l'achat de vêtements et de billets de concert suite à une recherche sur le Web. Un ratio navigation / achat a ainsi été établi et toujours pour les internautes français, cette forme d'indice de confiance dans l'achat en ligne des consommateurs le plus souvent avertis (50% utilisent les sites de comparaison des prix au moins une fois par mois), a le plus augmenté dans le secteur du téléchargement musical, suivi par les téléphones portables et les voyages.
Pour Michael Kleindl, président de l' EIAA : " A mesure qu'ils s'ouvrent au monde numérique, les consommateurs deviennent plus ambitieux dans leurs achats en ligne, tant en ce qui concerne le choix des produits que le montant de leurs dépenses. Cette enquête confirme la hausse de l'indice de confiance des consommateurs dans Internet et montre qu'ils sont plus enclins à l'utiliser pour obtenir des informations et acheter des produits. Comme en témoignent l'augmentation des dépenses et le développement des articles achetés en ligne, les consommateurs intègrent le commerce en ligne dans leur vie quotidienne. "
Consulter le communiqué de l' EIAA
* étude menée par entretiens téléphoniques en septembre 2006 auprès de 7 036 adultes européens (pays scandinaves, Royaume-Uni, Allemagne, France, Espagne, Italie, Belgique Pays-Bas).
Source: GNT.
Ce billet, écrit à 07:02 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
2160 commentaires
:: 682 trackbacks
mardi 30 janvier 2007
En attendant le lancement de sa nouvelle plate-forme de liens sponsorisés "Panama", Yahoo Search Marketing a décidé de changer sa politique tarifaire en matière de liens sponsorisés. Désormais, le coût minimale des enchères des mots clefs les moins populaires sera de 5 centimes d'euros contre 15 centimes d'euros pour les mots les plus populaires, dont le coût réel dépend de la demande des annonceurs.
« La décision de réduire l'enchère minimale a été prise afin de permettre un accès plus large aux liens sponsorisés, plus spécifiquement pour les petites et moyennes entreprises européennes. Nous espérons que cette initiative encouragera davantage les annonceurs à comprendre les bénéfices des liens sponsorisés, dans un contexte de forte dynamique du secteur. En effet, si la publicité en ligne représente aujourd'hui 8% des investissements publicitaires en France, le Search Marketing est le 1er support avec 50% du total des investissements ». explique Bertrand Jonquois, Directeur Exécutif Yahoo! Search Marketing France.
Quelques mois après avoir réorganisé sa politique tarifaire à destination des agences avec l'abandon de la remise unique de 15%, Yaoo Search Marketing tente donc d'élargir sa clientèle aux petites et moyennes entreprises, une cible toutefois également convoitée par Google et Microsoft qui disposent par contre l'un comme l'autre d'une offre complète, incluant également le dépôt de domaine et la création de sites web.
Source: Neteco.
Ce billet, écrit à 07:43 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
68 commentaires
:: 131 trackbacks
Après les 74% de croissance en 2005, le dernière baromètre TNS Media Intelligence confirme que l'année 2006 a été à nouveau exceptionnelle pour la publicité en ligne avec une croissance de 48%.
Sur un marché français de la publicité estimé à 21 milliards d'euros, le web attire désormais environ 10% des investissements (2 milliards d'euros brut) ce qui le place toutefois encore loin de la presse 33,2% du marché avec 7 milliards d'euros) ou de la télévision (29,8% et 6,4 milliards d'euros).
Après les bons chiffres de la FEVAD sur le commerce électronique et ceux de médiamétrie sur l'audience de l'internet, ce baromètre confirme en tout cas la bonne santé globale du web marketing même si le marché est encore sans doute sous évalué, en raison de l'absence de comptabilisation des liens sponsorisés de Google, Yahoo, Microsoft ou Miva.
Cette tendance avait en tout cas été annoncée la semaine dernière dans nos colonnes par Jérôme de Labriffe, Président de l'IAB, qui estimait que l'internet était désormais un «média arrivé à maturité».
Source: NeteCo.
Ce billet, écrit à 07:41 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
42 commentaires
:: 1025 trackbacks
Sinequa, éditeur du moteur de recherche d'entreprise Intuition, a réalisé sa première levée de fonds de 4 millions d'euros auprès de Xange et Aurinvest. L'argent contribuera au développement commercial et au recrutement de nouveaux salariés pour l'équipe technique. Sinequa, positionné sur le marché de la recherche corporate, aura toutefois fort à faire face à des éditeurs comme Microsoft, Oracle, IBM ou Google.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 07:39 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
60 commentaires
:: 123 trackbacks
Lors du Midem (Marché international de la musique), SFR a annoncé le lancement d'un nouveau forfait qui, pour 14,90 euros, donne accès à 80.000 titres du catalogue Universal Music. Cette offre, fournie par Musiwave, constituerait, selon l'opérateur, une première sur le marché européen. Cependant, les personnes intéressées devront être rapides pour en profiter : seuls les 30.000 premiers clients SFR qui en feront la demande pourront y souscrire. En outre, l'utilisateur devra être équipé d'un téléphones compatibles (Nokia 6630, 6680 ou N70).
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 07:25 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
60 commentaires
:: 126 trackbacks
Alors que l'influence de Google sur le marché publicitaire ne semble pas avoir vocation à faiblir, sa politique concernant le placement publicitaire ne serait pas du goût de tous les annonceurs : en effet, d'après ClickZ, le moteur leur impose de gérer eux-mêmes le tracking et le reporting de leurs publicités en ligne. Autant d'opérations que les annonceurs confient généralement à des tiers, comme DoubleClick ou Atlas. Mais voilà, cette pratique n'est pas compatible avec la stratégie propriétaire qui a permis à Google de conquérir 60 % du marché publicitaire de la recherche. Sur l'activité régie, Google est en revanche dominé par Adverstising.com ou ValueClick, qui eux autorisent les annonceurs à passer par un tiers pour gérer leur tracking et leur reporting.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 07:22 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
73 commentaires
:: 524 trackbacks
Le ministre des Petites et moyennes entreprises Renaud Dutreil a annoncé dans La Tribune de mardi qu'il serait bientôt possible de créer son entreprise par internet.
"La dématérialisation complète des formalités de création d'entreprise devrait être effective dès avril prochain", a affirmé le ministre dans un entretien publié par le quotidien économique.
"En parallèle, les organismes assurant la responsabilité des centres de formalités des entreprises (CFE) qui ont renforcé leurs coopérations, devront proposer très rapidement des sites de création en ligne qui intègrent ces nouvelles fonctionnalités", a ajouté M. Dutreil.
La Tribune précise que "pour favoriser les créations d'entreprises, les bénéficiaires de l'aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d'entreprises (Accre) (...) ne seront plus dans l'obligation de passer par la direction départementale du travail pour effectuer leurs démarches administratives".
"Il leur suffira de contacter uniquement le centre de formalités des entreprises", précise La Tribune.
Source: News.
Ce billet, écrit à 07:18 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 526 trackbacks
Le moteur de recherche sur l'internet Google a annoncé lundi avoir modifié ses algorithmes de recherche de façon à neutraliser les "bombes" qui permettent de renvoyer sur un site des liens malveillants.
Jusqu'ici, des plaisantins pouvaient créer une série de sites comportant une insulte et les pointer vers le site d'un homme politique. En tapant cette insulte sur Google, le site de l'homme politique en question apparaissait comme la première réponse.
La plus connue de ces "Googlebombs" jusqu'à ces derniers jours était l'expression "échec lamentable". Depuis 2004, une fois tapée sur Google ou sur le moteur de recherche Yahoo!, cette formule donnait comme première réponse le site de la Maison Blanche.
Pour les réponses, les moteurs comme Google prennent en compte également les mots figurant dans les liens pointant vers un site, même si ce dernier ne contient pas ces termes.
"En améliorant l'analyse des liens sur le web, nous avons commencé à réduire l'impact de beaucoup de Googlebombs. Désormais nous donnerons comme réponse les discussions, les commentaires et les articles sur les Googlebombs", a indiqué Google sur son blog. "La portée de ce changement est minime car il y a moins d'une centaine de Googlebombs bien connues".
Taper sur Google l'expression en anglais "misérable failure" donne depuis lundi en première réponse un article de presse sur les "bombes", mais aussi quelques photos de George W. Bush.
Une autre "Googlebomb" désactivée est celle sur "victoires militaires françaises" qui se traduisait par la réponse: "pas de réponse pour la recherche demandée".
Source: News.
Ce billet, écrit à 07:15 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
aucun commentaire
:: 1037 trackbacks
Près de 30 millions de Français se sont connectés à Internet en décembre 2006, marquant une progression de 10% de la population internaute en un an, selon une étude Médiamétrie publiée lundi.
Selon Médiamétrie, 29.961.000 Français, (57,4%) se sont connectés à Internet contre 27.210.000 (52,5%) un an plus tôt, et 89,1% de la population internaute étaient connectés à domicile en haut débit, soit un bond de 28% entre décembre 2005 et décembre 2006.
Au 4ème trimestre 2006, plus de 14 millions de foyers français (54,9%) étaient équipés d'un micro-ordinateur, ce qui représente un bond de 13% en un an. Sur la même période, plus de 11 millions de foyers français (44,3%) ont eu accès à Internet, soit une progression de 19% en un an.
Selon cette étude, le temps mensuel moyen passé sur le web par visiteur unique (internaute s'étant connecté au moins une fois au cours du mois à domicile ou sur le lieu de travail) a augmenté de 2h 11mn de décembre 2005 à décembre 2006. En revanche, il s'est réduit de novembre 2006 à décembre 2006, passant de 24h 02mn à 22h 27mn.
Enfin, Google, la messagerie MSN/Windows Live, Microsoft, Orange, Free, Yahoo!, PagesJaunes, eBay, Voilà et L'Internaute, occupent les dix premières places du Top 30 des sites les plus visités par les internautes français.
Source: News.
Ce billet, écrit à 07:12 par cédric dans la catégorie Marketing-internet a suscité :
43 commentaires
:: 536 trackbacks
Christian Dior, Louis Vuitton, Hermès, Gucci... Les enseignes de luxe aussi ont pris le train du commerce électronique. Une opportunité de cibler une clientèle plus jeune ou vivant en région et de proposer des services exclusifs.
La révolution e-commerce touche aussi les marques de luxe. Christian Dior, Louis Vuitton, Hermès, Gucci, Thierry Mugler... on ne compte plus les grandes griffes qui ont ouvert leur boutique en ligne, après avoir reservé leurs articles aux boutiques et grands magasins.
« Les marques ont compris qu'elles pouvaient mettre en scène leur univers sur internet et capter de nouveaux clients », souligne Marc Lolivier, délégué général de la Fédération des entreprises de vente à distance (Fevad).
Une nouvelle clientèle à portée de souris
Selon une étude réalisée par le Credoc pour la Fevad en octobre dernier, près de 80% des Français disposant d'un revenu supérieur à 4 500 euros par mois achètent régulièrement sur internet, contre seulement 42% de ceux ayant des revenus compris entre 1 500 et 2 300 euros. Au-delà d'une clientèle aisée, le web permet aussi de toucher celle qui n'ose pas franchir la porte des boutiques de luxe. À l'instar de Christian Dior, qui ne compte que de sept magasins hors de Paris, c'est aussi un moyen de rencontrer des clients résidant dans les régions.
« Cela nous permet d'attirer les hommes qui n'entrent pas dans nos boutiques, mais aussi de jeunes internautes: nous avons d'ailleurs ouvert une boutique virtuelle dans l'univers virtuel persistant Second Life », a-t-on précisé chez Christian Dior auprès de ZDNet.
La plupart des marques en ligne proposent maroquinerie, joaillerie, accessoires et parfums, mais rarement des vêtements. « Ce sont des articles qu'il faut essayer, toucher, porter, donc peu compatibles avec un achat en ligne », argumente un représentant d'Hermès.
Des services VIP exclusifs
Les marques misent surtout sur l'opportunité que leur offre le net de proposer des services. Pour Christian Dior, qui a ouvert en 2005 sa e-boutique d'accessoires, joaillerie et parfumerie, internet est l'occasion de proposer ses "classiques", tels que Poison, plus forcément présents dans les rayons des magasins, où les nouveautés sont privilégiées. Mais aussi d'y faire tester ses nouveaux produits, quitte à offrir quelques cadeaux à ceux qui répondent aux questionnaires.
Chez Hermès, l'internaute peut se faire livrer par coursier sa cravate en trois heures à Paris et en banlieue. Comme dans ses boutiques, Louis Vuitton satisfait, depuis son site, des « commandes spéciales », par exemple des mallettes sur mesure confectionnées dans son atelier d'Asnières. Thierry Mugler propose exclusivement sur son site, mis en ligne cette année, certains produits et services, tels qu'un coffret collector de son dernier jus, Le Parfum. Les internautes peuvent même s'inscrire à des ateliers parfum ou encore à des clubs virtuels créés par fragrances.
Des boutiques à part entière
Coup de griffe aux sites de déstockage tels que vente-privée.com, ces boutiques en ligne se veulent des clones de celles situées avenue Montaigne à Paris. « Notre boutique en ligne est une boutique à part entière, qui ne vend pas des fins de stocks: elle a sa propre gestion des commandes et des stocks, et offre des possibilités de préréservation » , insiste un représentant de Dior.
Leur présence en ligne est aussi une manière de faire face aux contrefaçons sur le site d'enchères eBay. D'ailleurs, le message est clair sur la page d'accueil de Hermès.fr: « seuls les achats effectués selon ces canaux de vente (les sites officiels des marques, Ndlr) vous garantissent d'obtenir des produits authentiques. En dehors de ces canaux, vous risquez d'acquérir des contrefaçons ou des produits endommagés ».
Pourtant, les grandes maisons restent discrètes sur leur présence en ligne : aucun chiffre officiel n'est communiqué sur leurs ventes. Louis Vuitton se refuse même à tout commentaire concernant sa e-boutique ouverte fin 2005.
Source: News.
Ce billet, écrit à 07:09 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 1020 trackbacks
lundi 29 janvier 2007
A la veille de la sortie grand public de Windows Vista, le Comité européen pour les systèmes interopérables (ECIS) affirme que « les pratiques jugées illégales par la Commission européenne il y a trois ans, sont à présent mises en oeuvre dans Vista, le nouveau système d'exploitation développé par Microsoft ».
Ces tensions font suite à la condamnation, en mars 2004, de Microsoft par Bruxelles pour pratiques anticoncurrentielles. A l'époque, l'exécutif européen a imposé à l'éditeur américain des mesures correctives visant à garantir l'interopérabilité entre PC/Serveurs sous Windows et logiciels concurrents, et l'a condamné à 497 millions d'euros d'amende. Microsoft a fait appel de cette décision. Depuis, Bruxelles a fait savoir au numéro un mondial du logiciel que le successeur de Windows XP ne devrait pas être livré en Europe avec des applications clés pré-installées, un moteur « maison » par exemple, afin que la dynamique concurrentielle puisse fonctionner. Quoi qu'il en soit, le « European Committee for Interoperable Systems » ne décolère pas.
L'association qui regroupe des fabricants de matériel informatique et des éditeurs de logiciels dont Adobe, IBM, Linspire, Opera, Oracle, RealNetworks, Red Hat et Sun, alerte dans un communiqué daté du 26 janvier 2007 : « Avec Vista, Microsoft maintient ses pratiques illégales (...) Celles-ci vont freiner la concurrence sur les marchés des PC et des serveurs, et étendre les standards fermés à l'environnement Internet basé sur des standards ouverts ». Un dernier baroud d'honneur pour les concurrents de Microsoft avant la déferlante Vista ? L'alerte de l'ECIS fait suite à une plainte déposée l'an dernier auprès de l'autorité européenne en charge de la concurrence. L'association demandait à la Commission de mettre un terme aux pratiques « qui préservent les monopoles existants de Microsoft et risquent d'élargir sa domination à d'autres secteurs, l'informatique basée sur le web incluse ». A ce jour, aucune décision n'a été prise.
Source: Neteco.
Ce billet, écrit à 06:55 par cédric dans la catégorie technologie a suscité :
60 commentaires
:: 1094 trackbacks
Une étude de la Commission Européenne prévoit que le marché européen des contenus numériques devrait progresser de 400 % en 5 ans pour atteindre 8,3 milliards d'euros en 2010. Le secteur de la musique devrait ainsi réaliser 20 % de son chiffre d'affaires grâce à ses activités Internet et celui des jeux vidéo atteindrait 33 %. L'étude identifie 36 facteurs qui détermineront l'ampleur de la convergence numérique pour les années à venir. La Commission prévoit ainsi de favoriser l'accès de tous les pays membres aux technologies du haut-débit tout en se concentrant également sur les risques liés au piratage et à la gestion des droits d'auteurs.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:47 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 535 trackbacks
Alors que l'industrie du cinéma et les FAI n'arrivent toujours pas à trouver un accord sur la VoD (lire l'article du 18/12/07), Apple pourrait propose la solution. Le groupe pourrait ainsi proposer dès le mois de mars une offre de films à la demande sur sa plate-forme iTunes en France, en Italie, en Espagne et en Angleterre. Des longs métrages ainsi que des séries TV seront ainsi proposés. Apple pourrait choisir de ne pas respecter la chronologie des médias en proposant les séries après leur date de sortie en Angleterre, avant que les chaînes des autres pays n'aient pu les diffuser. Le groupe pourrait également proposer des films en location où à la vente 3 mois après leur sortie en salle contre 6 mois actuellement en France.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:43 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 540 trackbacks
Plus de 17,6 millions de Français ont acheté sur Internet en 2006, pour un total de plus de 12 milliards d'euros, selon le bilan publié, jeudi 25 janvier, par le ministère du commerce et la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad).
Près de 132 millions de transactions ont été effectuées en 2006, qui ont permis au chiffre d'affaires total du commerce en ligne de progresser de 37 % en 2006 par rapport à 2005 et deux fois plus qu'en 2004. A titre de comparaison, l'e-commerce représente environ deux fois le chiffre d'affaires des grands magasins et magasins non alimentaires non spécialisés.
"Les Français ont établi un nouveau record de dépenses sur Internet à l'occasion des fêtes de Noël, avec 2,6 milliards d'euros", souligne Renaud Dutreil, ministre du commerce et des PME. L'engouement pour l'e-commerce s'est poursuivi pendant les soldes, puisque, selon un premier bilan, les ventes ont crû de plus de 150 % par rapport aux soldes d'hiver 2006. Le 10 janvier, premier jour des soldes, a d'ailleurs constitué pour de nombreux sites le plus gros chiffre d'affaires en un jour de leur histoire.
L'achat en ligne concerne désormais 80 % des internautes et constitue la deuxième activité en ligne la plus populaire juste derrière l'utilisation de la messagerie instantanée (Windows Life, ex-MSN) et des courriels, qui concernent 88 % des internautes.
Autre tendance notable en 2006, l'évolution du profil des acheteurs. Benoît Cassaigne, directeur du département Internet de Médiamétrie, souligne ainsi "le nombre croissant des 35 ans et plus parmi les acheteurs, un public à fort pouvoir d'achat".
Cette croissance fulgurante s'est accompagnée en parallèle d'une explosion du nombre de sites marchands. En l'espace de deux ans, on est passé de 7 500 acteurs à 17 500. Par rapport à 2005, le nombre de sites a augmenté de 53 %. Toutes activités confondues, il s'est créé 6 000 sites en 2006, soit un nouveau toutes les heures pendant lesquelles les magasins sont ouverts.
En termes de fréquentation, eBay est en tête. Le spécialiste des ventes aux enchères sur Internet revendique en France 13,7 millions de visiteurs uniques au quatrième trimestre 2006. Suivent Fnac.com (10,9 millions) et La Redoute (9,3 millions).
INTERROGATIONS
La croissance a profité de manière comparable à tous les secteurs d'activité. Mais la bonne performance de certains, comme les sites de produits "high-tech", cache des interrogations sur leur modèle économique.
RueDuCommerce, spécialiste de la vente de produits technologiques sur Internet, en fait actuellement l'expérience. Malgré une hausse de 23,3 % de ses ventes lors du premier semestre de son exercice fiscal 2006-2007, l'entreprise a annoncé, mercredi, une perte de 1,77 million d'euros. RueDuCommerce tente de réorienter son modèle économique en développant de nouveaux services comme le financement ou les petites annonces. L'objectif est d'augmenter la fréquentation du site, afin de générer plus de revenus publicitaires.
Le décalage entre croissance du chiffre d'affaires et rentabilité se ressent également chez eBay, qui a publié mercredi un chiffre d'affaires mondial 2006 en hausse de 31 %, à 5,96 milliards de dollars, alors que ses bénéfices ne progressaient que de 3,9 %, à 1,12 milliard.
Source: LeMonde.
Ce billet, écrit à 06:09 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 533 trackbacks
Les Parisiens peuvent d'ores et déjà tester, dans une vingtaine de lieux publics, un nouveau système de « boîte à chansons » piloté par SMS. Le système a déjà fait son apparition dans quelques cafés.
Bientôt, on pourra plus fumer dans les bars, mais un nouveau facteur de convivialité va faire son apparition, ou plutôt réapparaître : le juke-box, piloté par SMS. C'est la trouvaille que l'opérateur Orange présentait sur la terrasse de son stand de la Riviera à Cannes, dans le Palais des festivals, lors du dernier Midem.
Le principe est simple : mettre à disposition du client, sur les tables des lieux publics équipés, un sorte de petit classeur vertical dont le design définitif n'a pas encore été arrêté, sorte de menu musical référençant plusieurs centaines de titres qui disposent chacun d'un code spécifique. Tout abonné Orange peut dès lors envoyer l'un de ces codes par SMS depuis son mobile et en demander l'exécution publique, dans le lieu où il se trouve.
« L'utilisateur est averti du délai au terme duquel la chanson qu'il a choisie sera diffusée et peut choisir d'accepter ou non son exécution. S'il accepte, il sera facturé un euro », explique Martin Duval, le responsable du développement d'affaires et des relations avec les start-up chez Orange France.
Le service a été développé en partenariat avec une start-up israélienne, YCD qui développe des systèmes de gestion multisite et à distance de l'ambiance musicale des lieux publics. Il suffit de disposer d'un simple PC connecté à Internet en haut débit avec le logiciel idoine installé pour offrir ce nouveau service de "SMS Jukebox" à sa clientèle.
Ambiance musicale modifiée par SMS
YCD offre également aux tenanciers de lieux publics la possibilité de bénéficier d'un habillage musical personnalisé, dont les « playlists » seront panachées par les requêtes SMS des abonnés d'Orange.
L'opérateur de télécommunications lance une opération pilote dans une vingtaine de lieux publics à Paris, bars et restaurants, pour tester ce nouveau système. « Dans un premier temps, seul les abonnés Orange pourront utiliser ce SMS Jukebox. C'est un très bon moyen de donner une visibilité à la marque », explique Martin Duval.
Il n'exclut pas, cependant, que le service puisse être élargi à d'autres opérateurs ultérieurement. « Le modèle n'est pas arrêté. Pour l'instant nous allons tester le pilote pendant trois à six mois. Nous attendons de voir quel sera son attractivité et les retours des patrons de lieux ».
Les parisiens peuvent notamment tester le "SMS Jukebox d'Orange" au Club Med World, au Toi Bar et au Chao Bar à Paris.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:07 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 543 trackbacks
vendredi 26 janvier 2007
Après avoir lancé un bouquet de chaînes en direct sur mobile il y a un an et demi, Canalsat Mobile et SFR vont plus loin dans leur partenariat en proposant un forfait de TV illimitée. Du 24 janvier au 6 mars 2007, l'offre "Canalsat mobile illimité" est intégré dans un forfait téléphonique global. Les abonnés SFR 3G peuvent également accéder à Canalsat mobile illimité sous forme d'un abonnement sans engagement pour 6 euros par mois pendant 2 mois, puis 12 euros par mois.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:10 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 777 trackbacks
Les investissements publicitaires sur Internet dans l'Hexagone en 2006 s'élèvent à 1,69 milliard d'euros, soit une croissance de 48 % sur un an, selon le baromètre de TNS media intelligence, réalisé avec l'IAB. En décembre, la hausse était de 53,5 %, à 230 millions d'euros. Internet représentait 8 % des dépenses publicitaires en 2006, contre 5,9 % en 2005, et 11,2 % en décembre, contre 8,1 % en décembre 2005.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:08 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
aucun commentaire
:: 620 trackbacks
Avec 12 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2006, le commerce en ligne entre résolument dans les moeurs des Français et la part des 35 ans et plus connaît une très forte progression, alors qu'un site marchand est créé toutes les heures.
"Le commerce en ligne se démocratise. Il est loin le temps où le cyber-client était Parisien, avait moins de 35 ans et se situait dans une catégorie socio-professionnelle très supérieure", a souligné jeudi François Momboisse, président de la Fédération de la vente à distance (Fevad), qui a publié le bilan annuel du cyber-commerce en France.
Près de 17,6 millions de Français ont effectué un achat en ligne au dernier trimestre 2006, pour un montant total de 12 milliards d'euros, contre respectivement 13,4 millions et 8,7 milliards d'euros au dernier trimestre 2005, selon une étude Médiamétrie réalisée pour la Fevad.
Le potentiel reste important, puisque sur les 12,9 millions de personnes souhaitant acheter en ligne au cours des six prochains mois, 1,5 million ne l'ont encore jamais fait.
Les Français plébiscitent les produits de haute technologie, les sites de voyage en ligne et les vêtements. Les marchands de produits high-tech Fnac, Cdiscount et Mistergooddeal figurent ainsi parmi les plus visités en 2006, aux côtés des spécialistes de la vente à distance 3 Suisses, La Redoute, Camif ou du site de voyage en ligne de la SNCF.
La croissance du chiffre d'affaires de ces sites tourne autour de 30% en 2006 par rapport à 2005.
Les distributeurs classiques d'articles de sport comme Décathlon et Go Sport, les marques de luxe et le secteur de l'automobile font aussi une percée. La semaine dernière, Peugeot a mis en vente des 1007 d'occasion, via un site de vente privée, une première pour un constructeur français.
Le site de vente entre particuliers eBay est de loin le plus utilisé dans l'Hexagone, signe que la pratique du commerce en ligne se banalise.
Les internautes sont, en outre, de plus en plus nombreux à se tourner vers la toile pendant les fêtes de fin d'année et les soldes. Ils ont dépensé en moyenne 196 euros sur internet pour acheter des cadeaux, soit 25% de plus qu'à Noël 2005 et 95% se sont dits satisfaits.
"Les clients trouvent ce moyen d'achat pratique car il permet d'éviter la foule et les déplacements. Le prix reste un critère important", a affirmé Alexandre Sagakian, directeur associé du cabinet DirectPanel.
La confiance dans les modes de paiement, l'amélioration du service après vente contribuent aussi au succès de l'e-commerce, selon la Fevad, même si le mensuel 60 Millions de consommateurs avait mis en avant dans une étude en décembre quelques abus, comme les retards de livraison ou le non-respect du droit de rétractation.
La multiplication des sites internet rend d'autant plus difficile le contrôle de ces abus. Le nombre de marchands a augmenté de 53% à 17.500 sites en 2006, c'est-à-dire qu'un site se crée toutes les heures en France.
Une majorité d'entre eux sont des petites entreprises qui souhaitent donner une plus grande visibilité à leur activité ou pouvoir exporter leurs produits à l'étranger.
Face à la prolifération de cyber-marchands, la concurrence s'exacerbe, puisque le panier moyen reste inchangé à 90 euros.
Le marchand en ligne d'électronique grand public Rue du Commerce a ainsi annoncé cette semaine une perte nette de 1,77 million d'euros au premier semestre de son exercice 2006/2007, alors que son chiffre d'affaires a augmenté de près de 30%.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:06 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 1023 trackbacks
Alors danger ou pas danger l'usage intensif du téléphone portable ? Mais non, répondent en coeur les opérateurs de téléphonie. Tout à fait affirment d'un autre côté des scientifiques indépendants.
Au fur et à mesure que la pratique du téléphone portable se répand et s'intensifie dans tous les pays du globe, des voix s'élèvent régulièrement pour dénoncer les dangers liés à l'usage du téléphone cellulaire. L'usage intensif entendons-nous car à petites doses, les ondes qu'émettent ces petits bijoux de technologies n'auraient que peu d'impact sur notre système physiologique et notre santé. A ce qu'on dit...
La publication d'un rapport cette année
Une nouvelle étude semble toutefois beaucoup plus affirmative sur la " toxicité " du téléphone portable. Oui, l'usage intensif représente bien un réel danger et notamment provoquerait des troubles et des tumeurs au cerveau.
Les industriels de la téléphonie mobile redoutent déjà le rapport qui sera publié cette année dans le très sérieux " International Journal of Cancer ". Les auteurs de ce rapport, le 2ème en importance depuis qu'on s'intéresse au sujet sont finlandais et travaillent auprès de la Radiation and Nuclear Safety Authority. C'est du sérieux !
Déjà quelques informations ont filtré de ce rapport. Tous les utilisateurs sont-ils concernés ? Non non... seulement ceux qui utilisent un téléphone portable depuis 10 ans. Ceux-là ont 40% de chance - ou de malchance plutôt - de développer des tumeurs du système nerveux du côté où l'appareil vient gentiment chatouiller l'oreille.
Minimiser ou ne pas alarmer ?
Le représentant des opérateurs britanniques est monté au créneau pour relativiser cette étude pointant le fait que " globalement " l'utilisation du téléphone portable n'augmentait pas le risque de cancer. Déclarations à lire dans le Telegraph.
Avec de pareilles déclarations, dans un sens puis dans l'autre, on risque bien, études sérieuses et objectives ou pas, de nous faire tourner la tête encore bien longtemps. Tout ce qu'il faut en fait pour que chacun retourne à ses conversations habituelles par ondes interposées, sans se soucier du qu'en dira-t-on.
Source: GNT.
Ce billet, écrit à 06:00 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 125 trackbacks
Le marché des téléphones portables se porte très bien, les ventes continuant de croître, et Nokia confirme de nouveau sa position de leader.
Les derniers chiffres révélés par le cabinet d'étude Strategy Analytics viennent confirmer les prévisions établies au mois d'avril 2006. Le marché du téléphone portable se porte très bien et continue de progresser.
1 milliard de combinés écoulés en 2006
Au cours de l'année 2006, ce sont plus d'un milliard de téléphones portables qui ont en effet été écoulés à travers le monde, soit une progression de l'ordre de 25 % par rapport à l'année 2005.
Cette croissance à deux chiffres devrait d'ailleurs se poursuivre cette année 2007 et atteindre les 12 %, soit 1,14 milliard de mobiles vendus. Elle sera certes moins soutenue, mais toujours forte.
Les parts de marché des cinq premiers constructeurs en 2006 :
1. Le finlandais Nokia : 34,1 % avec 347,5 millions de téléphones portables, contre 32,4 % et 265 millions en 2005
2. L'étasunien Motorola : 21,3 % avec 217,4 millions de téléphones portables, contre 17,9 % et 146 millions
3. Le sud-coréen Samsung : 11,6 % avec 118 millions de téléphones portables, contre 12,6 % et 103 millions
4. Le nippo-suédois Sony Ericsson : 7,3 %, contre 6,3 % en 2005
5. Le sud-coréen LG : 6,3 %, contre 6,7 % en 2005
Source: GNT.
Ce billet, écrit à 05:53 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 1035 trackbacks
jeudi 25 janvier 2007
Selon une étude Médiamétrie//NetRatings réalisée pour le compte de la fédération des sites de vente à distance (FEVAD), plus de 60% (+11%) des internautes ont consulté un site de commerce électronique au quatrième trimestre de l'année 2006. Sur le seul quatrième trimestre, ce pourcentage a même atteint 81,8% soit plus de 20 743 000 visiteurs uniques.
Selon cette étude d'audience, c'est eBay qui reste le premier site e-commerce avec plus de 13,7 millions de visiteurs uniques, ce qui le place largement devant la FNAC (10,9 millions) en très forte progression. Derrière eux, se suivent dans un mouchoir de poche LaRedoute (9,3 MVU), Cdiscount (9,16 MVU), Amazon (9,08 MVU) et Voyage-SNCF (8,9 MVU) qui recule.
Derrière ce groupe, se situe un second groupe au coude à coude avec PriceMinister (7,8 MVU), PIXmania (7,74 MVU) et RueDuCommerce (7,73 MVU) suivi d'autres marchands comme les 3suisses (6,3 MVU), Alapage (5,79 MVU), Camif (5,1 MVU), Vente-Privee (5 MVU), MisterGoodDeal (4,2 MVU) et enfin Dell avec 3,6 millions de visiteurs uniques.
Selon la FEVAD, le commerce électronique hexagonal a connu une croissance annuelle de 40%. En 2006, le e-commerce a représenté environ 100 millions de transactions (+46%), générant plus de 12 milliards d'euros de chiffre d'affaires dont plus de 2,6 milliards pour le seul mois de décembr
Source: NeteCo.
Ce billet, écrit à 06:59 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
un commentaire
:: 1035 trackbacks
Pour la seconde année consécutive, la fédération des sites de vente à distance (FEVAD) annonce que le commerce électronique hexagonal a connu une croissance annuelle de 40%. En 2006, le e-commerce a représenté environ 100 millions de transactions (+46%), générant plus de 12 milliards d'euros de chiffre d'affaires dont plus de 2,6 milliards pour le seul mois de décembre.
Seconde application la plus populaire derrière la messagerie électronique, le shopping séduit désormais plus de 17,6 millions d'internautes (+31%). Mais plus que les consommateurs, le boom concerne tout particulièrement les vendeurs, qui sont passés de 7500 à 17500 (+55%) en 2006. "Un nouveau site e-commerce ouvre toutes les heures, c'est une révolution silencieuse que nous avons réussi sans recours à la loi" s'est enthousiasmé Renaud Dutreil, Ministre du Commerce, des PME et de l'Artisanat.
"L'internet se démocratise et se féminise. Notre travail est de renforcer la confiance des consommateurs, en réfléchissant à de nouveaux outils pour renforcer la sécurité des moyens de paiement, mais également avec les vendeurs, en travaillant par exemple sur des chartes pour le commerce entre particuliers" a expliqué de son côté François Monboisse, Président de la FEVAD.
Qu'il s'agisse de l'audience, des transactions, des achats, des acheteurs ou des vendeurs, tous les indicateurs sont donc au vert pour le commerce électronique français et l'heure était plutôt à la sérénité parmi les membres de la FEVAD.
Source: NeteCo.
Ce billet, écrit à 06:57 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 1030 trackbacks
La version anglaise de l'encyclopédie communautaire remet en place l'attribut "nofollow" sur ses liens externes. Jimmy Wales, fondateur de Wikipedia, a pris cette décision suite à de nombreux abus et spams sur les pages du site. En effet, avoir un lien en provenance d'un site aussi populaire que Wikipedia augmente les chances d'optimisation. La version anglophone s'aligne ainsi sur toutes les autres versions qui pratiquaient déjà le "nofollow".
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:54 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
aucun commentaire
:: 1042 trackbacks
L'éditeur de logiciels "on demand" pour la gestion des campagnes d'e-mailing a publié un chiffre d'affaires annuel en hausse de 44 % par rapport à 2005, à 9,84 millions d'euros. Un résultat dû en grande partie à une accélération des performances de l'entreprise sur le quatrième trimestre 2006. Sur cette période, le chiffre d'affaires de la société ressort en hausse de 61 %, contre 40 % au troisième trimestre, pour atteindre 3,33 millions d'euros (résultat intégrant le chiffre d'affaires de Barnes et Richardson). Ce dynamisme résulte, selon Emailvision, du doublement des équipes de vente et de l'amélioration de l'efficacité commerciale. Sur le quatrième trimestre 2006, la société a vu le montant de ses prises de commandes augmenter de 66 %, et a gagné 125 nouveaux clients, portant ainsi son portefeuille à 500 clients.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:51 par cédric dans la catégorie Marketing-CRM a suscité :
aucun commentaire
:: 1040 trackbacks
Un an après le lancement de sa régie publicitaire pour podcast, la firme américaine Kiptronic, créée en 2005, annonce un premier tour de table de 4 millions de dollars. Cette levée de fonds a été réalisée pour l'essentiel auprès de Blueprint Ventures et Prism Venture Works, mais aussi auprès des investisseurs historiques de l'entreprise. Kiptronic est l'éditeur d'une place de marché qui permet aux podcasteurs de visualiser des publicités et de les intégrer facilement dans leur contenu vidéo. Un marché sur lequel se positionnent aujourd'hui d'autres acteurs tels que Podtrac ou encore Blast Podcast.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:48 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
aucun commentaire
:: 640 trackbacks
Le conglomérat industriel allemand Siemens a annoncé dans la nuit de mercredi à jeudi qu'il allait racheter le fabricant américain de logiciels UGS pour 3,5 milliards de dollars, dette incluse.
Le groupe bavarois, qui tient son assemblée générale ce jeudi, va également mettre en Bourse sa division d'équipements automobiles VDO dont il conservera toutefois une majorité du capital, a-t-il précisé dans un communiqué boursier.
Basé au Texas, UGS, qui fabrique des logiciels d'aide à la gestion de produits, est aujourd'hui aux mains de trois fonds d'investissement, Bain Capital, Silver Lake Partners et Warburg Pincus, qui l'avaient acquis trois ans auparavant pour 2 milliards de dollars, selon le quotidien américain des affaires Wall Street Journal.
La transaction doit encore être soumise aux autorités de la concurrence.
La mise en Bourse de VDO doit permettre à cette division, qui réalise un chiffre d'affaires annuel de quelque 10 milliards d'euros, de s'assurer "une croissance durable et profitable", selon Siemens.
Siemens est présent depuis très longtemps dans le secteur automobile, mais la division VDO telle qu'elle existe aujourd'hui résulte de la fusion avec des actifs de l'ancien conglomérat Mannesmann. VDO avait racheté en 2004 une usine de composants électroniques de Chrysler à Huntsville aux Etats-Unis.
Le groupe a entrepris une vaste révision de son périmètre d'activité depuis l'arrivée à sa tête de Klaus Kleinfeld, début 2005, ce dernier s'étant fixé pour objectif d'atteindre une marge comparable à celle de ses concurrents, tels General Electric, d'ici avril, rappelle le Wall Street Journal.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:44 par cédric dans la catégorie Business a suscité :
aucun commentaire
:: 631 trackbacks
Les sites internet marchands ont attiré 17,6 millions de Français au dernier trimestre 2006 et désormais plus de la moitié des cyber-acheteurs sont des femmes (57,7%), selon une étude Médiamétrie pour le compte de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad).
Il y a 12 mois, 13,4 millions de Français faisaient leurs courses sur internet, dont 49% de femmes. La part des 50 ans et plus a aussi progressé de 60% en un an, note Médiamétrie.
Les cyber-acheteurs plébiscitent les produits high tech, les vêtements, ainsi que les services comme les séjours, les billets de théâtres et les locations de voitures. Ils ont dépensé 2,5 milliards d'euros à l'occasion des fêtes de fin d'année, contre 1,7 milliard à Noël 2005.
Cependant, le montant moyen des transactions reste stable à 90 euros, précise la Fevad.
Le nombre de marchands augmente sensiblement, atteignant 17.500 sites, soit 53% de plus qu'en 2005. Un site se crée ainsi toutes les heures en France.
Le chiffre d'affaires des ventes réalisées sur internet en France est ressorti à 12 milliards d'euros en 2006, contre 8,7 milliards en 2005, soutenu par la percée de l'internet haut débit et par la confiance des internautes dans les moyens de paiement sur la toile.
La France est d'ailleurs le pays qui progresse le plus vite en Europe en terme de e-commerce, en passe de rattraper son retard sur l'Allemagne et la Grande-Bretagne.
Le chiffre d'affaires du commerce en ligne devrait atteindre 21 milliards en 2008, estime la Fevad.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:37 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 464 trackbacks
mercredi 24 janvier 2007
L'opérateur mobile propose avec son nouveau forfait "Exprima 24/24" les appels illimités vers les téléphones fixes, en plus des appels vers mobile. Pour le moment, ce forfait n'est disponible que jusqu'au 26 mars prochain. Il y a un an, Bouygues Télécom avait déjà lancé le forfait "Neo" proposant les appels illimités vers les fixes, mais en soirée seulement.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:45 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 532 trackbacks
Yahoo Search Marketing a lancé vendredi dernier une nouvelle tarification pour son système d'enchères de mots clés. Désormais, il sera possible de réaliser une enchère minimale pour 0,05 euro, sur certains mots clés, contre 0,10 euro auparavant. Le montant minimum d'enchères étant fixé en fonction des tendances de marché du moment (la tendances Google XD).
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:42 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
aucun commentaire
:: 630 trackbacks
Google travaille à la création d'un nouveau format publicitaire vidéo avec Sony et Warner Music. Google veut en effet profiter de l'essor de la vidéo sur Internet pour développer ses ressources en matière de mots clés. En pratique, ses deux partenaires proposent des contenus vidéos dans lesquels sont insérés les mots clés via son programme AdSense. Ces "chaînes", étant ensuite reprises sur des sites Web. L'achat de mots clés ne serait plus au coup pour mille (CPM), mais au coût par clic. Un test de ce type avait déjà été réalisé par Google avec les sites de MTV Networks du groupe Viacom.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:39 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
aucun commentaire
:: 117 trackbacks
Le président du directoire de Publicis, Maurice Lévy, a déclaré dans le Financiel Times que son groupe se devait de devenir un important fournisseur de contenus sur Internet. Pour ce faire, Publicis travaillerait déjà sur un projet de portail et sur le développement des sites de ses agences sur Internet. Selon lui, les parts de marché des moteurs de recherche comme Google et Yahoo vont continuer de croître sur le secteur.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:38 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
aucun commentaire
:: 521 trackbacks
Selon Akamaï, le nombre de connexions sur les sites marchands a été multiplié par 2,5 le premier jour des soldes le 10 janvier. Un phénomène qui a surtout pu être observé entre 7h30 et minuit avec un pic à 21h00. Une enquête de la Fédération de la vente à distance (Fevad) menée par Direct Panel montrait que 68 % des personnes interrogées déclaraient avoir l'intention de faire les soldes sur Internet, contre 31 % en 2006.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:36 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 1048 trackbacks
L'essor de la téléphonie via internet, technologie baptisée voix sur IP, pourrait aiguiser en 2007 l'imagination des criminels informatiques, toujours à la recherche d'attaques diversifiées, préviennent des spécialistes de sécurité informatique.
Alors que les virus sur téléphones mobiles commencent à apparaître, avec le développement des appareils 3G, la téléphonie sur IP permet de numériser la voix, qui circule avec d'autres données sur un même réseau, ce qui l'expose potentiellement à des risques informatiques.
Selon l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), la France comptait fin juin plus de 4,8 millions d'abonnements à la téléphonie sur IP.
"Par essence, la téléphonie sur IP est ouverte et donc plus vulnérable" que la téléphonie traditionnelle, estime Eric Domage, spécialiste sécurité du cabinet d'études IDC.
Pour les entreprises, des attaques d'atteinte à la confidentialité et de déni de service (saturation malveillante d'un serveur) sont envisageables, puisque tout est réuni sur le réseau de l'entreprise.
Les postes téléphoniques d'entreprise "deviennent des ordinateurs" et doivent être protégés comme tels, affirme M. Domage.
"Toute nouvelle technologie va toujours générer un emploi malveillant et un risque spécifique", estime Pascal Lointier, président du Club de la sécurité de l'information français (Clusif). Cependant, il ne faut s'attendre à "rien de neuf" du point de vue des méthodes de piratage, ajoute-t-il.
Si les conversations entre particuliers ont peu d'intérêt pour les pirates informatiques, le pourriel ("spam") et le "phishing" (fraude exploitant la naïveté des internautes en les incitant à communiquer des données personnelles), ont déjà trouvé leur adaptation en voix sur IP, les fraudeurs pouvant une nouvelle fois jouer sur la crédulité des victimes.
Ces nouvelles arnaques ont déjà été baptisées: le spit (spam over IP Telephony) et le "vishing" ("voice-phishing").
Sur le même principe que le "pourriel", le spit est un coup de téléphone non désiré par le receveur, à qui on proposera des produits contrefaits ou l'achat d'actions, très en vogue dans les spams écrits.
Les objectifs sont identiques: saturer les messageries, faire perdre du temps aux victimes et attendre que quelques-unes tombent dans le panneau de l'arnaque.
La voix sur IP permet de générer un plus grand volume de communications pour un moindre coût. Selon des essais réalisés par une société spécialisée, 1.000 appels d'une durée de trente secondes peuvent être envoyés en cinq secondes, indiquait récemment Vincent Maret, consultant sécurité chez Ernst & Young, dans le cadre du panorama 2006 de la cybercriminalité du Clusif.
Le fait que le message soit lu et non écrit peut rendre son filtrage plus compliqué, estime-t-il.
Dans le "vishing", l'utilisateur trompé est orienté vers un serveur téléphonique factice, par exemple de banque, et non un faux site internet comme dans le phishing, qui lui demandera des données confidentielles.
A ce jour, les attaques de masse restent de l'ordre du théorique. Seuls quelques cas limités ont été repérés, et encore aucun en France, indiquent les spécialistes interrogés.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:33 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 1059 trackbacks
La Chine, où un habitant sur dix est internaute, pourrait détrôner dans les deux ans les Etats-Unis du premier rang mondial pour les usagers d'internet, un eldorado pour les investisseurs, mais aussi un défi pour les autorités en raison de la fracture numérique croissante.
D'après le dernier rapport du Centre d'information chinois sur l'internet (CNNIC selon son acronyme en anglais), la Chine comptait, fin 2006, 137 millions d'internautes, soit une progression de 23,4% par rapport à fin 2005, dont 104 millions utilisaient un réseau à large bande.
"C'est un bond important, signifiant qu'un Chinois sur dix est un internaute", a déclaré le président du Centre, Mao Wei.
"Après avoir dépassé 10% (de taux de pénétration), l'internet chinois connaîtra une période de croissance encore plus rapide", a-t-il ajouté.
Le profil type de l'internaute chinois défini par l'étude est un homme, célibataire, âgé de moins de 35 ans, de formation universitaire avec un revenu mensuel inférieur à 2.000 yuans (258 dollars). Il passe en moyenne près de 17 heures par semaine en ligne, contre près de 16 heures en 2005 et 8 heure et demie en 2001.
Pour un autre responsable du CNNIC, Wang Enhai, vu les rythmes de progression, la Chine deviendra rapidement le plus grand marché mondial pour l'internet devant les Etats-Unis, où il y a actuellement 210 millions d'internautes.
"Nous pensons qu'il faudra deux ans tout au plus à la Chine pour détrôner les Etats-Unis", a-t-il estimé.
L'un des défis sera de développer l'usage de l'internet dans les campagnes et dans les régions de l'ouest défavorisées.
"Il existe une différence dans le développement de l'internet en Chine entre les villes et les campagnes et entre les régions", souligne le rapport du Centre, mettant en lumière une fracture numérique.
La province du Guangdong (sud), la plus riche, figure au premier rang pour le nombre d'internautes avec 18,31 millions de personnes (13,4%), suivie des autres riches provinces de l'Est (Shandong, Jiangsu et Zhejiang).
Les taux de pénétration à Pékin, Shanghai et Tianjin, sont respectivement de 30,4%, 28,7% et 24,9%, contre 6,8% dans le Qinghai, une région défavorisée du Nord-Ouest, et 5,8% au Tibet.
Cependant, souligne Huang Hui, directeur d'un centre d'études spécialisé sur l'internet à l'Académie des sciences sociales de Shanghai, la Chine est encore loin d'atteindre les Etats-Unis en terme de revenus.
"En ce qui concerne le commerce électronique, la Chine ne peut pas rattraper les Etats-Unis, car ils ont plus d'acheteurs en ligne, ils ont des systèmes de paiement sécurisés et modernes et les cartes de crédit sont largement utilisées", explique-t-il.
Malgré tout, les géants de l'internet misent sur le développement du marché chinois, en dépit des vives critiques des associations de défense des droits de l'Homme qui dénoncent leur politique de collaboration au contrôle politique du réseau par le régime communiste.
Le cabinet IResearch prévoit une explosion du commerce électronique en Chine, de 5,6 milliards de yuans (721 millions de dollars) en 2005 à 46 milliards de yuans cette année (5,9 milliards de dollars).
Cependant, s'il y a un domaine où la Chine et les Etats-Unis se retrouvent, c'est dans la diffusion des "spams", les deux puissances étant responsables de près de deux tiers de ces courriels indésirables ou pourriels envoyés dans le monde en 2006 : 34,2% à partir des Etats-Unis, 31% à partir de la Chine, selon la firme de sécurité Sophos.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:30 par cédric dans la catégorie technologie a suscité :
56 commentaires
:: 633 trackbacks
Aller à un concert, prendre un train ou visiter un musée pourrait devenir une expérience de plus en plus high-tech, alors que les initiatives pour faire du téléphone mobile un billet électronique se multiplient en France.
SFR a lancé lundi la première billetterie de spectacles en France entièrement dématérialisée sur mobile, qui permettra à ses clients d'acheter en ligne leur place de concert, puis de la recevoir par SMS.
L'opérateur a profité d'un changement de loi le 1er janvier: désormais la distribution de tickets papier n'est plus obligatoire pour les spectacles et événements sportifs, "ce qui devrait permettre un développement rapide de ce nouveau service", assure SFR.
Le mobile n'a pas attendu ce coup de pouce pour devenir billet virtuel dans les transports ou les musées, où la version papier est facultative.
"Nous avons commencé à tester la dématérialisation de tickets sur mobile en 2004 avec une société d'autocars en Savoie", raconte Emmanuel Guyot, président de Digitick, start-up pionnière en France, qui se lancera en 2007 en Allemagne, en Belgique et en Suisse.
Pour séduire les technophobes, il fallait faire simple: le client envoyait un SMS à un numéro surtaxé pour recevoir un billet sous forme d'image à présenter au contrôleur.
Une fois le test réussi, la société a courtisé les salles de théâtre et de concert, les festivals... "Aujourd'hui, notre catalogue comprend 600 concerts proposés en permanence, contre 300 il y a trois mois", explique M. Guyot, qui dit compter "plus de 20.000 clients".
La France n'est pas la seule à tenter l'aventure: Rome et Helsinki proposent des billets de bus sur mobile, des expériences similaires sont menées en Suisse, en Australie et en Nouvelle-Zélande, tandis qu'à Barcelone (Espagne), Telefonica permet de régler sa place de cinéma par téléphone mobile.
Digitick propose au client d'imprimer son billet ou de l'envoyer, sous forme de code-barres, sur son mobile. Jusqu'à la fin 2006, il devait quand même se faire remettre un vrai billet à l'entrée de la salle, législation oblige.
De quoi freiner l'adhésion du public: "Seuls 10% de nos clients téléchargent le billet sur leur mobile mais cette proportion devrait passer à 40% avec le changement de loi", estime M. Guyot.
Avec la nouvelle législation, le ticket mobile devient plus séduisant: son code-barres, "infalsifiable" selon Digitick, est scanné sur l'écran du mobile par les agents de contrôle. Pour en bénéficier, nul besoin d'avoir un téléphone dernier cri: seuls une connexion WAP (internet mobile) et un écran couleur sont nécessaires, des fonctionnalités de base sur les modèles actuels.
Ce billet virtuel est proposé par plusieurs musées parisiens, dont Le Grand Palais et le musée de l'Orangerie. Testé sur les TER de la SNCF, l'été dernier en Bretagne, il est aussi expérimenté par Orange, qui propose depuis peu aux supporters du club de football TFC Toulouse d'entrer dans le stade avec un billet entièrement mobile.
Mais, selon un porte-parole d'Orange, le code-barres n'est "pas assez fiable" ni "adapté à un développement massif": il doit être limité à des initiatives locales.
Il mise plutôt sur le paiement "sans contact", impliquant un mobile avec une nouvelle génération de puce électronique, un procédé courant au Japon et en Corée du Sud: le billet est intégré dans la puce et sécurisé. "Le lancement commercial en France est pour 2008", dit-il.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:28 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
27 commentaires
:: 1044 trackbacks
Le groupe internet Yahoo! a vu ses bénéfices chuter au quatrième trimestre et sur l'ensemble de 2006, malgré des ventes en hausse, en raison de dépenses de publicité accrues et du coût des stock options distribuées à ses dirigeants, a annoncé mardi le groupe.
Son bénéfice net au 4e trimestre a chuté de 60,7% à 268,6 millions de dollars. Sur l'ensemble de l'année, il a été plus que divisé par deux, à 751 millions contre 1,89 milliard un an plus tôt.
Le groupe a aussi annoncé des prévisions de chiffre d'affaires inférieures aux attentes pour le 1er trimestre 2007 et l'ensemble de l'année.
En revanche, son chiffre d'affaires a augmenté de 13% sur le 4e trimestre et de 22,3% sur l'année, à respectivement 1,7 milliard et 6,42 milliards, dans les deux cas à un niveau nettement supérieur aux prévisions des analystes.
Le bénéfice par action non ajusté a chuté à 19 cents contre 46 cents, mais hors exceptionnels il s'est établi à 16 cents contre 13 cents il y a un an, alors que les analystes tablaient sur 13 cents.
Son bénéfice d'exploitation a été réduit par une forte hausse des dépenses de marketing et de publicité, ainsi que par une très forte augmentation des charges liées à l'attribution de stock options, qui ont quasiment décuplé en 2006, atteignant 425 millions de dollars contre 52 millions en 2005. Cette hausse reflète toutefois un changement de comptabilisation de ces charges depuis le 1er janvier 2006.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:25 par cédric dans la catégorie Business a suscité :
aucun commentaire
:: 1041 trackbacks
mardi 23 janvier 2007
Une liste noire anti-phishing de Google, contenant des noms d'utilisateurs et des mots de passe privés, était accessible sur les serveurs de Google. La société Finjan, spécialiste en sécurité, a prévenu le moteur de recherche début janvier de ce problème, et ce dernier a enlevé rapidement les informations confidentielles. En plus des noms et des mots de passe d'utilisateurs postés par inadvertance, la liste incluait également des adresses e-mail et des données sur les sessions. Ces personnes sont actuellement contactées par Google afin de mettre en place les mesures nécessaires pour protéger leurs données.
Source: JDN
Ce billet, écrit à 07:14 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
aucun commentaire
:: 121 trackbacks
Le moteur de recherche de Microsoft effectuera un don au site ninemillion.org à chaque requête d'internaute. Le programme Ninemillion.org est dirigé par le Haut Comité aux Réfugiés de l'ONU et permet le développement de l'éducation et du sport auprès des neuf millions de réfugiés dans le monde.
Source: JDN
Ce billet, écrit à 07:12 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
aucun commentaire
:: 1041 trackbacks
A l'occasion du MIDEM (marché international de la musique) qui se déroule à Cannes, SFR a annoncé plusieurs nouveaux services dans le domaine de la musique. L'opérateur lance avec le prestataire de billetterie mobile Digitick un service de vente de billets (concerts, musées, spectacles...) dématérialisés. Les billets prennent la forme d'un code-barre reçu par SMS, que la salle n'a qu'à scanner. Le service est accessible sur le portail Vodafone Live de l'opérateur.
En parallèle, SFR a annoncé un partenariat exclusif avec la salle de spectacles parisienne La Cigale, qui devient pour deux ans La Cigale SFR. Dès le mois de février, La Cigale proposera le système de billetterie électronique de SFR et Digitick. Une fois par mois, un concert sera retransmis en direct sur les mobiles 3G des abonnés SFR. Enfin, la salle mettra en place des bornes de démonstration de l'offre SFR Music et du portail SFR Jeunes Talents.
SFR Jeunes Talents réunit 6.000 artistes inscrits (dont 50 % de clients SFR), qui ont déposé 10.000 titres sur le portail, qui lui-même totalise depuis septembre 2006 300.000 écoutes de morceaux. Quant à SFR Music, accessible aux 2,5 millions de clients SFR 3G équipés d'un mobile compatible, il affiche des chiffres encourageants : 4 millions de téléchargements en 2006 contre 830.000 en 2005, et 630.000 utilisateurs contre 150.000 en 2005.
Source: JDN
Ce billet, écrit à 07:10 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 745 trackbacks
China Mobile, le plus important opérateur mobile mondial en nombre d'abonnés (301,2 millions fin 2006), vient d'acquérir 89 % de l'opérateur mobile pakistanais Paktel pour un montant de 284 millions de dollars. Pour l'opérateur hong-kongais, il s'agit d'un premier investissement à l'étranger, après une tentative de rachat infructueuse de Millicom International, la maison mère de Paktel, en juillet 2006. Bien que China Mobile doive investir à la fois dans l'équipement et le marketing pour redresser la situation de Paktel, seul opérateur du Pakistan à perdre des abonnés, le géant mobile récupère 1,38 million de clients, sur un marché total de 46 millions d'utilisateurs. Rien que sur les 18 derniers mois, 36 millions de nouveaux utilisateurs de téléphones portables ont fait leur apparition au Pakistan.
Source: JDN
Ce billet, écrit à 07:07 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 518 trackbacks
Après avoir récemment enrichi son offre de supports publicitaires en y incluant notamment les journaux papier et la radio, Google pourrait bien y ajouter les jeux vidéo : le moteur de recherche a en effet approché en vue d'un rachat la société Adscape Media, spécialisée dans le placement de publicités dans les jeux en ligne. Aucun montant n'a encore été dévoilé. Pour rappel, Microsoft a aquis en 2005 la société Massive pour 200 millions de dollars.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 07:04 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
aucun commentaire
:: 528 trackbacks
Pour promouvoir son dernier film "Smoking Aces" avec Ben Aflek et Alicia Keyes, la société de production Universal a créé un jeu-concours dans Second Life : les membres de ce monde virtuel sont invités à se "chasser" mutuellement pour tenter de gagner un million de Linden (soit 3.750 dollars). En outre, Clearsping Technology a mis au point un Widget viral contenant la bande-annonce du film. Celui-ci comporte un marquage numérique qui permet à Universal de savoir combien et quels internautes l'ont affcihé sur leur blog ou leur site perso, et ainsi de garder le contrôle de sa campagne.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 07:02 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
aucun commentaire
:: 534 trackbacks
Dans la continuité de son projet Google Livres, le moteur de recherche s'apprête à mettre en place, avec le soutien de plusieurs éditeurs américains (Pinguin, HarperCollins, Simon & Schuter), un service qui permettra aux lecteurs de télécharger contre paiement des œuvres littéraires rendues compatibles avec différents terminaux. En effet, jusque-là, Google Livres, via des accords avec de prestigieuses bibliothèques à travers le monde, se contentait de mettre à disposition des internautes des extraits d'œuvres, puis de les rediriger vers un site vendant des livres reliés. Pour le moteur, un tel projet ne signifie pas la fin des livres en papier mais vise à donner plus de choix quand aux supports de lecture. Les e-books pourraient devenir un nouveau standard de lecture. En effet, Amazon prépare de son côté une boutique dédiée aux e-books, tandis que le japonais Sony vient de sortir son "Reader", une interface dédiée à la lecture numérique. En revanche, Google subit par ailleurs les procès intentés par plusieurs éditeurs qui considèrent que Google Livres viole leurs droits d'auteur.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:54 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 124 trackbacks
A l'occasion du salon mondial de la musique qui a lieu cette semaine à Cannes, Merlin, un nouveau regroupement de labels de musique indépendants, a annoncé dimanche un accord de distribution avec MySpace via son module de commercialisation Snocap (lire l'article JDN du 05/09/2006). Cet accord, dont la mise en œuvre devrait intervenir "dans un futur proche", permettra aux groupes de vendre leurs morceaux au prix qu'ils détermineront et sans DRM, les rendant ainsi compatibles avec l'iPod d'Apple. Pour parvenir à gérer les droits numériques des artistes, une structure nommée Mystore a été créé pour servir d'intermédiaire. Les labels indépendants totalisent 30 % des ventes de musique dans le monde, le reste étant dévolu aux majors Warner Music, Universal Music, EMI Group et Sony BMG.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:53 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 1064 trackbacks
Représentant les consommateurs français, allemands, norvégiens et finlandais, quatre organisations mettent Apple en demeure de créer les conditions de l'interopérabilité entre sa plate-forme de téléchargement, iTunes Store, et les baladeurs du marché.
Quatre associations européennes de consommateurs unissent leurs forces pour tenter de faire plier Apple : UFC-Que Choisir pour la France, la Fédération des organisations de consommateurs allemandes (VZBV), ainsi que les médiateurs de la consommation ("ombudsman") en Norvège et en Finlande. Toutes ont engagé des procédures, dans leur pays respectif, contre la firme dirigée par Steve Jobs.
« Notre objectif est de permettre à tous les utilisateurs en Europe de la plate-forme iTunes Music de bénéficier de conditions d'usages des fichiers justes », écrivent les quatre partenaires. Elles demandent en particulier à Apple « de mettre en oeuvre avant la fin septembre 2007, l'interopérabilité pour permettre au consommateur de choisir librement ses matériels de lecture destinés à lire les fichiers achetés en ligne ».
Pas de DRM ou une DRM interopérable?
Selon elles, trois options s'offrent au constructeur. Tout d'abord, négocier avec les maisons de disques « une exploitation sans DRM ». En France, les producteurs indépendants ont déjà franchi le pas avec les plates-formes Fnacmusic.com et Virginmega.fr, qui distribuent entre 150 000 et 200 000 morceaux au format MP3.
Deuxième possibilité : accorder une licence de son système DRM aux fabricants de baladeurs, pour qu'ils puissent eux aussi être compatibles avec iTunes Music. Apple a toujours refusé catégoriquement cette idée. Seule entorse, un accord avec Motorola pour la production d'une gamme de téléphones compatibles avec son système fermé.
Dernière option: « développer avec d'autres un DRM standard ». Ce qui signifierait qu'Apple accepterait de collaborer avec des sociétés comme Real Networks et Microsoft.
Un procès en attente en France
Les autres revendications des associations de consommateurs exigent enfin qu'Apple supprime « les clauses abusives » de ses contrats. Certaines d'entre elles lui permettent de modifier unilatéralement les conditions de vente, de « limiter sa responsabilité en cas de dommage causé au consommateur par les produits vendus sur le site ou empêcher le consommateur en cas de litige de recourir à la législation de son pays ».
« Ces demandes prennent en compte les particularités techniques du secteur et laissent à iTunes un temps raisonnable pour adapter ses pratiques dans le but de protéger à long terme les intérêts des consommateurs », affirment les partenaires.
Contacté par ZDNet.fr, Apple n'a pas répondu à nos appels.
En France, l'UFC-Que Choisir est déjà parvenue à faire condamner Sony pour vente liée, avec sa plate-forme Connect et ses baladeurs qui reproduisent le modèle d'Apple. En revanche, le juge n'a pas imposé d'obligation d'interopérabilité au groupe japonais. Une plainte similaire, concernant Apple, doit être jugée courant 2007.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:50 par cédric dans la catégorie Média a suscité :
aucun commentaire
:: 1070 trackbacks
jeudi 18 janvier 2007
Alors que Wikiasari est attendu, c'est Wikiseek qui voit d'abord le jour. Il s'agit d'un nouveau moteur de recherche interne à l'encyclopédie, développé par l'agence SearchMe. Il indexe uniquement les pages de Wikipédia et celles de ses sites liés.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 05:49 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
aucun commentaire
:: 641 trackbacks
Orange s'est associé au fournisseur de solutions mobiles Amobee pour proposer aux mobinautes français un modèle commercial basé sur l'affichage de publicités ciblées pour financer des contenus mobiles. Les abonnés pourront ainsi télécharger un jeu vidéo à prix réduit qui proposera des écrans publicitaires lors des phases d'attentes, comme par exemple entre deux niveaux. Saab fera notamment partie des annonceurs partenaires de l'opération.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 05:45 par cédric dans la catégorie Marketing-internet a suscité :
7 commentaires
:: 645 trackbacks
L'étude ComScore MediaMetrix sur le e-commerce américain en décembre 2006 confirme la croissance du marché. Le commerce de détail en ligne a ainsi vu son chiffre d'affaires augmenter de 26 % sur un an à 24,6 milliards de dollars. La bijouterie en ligne et le luxe ont été les catégories gagnantes du mois en enregistrant la plus forte hausse de trafic soit 21 % sur ce mois pour un total de 21,9 millions de visiteurs uniques. Les sites de carte de voeux électroniques ont gagné 15 % de trafic supplémentaire et les sites de vente de CD musicaux ont vu leur trafic grimper de 10 %, par rapport à 2005.
Yahoo reste en tête des domaines les plus visités en décembre avec un cumul de 131 millions de visiteurs uniques. Amazon a gagné une place et figure désormais au 7ème rang des sites les plus visités aux Etats-Unis.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 05:41 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
un commentaire
:: 117 trackbacks
Les revenus de la musique numérique ont presque doublé en 2006 dans le monde mais ne compensent pas encore la baisse des ventes sur support physique, a annoncé mercredi la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI).
Le numérique pèse désormais 10% du chiffre d'affaires de l'industrie de la musique, contre 6% en 2005 et 25% attendus par l'IFPI à l'horizon 2010. Mais cette progression ne suffit pas encore à compenser la baisse des ventes physiques (CDs, cassettes, DVDs, vinyles).
"Le rythme auquel l'industrie se transforme est à couper le souffle, mais le Saint Graal nous échappe encore", a souligné John Kennedy, président de l'IFPI, dans le rapport.
"Je voudrais pouvoir annoncer que la baisse des ventes de CDs est compensée par une croissance égale ou supérieure des revenus de la musique téléchargée par internet et sur téléphone portable, mais ce n'est pas encore le cas", a-t-il déploré.
Les téléchargements sur internet et sur téléphone portable ont rapporté environ deux milliards de dollars, contre 1,1 milliard en 2005. La croissance des revenus du numérique s'est néanmoins ralentie, puisqu'ils avaient triplé entre 2004 et 2005.
2006 a été une année particulièrement réussie pour les ventes de "singles" (un titre) en ligne, la vraie locomotive du marché, qui ont explosé de 89% sur un an, à 795 millions de téléchargements.
Cette hausse a été entretenue par une offre plus fournie, avec quatre millions de titres disponibles en téléchargement en 2006, deux fois plus qu'en 2005. L'IFPI a aussi dénombré 498 plateformes de téléchargement légal -sur le modèle d'iTunes, leader mondial, ou de concurrents comme Napster ou eMusic- contre 335 en 2005.
La croissance a été solide aussi pour les ventes d'albums, de sonneries de téléphones portables, de clips vidéos ou encore de "ringback tones" (une sonnerie musicale personnalisée choisie par celui qui appelle, et non celui qui reçoit).
Source: News.
Ce billet, écrit à 05:38 par cédric dans la catégorie Marketing-internet a suscité :
8 commentaires
:: 625 trackbacks
Les ventes mondiales de PC ont progressé de 9,5% en 2006 avec 239 millions d'ordinateurs vendus, sur un marché dominé par les constructeurs américains Hewlett-Packard et Dell, leaders à égalité avec 15,9% de parts de marché, selon une étude du cabinet Gartner.
Sur le seul quatrième trimestre 2006, Hewlett Packard (HP) a cependant vendu plus de PC que Dell, confortant ainsi son titre de numéro un, qu'il avait récupéré au trimestre précédent pour la première fois depuis 2003.
HP a vu ses ventes mondiales de PC bondir de 23,9% au quatrième trimestre, tandis que sa part de marché progressait à 17,4% contre 15% un an plus tôt. Sur la même période, les ventes de Dell ont reculé de 8,7%, provoquant un affaissement de sa part de marché à 13,9% contre 16,4% l'année précédente.
Le fabricant chinois Lenovo, qui avait racheté en 2005 la division PC de l'américain IBM, arrive en troisième position, avec une part de marché de 7,1% au quatrième trimestre, suivi par Acer et Toshiba.
Les ventes de PC ont baissé de 3,2% aux Etats-Unis au quatrième trimestre et ont progressé de 1,2% sur l'ensemble de 2006 à 61,1 millions d'unités.
Dell a maintenu sa position de numéro un sur ce marché, malgré un recul de ses ventes de 17,3%.
La région "Europe, Moyen-Orient, Afrique" est restée la première consommatrice d'ordinateurs personnels avec 80,3 millions d'unités vendues en 2006, soit une hausse de 10,8% par rapport à 2005.
En Asie-Pacifique, les ventes de PC ont progressé de 17,2% en 2006, elles ont bondi de 24,7% en Amérique Latine et décliné de 3,3% au Japon, selon Gartner.
Source: News.
Ce billet, écrit à 05:34 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
un commentaire
:: 517 trackbacks
Plus de 1600 communes rurales sont désormais couvertes par les réseaux de téléphonie mobile. Un bilan communiqué par le ministère de l'Aménagement du territoire qui entend couvrir toutes les zones blanches avant fin 2007.
Téléphoner en rase campagne avec un portable relève parfois du vrai défi, tant certains secteurs restent exclus des zones de couverture des opérateurs. Une situation appelée à disparaître si l'on en croît « le très bon résultat » présenté le 17 janvier par Christian Estrosi, Ministre délégué à l'Aménagement du territoire.
Fin 2006, le bilan du programme de couverture des zones blanches, ces zones où le téléphone portable est inopérant, pointait 1 683 communes désormais connectées au réseau de téléphonie mobile, contre 1 500 initialement prévues. Un an plus tôt, fin 2005, on en dénombrait 577.
« Nous avons à nouveau dépassé notre objectif » note dans un communiqué Christian Estrosi qui confirme « la perspective d'achèvement d'ici fin 2007 » du programme de couverture des zones blanches. Au total, ce sont 3 000 communes qui ont été recensées comme étant hors du champ de couverture des opérateurs. De nouvelles localités répondant aux critères de sélection devraient d'ailleurs être intégrées dans cette nouvelle phase de déploiement.
La couverture des axes routiers importants, dont le trafic est supérieur à 5 000 véhicules par jour, serait aussi à l'étude actuellement. Le ministère travaillerait sur le dossier en concertation avec les trois grands opérateurs de téléphonie mobile. Des mesures devraient être annoncées prochainement, d'ici la fin du premier trimestre 2007.
Le sujet est d'ailleurs à l'ordre du jour à l'Assemblée nationale. Les députés doivent en effet examiné le 31 janvier un amendement prévoyant la couverture obligatoire des axes prioritaires de transports. Autrement dit, selon le texte, « des liaisons ferroviaires nationales et internationales du territoire métropolitain, des transports urbains de personnes en site propre (métro, RER, tramways), des autoroutes, des routes nationales, des routes départementales sur lesquelles circulent en moyenne annuelle au moins 2 500 véhicules par jour ».
Source: News.
Ce billet, écrit à 05:30 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 118 trackbacks
mercredi 17 janvier 2007
Après avoir imposé sa messagerie instantanée Windows Live Messenger chez Bouygues Telecom, Ten Mobile et Orange, Microsoft a décidé d'appliquer la même stratégie à son nouveau moteur Windows Live Search.
Il y a quelques semaines, l'éditeur a en effet signé un accord stratégique avec Bouygues Telecom, visant à faire de Live Search, le moteur par défaut du portail i-mode, délogeant ainsi Google, qui avait lui-même remplacé Exalead, quelques mois auparavant.
Grâce à cet accord, les 1 646 000 clients i-mode ont désormais accès à Windows Live Search dès la première page du portail i-mode. Le moteur indexe les contenus i-mode officiels, les contenus i-mode non officiels mais donne également accès à l'ensemble du web, grâce à une technologie permettant de reformatter les pages pour les rendres accessibles depuis un simple téléphone mobile.
« Notre partenariat avec Bouygues Telecom a vocation à créer de nouveaux scenarios d'usage pour le grand public sur le mobile. Après la messagerie instantanée et l'email, nous sommes heureux de renforcer aujourd'hui notre collaboration dans le domaine de la recherche d'informations. La technologie exclusive de notre moteur de recherche Live Search en matière de mobilité offrira aux clients i-mode un accès rapide à l'information recherchée. » expliquait début décembre Olivier Marcheteau, directeur de la division Internet grand public de Microsoft France.
L'arrivée de Windows Live Search est également l'occasion pour Bouygues Telecom de tester l'utilisation de liens sponsorisés sur mobiles, commercialisés par la régie Microsoft Digital Advertising Solutions. Tout comme Yahoo, qui vient de signer un accord stratégique avec Vodafone, ou Google dont certaines applications équipent les nouveaux smartphones, la mobilité semble en tout cas un nouvel axe stratégique pour les géants du web et surtout l'occasion d'une véritable redistribution des cartes...
Source: Mobinaute.
Ce billet, écrit à 07:11 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 1054 trackbacks
Le site de vente de lentilles de contact à prix réduits, Lentilles-moins-cher.com, créé par Orianne Garcia, ancienne fondatrice de Caramail, annonce un portefeuille de 12.000 clients acquis depuis le lancement du site en octobre 2005. Ce site e-commerce, installé en Allemagne et opérant sur le marché français, enregistrerait
plus de 100 commandes par jour. Le marché de l'optique français est évalué à 3,5 milliards d'euros dont 10 % est constitué par les lentilles de contact.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 07:05 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
9 commentaires
:: 122 trackbacks
Alexandre Mesnais, ex directeur juridique de Xerox France, intègre eBay France au poste de directeur juridique et réglementaire et entre au comité de direction. Agé de 35 ans, il a travaillé pour le cabinet d'avocats Lovells entre 2000 et 2003. Il aura notamment en charge l'épineux dossier des plaintes déposées contre le site d'enchères par plusieurs marques de luxe françaises, notamment celles appartenant à LVMH, qui lui reprochent de permettre la vente de produits contrefaits. Il remplace à ce poste Bénédicte Deleporte.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 07:03 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 113 trackbacks
Les deux plus gros distributeurs de musique en ligne en France auraient-ils sonné le glas des DRM (Digital Rights Management, ou mesures techniques de protection) ? Virgin vient en effet d'annoncer la mise à disposition sur le site VirginMega.fr de 200 000 titres en MP3, dépourvus de toute protection contre la copie ou le portage vers des baladeurs et autres produits non compatibles. La Fnac devrait emboîter rapidement le pas à Virgin sur son site FnacMusic.fr en proposant pour sa part quelque 150 000 titres sans DRM.
Généralement, les chansons ou albums proposés à la vente sur les plates-formes de téléchargement sont équipés de verrous numériques qui protègent les droits d'auteur mais restreignent leur utilisation : les 200 000 fichiers déverrouillés de VirginMega (près de 10 % de son catalogue) pourront ainsi être lus sur tous les baladeurs, sans problèmes d'interopérabilité entre les marques, mais également copiés, conservés et écoutables, même en cas de changement d'ordinateur ou de baladeur. VirginMega a pour cela conclu un accord avec plusieurs labels indépendants (notamment le label V2) pour mettre en place cette offre qui concerne des artistes comme Anaïs, Bloc Party, Isabelle Boulay, dEUS, Ennio Morricone, Henri Salvador, Morcheeba ou encore Jean-Louis Murat. L'annonce de la Fnac sera détaillée mercredi 17 janvier.
Ce déverrouillage, déjà mis en place de façon confidentielle en 2006 par les mêmes acteurs, vise à déclencher l'explosion de la vente de musique en ligne tant attendue par les cybermarchands et les principales majors de la musique. Ces dernières restent cependant toujours fermement opposées à la suppression des DRM, bien que des entreprises comme EMI aient annoncé la suppression des protections contre la copie sur leurs CD. Les deux principaux fournisseurs de systèmes de gestion de droit (Apple et Microsoft) n'ont pour l'instant pas réagi à cette annonce.
Le monde de la musique en ligne ne cesse de bouger au grès des consolidations, rapprochements ou choix technologiques. Le dernier en date est signé AOL Music, qui vient d'annoncer avoir choisi Napster (556 000 abonnés payants), l'ancien trublion du peer-to-peer et du téléchargement de mp3 illégaux, comme solution de diffusion de musique légale sur son site en remplacement de AOL Music Now, sa plateforme actuelle qui regroupe quant à elle 350 000 abonnés payants. iTunes Music Store d'Apple, avec 80% du marché, reste toutefois le leader incontesté de la vente de musique en ligne aux Etats-Unis.
Source: LeMonde.
Ce billet, écrit à 07:00 par cédric dans la catégorie Multimédia a suscité :
aucun commentaire
:: 634 trackbacks
Plus de 1 100 communes rurales ont été connectées au réseau de téléphonie mobile en 2006, a annoncé mercredi le ministère délégué à l'Aménagement du territoire, qui veut couvrir toutes les communes françaises d'ici fin 2007, ainsi que les principaux axes routiers.
Alors que 3.073 communes, situées dans des zones reculées et peu peuplées, avaient été identifiées en 2003 comme des "zones blanches", couvertes par aucun des trois opérateurs, il n'en restait plus que 1.390 fin décembre, a indiqué le ministère dans un communiqué.
Un an plus tôt, 577 communes du programme avaient déjà pu accéder à la téléphonie mobile: elles sont désormais 1.683. Le ministère prévoit d'achever la couverture des zones blanches d'ici fin 2007.
Le ministre délégué à l'Aménagement du territoire Christian Estrosi doit présenter à la presse le bilan annuel de ce programme dans la matinée.
"Nous avons dépassé notre objectif", se félicite-t-il dans le communiqué, saluant "la mobilisation de l'ensemble des partenaires associés autour de l'Etat, notamment les conseils généraux et les opérateurs de téléphonie mobile", tous ces acteurs contribuant au financement de ce déploiement.
Le ministère prévoit d'inclure de nouvelles communes, qui n'avaient pas été recensées initialement, dans ce programme, tout en se fondant sur le même nombre de sites (antennes de téléphonie mobile), qui seront donc optimisés pour une meilleure couverture.
Il travaille également "avec l'ensemble des partenaires à la couverture des axes de transport prioritaires par les trois opérateurs de téléphonie mobile, notamment pour les axes routiers où le trafic est supérieur à 5.000 véhicules par jour".
"Des décisions en ce sens seront prises au cours du premier trimestre 2007", précise le communiqué.
Une proposition de loi du député UMP Patrice Martin-Lalande, déposée en décembre et qui doit être étudiée par les parlementaires dans les prochaines semaines, prévoit justement la couverture obligatoire des axes prioritaires de transport par les opérateurs mobiles.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:55 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 644 trackbacks
Au Musée des Arts et Métiers, les possesseurs de téléphone mobile peuvent désormais agrémenter leur visite de contenu multimédia. Des sons, des animations et des photos enrichissent la découverte d'une quarantaine d'inventions.
Depuis le 16 janvier, les visiteurs du Musée des Arts et Métiers, à Paris, sont accompagnés d'un nouveau guide « high tech », qui tient dans la poche : leur téléphone portable. Pour savoir à quoi sert le fameux pendule de Foucault par exemple, il leur suffit de photographier avec leur portable, à une quinzaine de centimètres de distance, le code barre en 2D affiché sur le présentoir. Une fois saisie, l'image doit être envoyée à un numéro indiqué, moyennant un coût de 30 centimes d'euros, hors forfait. Deux à trois minutes plus tard, le téléphone reçoit alors animations, photos, sons et texte pour comprendre le fonctionnement du pendule.
Cette expérimentation, conduite par la division Recherche & Développement de France Telecom jusqu'au 5 mars 2007, concerne une quarantaine d'oeuvres sur les 4 000 exposées dans le musée. « Le procédé fonctionne avec n'importe quel téléphone capable d'envoyer des MMS (NDLR : la version multimédia du SMS) et équipé d'un capteur photo de 640x480 pixels au minimum » explique Eric Bonneau, chef du projet chez France Telecom. Sans oublier que seuls les abonnés à Orange, ou à un opérateur virtuel exploitant ce réseau, profitent de l'innovation.
« Ce contenu multimédia à vocation pédagogique est particulièrement approprié à ce Musée » remarque Xavier de Montfort, directeur de la communication du Musée. « Les objets et inventions étant pour la plupart très techniques, une animation, un son ou une vidéo est parfois plus explicative et plus ludique qu'un simple texte » poursuit-il.
Les codes barres utilisés sont en 2 dimensions, de forme carrée, et stockent plusieurs milliers de caractères codés. Il en existe plusieurs types : le semacode, utilisé par France Telecom dans le cadre de cette expérience, ou le QR (Quick Response), très répandu au Japon. Mais chacun requiert un logiciel de décodage distinct, préinstallé ou à installer sur le téléphone, ce qui aboutit à des incompatibilités.
Des applications sans limite
La solution retenue au Musée des Arts et Métiers se veut plus souple : l'image est envoyée telle quelle et déchiffrée à distance. Spécialisée dans les technologies mobiles, la société Abaxia travaille avec les 3 grands opérateurs français pour développer un codage commun, dans un souci d'interopérabilité.
Les applications semblent en tout cas sans limite, et le marketing s'en est déjà emparé. Récemment, Nokia a implémenté des codes barres 2D dans les pages de publicité du modèle 6280, permettant ainsi de télécharger, sur son portable, le spot TV du produit. Au Stadium de Toulouse, les supporters de l'équipe de football locale, qui ont acheté leur place sur Internet, reçoivent sur leur portable un code barre 2D, authentifié à l'entrée de la tribune. Quant au journal le Figaro, il envisagerait lui d'associer articles et codes barres 2D pour permettre au lecteur d'en savoir plus.
Et le particulier peut lui-même pousser l'utilisation des sémacodes beaucoup plus loin. Sur le site mobiletag, il lui est possible de créer son propre code barre 2D, regroupant son identité et ses coordonnées, et de l'imprimer sur une carte de visite. Un moyen ultra moderne de faire connaissance...
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:52 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 1039 trackbacks
Les deux plates-formes françaises de téléchargement, FnacMusic et VirginMega, ont décidé de proposer sur leur site un large éventail de titres sans verrouillage numérique. Une offre qui pourrait bien bouleverser l'ordre commercial établi.
2007, année sans DRM ? Fnacmusic.com et Virginmega.fr y croient dur comme fer. À la veille du Midem, la grand-messe de l'industrie musicale (21 -25 janvier, Cannes), les deux plates-formes de téléchargement concurrentes jettent même un pavé dans la marre. Elles livrent chacune une partie de leur catalogue au format MP3, sans protections anticopie. Grâce des accords signés avec des maisons de disque et des agrégateurs indépendants, Fnacmusic libère du joug numérique 150 000 titres et Virginmega jusqu'à 200 000.
Leur cheval de bataille pour cette initiative : l'interopérabilité des fichiers musicaux avec l'ensemble des baladeurs. À cause des protections anticopie, les fichiers téléchargés sur ces plates-formes payantes ne sont pas forcément compatibles avec tous les baladeurs du marché. Une politique pratiquée notamment par Apple, qui entend rendre l'utilisateur captif de son duo iTunes Store- iPod.
En choisissant le MP3 sans DRM (Digital Rights Management, pour gestion des droits numériques), lu par l'ensemble des baladeurs, les plates-formes françaises cherchent donc à s'affranchir du modèle captif. L'opération n'est pas conjointe, mais les arguments sont les mêmes pour Fnacmusic comme Virginmega: « À ce jour, nous constatons que les mesures de protection constituent un frein réel au développement de la musique numérique », souligne Frank Leprou, le directeur général de Fnac.com qui a déjà expérimenté, à l'automne 2006, la vente de titres sans DRM.
Le discours des majors dépassé ?
Vendre ces morceaux sans DRM « était une question taboue il y a un an, mais c'est désormais une évidence pour nous », renchérit Julien Ulrich, DG de Virginmega.fr. « Nous avons été écoutés par tout le monde, y compris les majors, et entendus par les labels indépendants. » D'autres plates-formes d'origine anglo-saxone, mais accessibles en France, comme eMusic, proposent déjà depuis plusieurs mois des catalogues au format MP3.
Pour l'instant, les grandes maisons de disque (EMI, Sony BMG, Warner, Universal) semblent inflexibles. Pascal Nègre, patron d'Universal Music et président de la SCPP (Société Civile des Producteurs Phonographiques), tempête toujours autant sur la disparition des DRM. Selon lui, plutôt que de proposer seulement du MP3, les plates-formes de téléchargement devraient proposer les différents formats utilisés (par Apple, Microsoft, etc.), pour que le consommateur trouve un fichier adapté à son baladeur. Et surtout, pour que les morceaux restent protégés !
« C'est un discours qui date du début des années 2000 et qui n'est plus tenable face à la réalité du marché », souligne toutefois Laurent Michaud, analyste en charge des loisirs numériques à l'Idate (Institut de l'audiovisuel et des télécoms en Europe). Pour lui, il est plutôt symptomatique de voir une major comme EMI annoncer l'abandon des fichiers anticopie sur ses CD: « elle a compris que cela nécessitait des investissements coûteux, qui au final ne rapportent pas ».
Les petits vont forcer la main des plus gros
Pour l'analyste, les initiatives de Fnacmusic et de Virginmega, aidés par les indépendants, vont dans le bon sens, « car il ne faut malheureusement pas compter sur les grandes maisons de disque pour l'innovation et la prise de risque ». Les offres sans DRM sont la « meilleure des voies », poursuit Laurent Michaud, car elles ne « contraignent pas la consommation ».
Et ce type d'offres, même si elles reposent pour l'instant sur la bonne volonté d'acteurs et de labels qui ne gèrent que de petits catalogues, « va enclencher un cercle vertueux, qui va forcément conduire les majors à réfléchir dans le même sens ». EMI, toujours elle, a déjà entamé cette réflexion: la major a expérimenté la vente d'un album en MP3 aux Etats-Unis via Yahoo Music, rappelle Julien Ulrich. Et ce pourrait être elle la maison de disque qui, selon des rumeurs insistantes sur le secteur de la musique, s'apprête à ouvrir la totalité de son catalogue en MP3.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:47 par cédric dans la catégorie Multimédia a suscité :
aucun commentaire
:: 638 trackbacks
Sony Ericsson a fait appel à l'agence de marketing mobile Phonevalley pour la mise en place d'une campagne mobile pour soutenir son offre Walkman (pour tout achat d'un mobile Walkman entre le 15 novembre 2006 et le 15 janvier 2007, les enceintes étaient proposées à 1 euro de plus). Le dispositif se décline en trois temps : l'envoi d'une campagne MMS avec lien cliquable, la réalisation d'un mini site Wap événementiel et la présence de bandeaux publicitaires sur les sites internet mobile des partenaires. Plus de 50 000 personnes ciblées ont reçu sur leur téléphone portable le visuel reprenant la campagne d'affichage. Un lien cliquable proposait alors au mobinaute de se rendre sur le site Wap de la marque afin de consulter les informations sur les modèles de mobiles Walkman disponibles et sur l'offre en cours. En parallèle, un jeu concours était organisé avec à la clé un téléphone mobile à gagner. Ce jeu a surtout permis à Sony Ericsson de collecter des données mobiles opt-in via un formulaire en ligne. Pour créer du buzz marketing, la marque invitait chaque mobinaute à renvoyer un lien à leurs proches. Enfin, Phonevalley a mis en place des bandeaux cliquables sur une sélection de sites Wap partenaires en adéquation avec la cible de Sony Ericsson.
Source: Emarketing.
Ce billet, écrit à 06:41 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 1038 trackbacks
Un nouveau cap historique a été franchi par les ventes en ligne en France en 2006, d'après les premiers chiffres communiqués par la Fevad qui font état de plus de 12 milliards d'euros dépensés par les internautes français. Au cours des deux dernières années, le secteur du e-commerce a ainsi vu son chiffre d'affaires progresser de plus de 100 %, passant de 5,7 milliards d'euros en 2004 à plus de 12 milliards d'euros en 2006. D'après les résultats de l'enquête menée par la Fevad sur quelque 16 000 sites, les ventes sur Internet ont progressé de plus de 30 % au cours du quatrième trimestre avec une croissance particulière pendant la période de Noël. Ainsi, entre les mois de novembre et décembre 2006, les internautes français ont dépensé 2,5 milliards d'euros soit plus de 40 millions d'euros par jour.
Source: Emarketing.
Ce billet, écrit à 06:37 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
un commentaire
:: 527 trackbacks
Sellermania, société spécialisée dans les outils de gestion automatisés, vient de lancer Sellermania Pricing, une solution de calcul de prix automatique pour les internautes (particuliers ou professionnels) qui vendent leurs produits sur la plate-forme Marketplace d'Amazon.fr. L'outil permet de calculer leur prix de manière dynamique, en fonction de leur concurrence et de l'état de leurs produits sur Amazon. Le principe est le suivant : Sellermania scanne en permanence la concurrence de ses clients et permet aux vendeurs de se positionner un centime en dessous en réagissant immédiatement aux variations des prix. Les vendeurs définissent leur stratégie de prix dans l'interface de Sellermania Pricing et indiquent leurs objectifs de marge et de chiffre d'affaires.
Source: Emarketing.
Ce billet, écrit à 06:36 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 1152 trackbacks
mardi 16 janvier 2007
Les recettes publicitaires en ligne, hors moteurs de recherche, ont progressé de 51 % en Chine en 2006, à 490 millions d'euros (4,98 milliards de yuans), selon un rapport de l'Internet Society of China. Selon les prédictions de cet organisme chapeauté par le ministère de l'Information, la croissance du secteur devrait se poursuivre dans les années qui viennent. L'ISC prévoit une hausse de 52 % en 2007 et de 56 % en 2008, à 1,16 milliard d'euros. Le marché de la publicité sur moteur de recherche est évalué à 156 millions d'euros en 2006, en hausse de près de 50 %. Il devrait s'établir à 324 millions d'euros en 2008.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 07:12 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
aucun commentaire
:: 116 trackbacks
TF1 lance Music One, un label musical qui travaillera en collaboration avec Wat, le site communautaire lancé par le groupe en juin 2006. Wat.tv devrait servir à révéler de nouveaux talents, mais surtout, permettra au label de promouvoir ceux déjà signés. Music One sera dirigé par Santi, ancien batteur de la Mano Negra et ex-dirigeant du label Mercury chez Universal. Music One a déjà prévu de produire le premier album du basketteur français Tony Parker, dont la sortie est prévue en mars prochain. Outre les moyens de distribution classiques, celui-ci sera disponible sur les principaux sites de téléchargement légal.
Ce billet, écrit à 06:54 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
533 commentaires
:: 1053 trackbacks
Le distributeur du premier film "Les Petites Vacances" qui sort en salle le 24 janvier, va utiliser Internet pour la promotion du film. En lieu et place d'une avant-première, Morgane Productions a en effet décidé de proposer à 1.000 internautes de le télécharger le 19 janvier sur le site VoD de la Fnac. Ils auront ensuite 48 heures pour le visionner.
Ce billet, écrit à 06:52 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 530 trackbacks
Alors que de nombreuses salles de ventes françaises pratiquent leur activité sur Internet, celles-ci étaient jusque-là soumises à un contrôle rigoureux de la part du Conseil des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques. Dans un avis du 14 novembre, afin d'encourager leur développement, ce dernier autorise désormais les salles de ventes à pratiquer des ventes aux enchères sur Internet sans l'en informer précédemment, à condition qu'elles aient référencé l'adresse du site auprès de lui. La salle des ventes de Bretagne a inauguré cette nouvelle procédure en mettant en ligne le 11 janvier 2007 le site carenlignes.com.
Source: JDN
Ce billet, écrit à 06:47 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 123 trackbacks
Le service de paiement en ligne PayPal devrait adopter le système de code de confirmation visuel. Déjà adopté par de nombreux e-commerçants, ce système demande à l'internaute client de recopier un code à 6 éléments, qui se renouvelle toutes les 30 secondes. En plus des identifiants habituels de ses clients, PayPal espère que ce code tournant permettra de lutter efficacement contre le phishing, ou usurpation d'identité. Il devrait être proposé d'ici deux mois, dans un premier temps aux Etats-Unis, en Allemagne et en Australie.
Source: JDN.
Ce billet, écrit à 06:43 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
72 commentaires
:: 521 trackbacks
Les analystes estiment que l'iPhone aura un impact modéré sur le marché de la téléphonie mobile, malgré un design et une ergonomie dignes d'un produit Apple. Téléphone Edge haut de gamme, il devra s'étoffer de fonctions 3G pour percer en Europe.
Avec l'iPod, Apple a plus que réussi sa diversification sur le secteur des baladeurs numériques. La firme, rebaptisée Apple Inc. et non plus Apple Computer, parviendra-t-elle à faire de même sur le segment de la téléphonie mobile, avec l'iPhone?
Dévoilé par Steve Jobs au salon Macworld 2007, ce téléphone multimédia haut de gamme fait également office de baladeur et d'assistant personnel. Une machine qui sera commercialisée aux États-Unis en juin prochain à 499 et 599 dollars selon les versions, puis en Europe à la fin de l'année.
Pour le cabinet d'études américain Forrester Research, « l'iPhone d'Apple modifie les enjeux, pas le jeu ». « Il va forcer les fabricants concurrents comme Motorola à rattraper Apple, et les opérateurs à chercher une réponse, mais il n'altérera pas en substance la structure fondamentale et les challenges de l'industrie mobile. »
Même son de cloches chez les autres analystes contacté par ZDNet.fr. « Je n'ai pas le sentiment que nous vivons une révolution. C'est un téléphone Edge haut de gamme destiné au marché de niche des smartphones », relativise Vincent Poulbère d'Ovum.
Selon les derniers chiffres de GFK, le marché des smartphones est encore embryonnaire. En France, il s'en est vendu environ 150 000 en 2006 sur un total de 20 millions de combinés.
La 3G nécessaire pour conquérir l'Europe
« C'est un terminal pour l'instant destiné au marché américain », souligne pour sa part, Olivier Wioland, du cabinet de conseil Arcome qui table aussi sur un impact modéré sur le marché. Sans fonction 3G, l'iPhone n'a aucune chance de percer en Europe où d'autres fabricants, à commencer par Sony Ericsson et sa gamme de combinés mobiles Walkman, proposent des téléphones-baladeurs compatibles UMTS (la technologie 3G retenue en Europe).
« Il serait surprenant qu'Apple ne propose pas une version 3G de l'iPhone en Europe », avance Olivier Wioland. Il rappelle qu'avec la 3G, les services de téléchargement seront plus efficaces. L'UMTS offre une vitesse moyenne de transfert des données de 250 kilobits par seconde (kbps) en réception, contre 130 kbps environ pour Edge. « Ces débits permettent aussi une meilleure qualité des vidéo et de la musique en streaming », poursuit-il.
Points forts: le design et l'ergonomie
Le principal avantage de l'iPhone, selon Forrester Research, réside dans ses capacités vidéo sans équivalent sur le marché. L'iPhone dispose d'un écran de 3,5 pouces, une diagonale supérieure à celle de l'iPod qui n'excède pas 2,5 pouces.
Par ailleurs, le savoir-faire d'Apple est mis en avant par l'analyste d'Ovum. « Au niveau du design et de le simplicité d'utilisation, je pense qu'Apple est en mesure d'apporter de réelles nouveautés sur le marché des smartphones. »
Quant à Arcome, il met également en avant l'ergonomie de l'iPhone ainsi que ses fonctions de communication Wi-Fi (802.11b/g). En revanche, Olivier Wioland souligne les limites de l'intégration de Mac OS X dans le téléphone. « C'est un nouvel OS sur le marché de la mobilité. Et nous ne savons pas encore comment Apple va promouvoir les applications mobiles qui lui seront destinées. En tout cas, il faudra attendre que la base installée soit suffisamment large pour que les développeurs s'intéressent à ce produit. »
Un produit qui sera subventionné en France
Les analystes rappellent que le marché français, contrairement à l'américain, s'appuie sur des combinés très fortement subventionnés par les opérateurs. Apple devrait donc se rapprocher de ces derniers pour proposer son iPhone.
Contactés par ZDNet.fr, les trois opérateurs mobiles français manifestent tous un intérêt pour le produit, mais rien n'est encore décidé sur une éventuelle commercialisation. « C'est un combiné intéressant qui peut correspondre aux attentes d'une clientèle jeune », indique-t-on chez Bouygues Telecom. L'opérateur rappelle qu'il distribue déjà l'iPod dans ses boutiques.
Orange souligne avoir « déjà lancé avec succès des produits dédiés à la musique ». Le premier opérateur du marché cite la gamme Sony Ericsson Walkman dont les modèles se sont écoulés à 1,5 million d'exemplaires en un an. Grâce à sa politique de subvention.
Exemple avec le téléphone baladeur W850i de Sony Ericsson qu'il vend 129 euros avec deux ans d'abonnement - un tarif qui grimpe à environ 400 euros hors pack.
De son côté, SFR indique simplement disposer de « la première plate-forme numérique mobile en France » et qu'il fera un point sur son offre musicale au prochain Midem, salon de l'industrie musicale qui se tiendra du 20 au 25 janvier à Cannes.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:40 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 615 trackbacks
Le numéro un mondial des logiciels a choisi l'institut scientifique français pour ouvrir un laboratoire de recherche fondamentale, cofinancé à parité par les deux acteurs. La propriété intellectuelle sera également partagée.
L'Inria (*) et Microsoft ont inauguré, le 11 janvier, un laboratoire commun de recherche fondamentale. « Certains sujets très complexes ne peuvent être résolus uniquement par nos propres équipes de recherche et réclament de la pluridisciplinarité », explique Bernard Ourghanlian, directeur technique de Microsoft France et membre du comité de pilotage du laboratoire.
De son côté, Michel Cosnard, président de l'Inria, met en avant la « belle reconnaissance pour la France et l'institut » que représente ce partenariat. « Il existe beaucoup d'autres centres de recherche dans le monde mais Microsoft s'est tourné vers nous. L'Inria est notamment très compétent en ce qui concerne l'approche mathématique de la programmation informatique ».
Situé à Orsay (Essonne), dans les locaux de l'Inria, le laboratoire est le fruit d'un accord signé fin 2005 pour une durée de cinq ans renouvelable avec Microsoft Research, division recherche de l'éditeur dirigée par Craig Mundie.
Deux axes de recherches ont déjà été définis. Le premier a trait aux "méthodes formelles" qui consistent à faire progresser les outils de programmation de logiciels grâce aux méthodes mathématiques. Les chercheurs vont ainsi développer des processus permettant de contrôler la qualité d'un programme, c'est-à-dire s'assurer qu'il est sans "bugs". Inversement, ils travailleront sur des logiciels capables de démontrer qu'un théorème mathématique est viable.
Le second axe de recherche est le développement de logiciels destinés à des domaines scientifiques comme la biologie ou la génétique.
Recruter des pointures mondiales
Actuellement, une quinzaine de chercheurs ont été recrutés. À terme, la structure devrait en compter le double. Aujourd'hui, seule la moitié des chercheurs sont issus des rangs des deux partenaires. L'objectif est également d'accueillir des scientifiques venant d'autres structures pour des missions précises. « Nous voulons recruter les meilleurs chercheurs dans leurs domaines afin de constituer des équipes au top niveau mondial », poursuit Michel Cosnard. Sans les moyens financiers fournis par Microsoft, l'Inria n'aurait pas eu la possibilité de recruter certaines pointures, reconnaît l'Institut.
L'accord définit une répartition des rôles. L'Inria fournit la logistique (locaux, personnel administratif et technique) et l'éditeur de Redmond apporte les liquidités dont le montant n'est pas communiqué. Le laboratoire est piloté par un comité de direction composé à parité de membres de Microsoft et de l'Inria.
Des brevets et de l'open source
La propriété intellectuelle sera également partagée à parité. Le principe de la copropriété a été retenu pour les éventuels brevets déposés qui protégeront les technologies développées. Mais « l'objectif est de faire avancer la science et non pas uniquement développer des technologies directement utilisables par Microsoft, ce que nous faisons déjà dans nos propres laboratoires », souligne Bernard Ourghanlian.
L'Inria ajoute que toutes les technologies ne seront pas forcément brevetées. « Nous avons également retenu la possibilité de diffuser les résultats des travaux en open source », précise Michel Cosnard. Certains outils ou prototypes de logiciels seront mis à la disposition gratuite de la communauté scientifique et leur code source dévoilé. La décision du type de diffusion se fera "au cas par cas".
Après ce premier patenariat avec un centre de recherche public, Microsoft n'exclut pas d'en signer de nouveaux avec d'autres instituts scientifiques.
De son côté l'Inria n'en est pas à son galop d'essai dans le domaine. Des partenariats sont déjà établis avec France Télécom ou Thalès; des discussions sont également engagées avec Dassault Systèmes et l'EDF, ainsi que des industriels étrangers.
(*) Inria pour Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:35 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
aucun commentaire
:: 635 trackbacks
lundi 15 janvier 2007
Quelques mois après avoir bouclé la cession de ses activités télécoms européennes, le groupe AOL poursuit sa mue en véritable groupe média en annonçant l'acquisition prochaine du suédois TradeDoubler AB.
"La société a été fondée en 1999 à Stockholm. Notre métier est de fournir des programmes d'affiliation, c'est à dire des outils marketing basés sur la performance. Nous sommes désormais présents dans 12 pays à travers l'Europe et nous revendiquons le statut de numéro 1 européen. " expliquait en 2001 sur NetEco Carl Johan Grandinson, alors Directeur Général de TradeDoubler France.
Dans la matinée de lundi, le conseil d'administration de TradeDoubler AB a indiqué approuver à l'unanimité une offre publique d'achat valorisant la société à 215 couronnes par action soit 695 millions d'euros.
Un peu plus de deux ans après le rachat de Advertising.com, cette acquisition devrait en tout cas renforcer le poids du groupe AOL dans le marketing en ligne même si son partenariat avec Google l'empêche d'entrer sur le lucratif marché des liens sponsorisés.
Source: NeteCo.
Ce billet, écrit à 05:26 par cédric dans la catégorie Business a suscité :
aucun commentaire
:: 1007 trackbacks
Le programme de recherche Quaero, idée lancée par Jacques Chirac en avril 2005, n'a pas encore démarré car il est toujours en attente de ses financements publics, alors que les innovations dans l'internet vont bon train.
Le projet, qui a été ensuite présenté en avril 2006, lors de l'installation de l'Agence de l'innovation industrielle, vise à élaborer des systèmes de gestion de documents numériques multimédia.
Il est prévu d'y consacrer 250 millions d'euros, dont 90 millions d'aides françaises qui nécessitent le feu vert de la Commission européenne.
Quaero ("Je cherche" en latin) est porté par un consortium industriel et universitaire, comprenant notamment Thomson, France Télécom, Exalead, LTU et l'Institut national de la recherche en informatique et en automatique.
Fin 2006, Quaero a subi un sérieux revers avec le retrait des industriels allemands alors que le projet avait été initialement présenté comme un effort commun aux deux pays (M. Chirac l'avait lancé à l'occasion d'un conseil franco-allemand).
Les industriels allemands veulent désormais se concentrer sur leur propre programme, Theseus.
"Le retrait des industriels allemands acte surtout un état de fait: l'orientation que souhaitait donner l'Allemagne au projet n'était pas en phase avec celle que s'était donnée la France", affirme François Bourdoncle, PDG du moteur de recherche Exalead, associé à Quaero.
Les Français se sont concentrés sur l'indexation multimédia et les Allemands plutôt sur l'analyse textuelle.
Mais cette reconfiguration du programme pourrait prolonger le délai d'autorisation des aides publiques françaises par les autorités de la concurrence européennes.
Le projet n'a pas encore été "notifié" à Bruxelles. Selon des sources proches du dossier, le projet a été présenté mais serait encore dans une phase préalable d'échanges d'informations avec la Commission.
Pour l'instant, donc, aucun financement public n'est débloqué et les travaux de recherche n'ont pas démarré.
"La balle est dans le camp des industriels", a déclaré une porte-parole de l'AII. Comme France Télécom, le chef de file du projet, Thomson, a refusé de s'exprimer sur Quaero et d'avancer un calendrier.
Mais au vu du développement rapide du secteur internet tiré par des géants américains comme Google et Yahoo!, une source proche du dossier craint que des délais trop longs ne rendent le programme obsolète.
La vidéo, sur laquelle doit travailler Quaero, est bien "l'un des contenus sur lequel il va falloir se positionner", relève un analyste du secteur qui a souhaité gardé l'anonymat.
Concernant Quaero, "on ne voit rien venir", a relevé cet expert, alors que le marché de l'internet est "particulièrement réactif et très innovant", avec "énormément d'initiatives privées".
Tandis que Quaero attend encore ses financements, en décembre, un autre programme de recherche européen sur l'indexation multimédia, baptisé Pharos (Platform for search of audiovisual resources across online spaces), a reçu 8,5 millions d'euros de subventions européennes. Dirigé par la société norvégienne Fast, il compte treize partenaires dont France Télécom.
Quaero avait été présenté en 2005 par Jacques Chirac comme une réponse au succès du moteur de recherche Google mais, tel qu'il a été conçu, le projet se situe plus en amont et doit surtout améliorer l'indexation des documents multimédias, dont la vidéo.
"C'est un programme de recherche sur les technologies d'indexation, à charge aux industriels qui y participent de prendre ces technologies pour en faire ou non un moteur de recherche", précise M. Bourdoncle.
Source: News.
Ce billet, écrit à 05:19 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
aucun commentaire
:: 520 trackbacks
Le commerce en ligne a explosé en 2006 aux Etats-Unis, franchissant pour la première fois la barre des cent milliards de dollars et devrait continuer sur sa lancée, estiment les analystes du secteur.
Selon le cabinet d'études ComScore Networks, la hausse des achats en ligne aux Etats-Unis en 2006 a été de 24% par rapport à l'année précédente, pour un montant total de 102,1 milliards de dollars. La période des Fêtes de fin d'année a représenté près d'un quart du total.
"Le commerce en ligne se généralise", souligne Jeffrey Grau, analyste principal pour la firme eMarketer. "Une part plus large de la population achète en ligne et plus de choses que dans le passé", ajoute-t-il.
Les chiffres varient: selon la banque d'investissement Cowen and Co, le montant des achats en ligne en 2006 a été de 108 milliards de dollars et devrait atteindre 225 milliards en 2011. Cela porterait la part des achats en ligne dans le commerce total à 4,7% contre 2,7% à la fin 2006.
"Nous pensons que les ventes électroniques aux Etats-Unis vont progresser de 20% en 2007, en raison de la généralisation des connexions à haut-débit, de la baisse des prix et du fait que ces achats deviennent de plus en plus faciles", indique Cowen.
"Les détaillants doivent vraiment prendre cela au sérieux, sinon cela montre qu'ils ont un train de retard", estime Jeffrey Grau.
Selon lui, de plus en plus de consommateurs n'hésitent plus à acheter en ligne et étendent la gamme de leurs emplettes pour y inclure bijoux, vêtements, produits blancs et meubles.
Les commerçants les y aident en leur fournissant guides, catalogues et vidéos, également en ligne, pour faire leur choix.
L'une des raisons avancées pour expliquer l'essor des ventes pendant la période des Fêtes est la confiance qu'ont les acheteurs d'être livrés rapidement. Cela les a poussé à continuer d'acheter jusqu'aux derniers jours avant Noël.
Selon Comscore, c'est dans les trois dernières semaines de décembre que la hausse a été la plus forte par rapport à l'année précédente avec une progression de 31%.
"La semaine avant Noël a vu la plus forte progression avec une hausse de 45% par rapport à la même semaine l'année précédente, ce qui montre que les consommateurs avaient la certitude d'être livrés avant Noël", souligne cette firme.
Les analystes de Cowen Jim Friedland et David Geisler estiment que la part du commerce en ligne pourrait bientôt dépasser 10% des ventes totales aux Etats-Unis avec notamment la généralisation du téléchargement de musique et de vidéos.
"Nous nous attendons à un changement de tendance drastique dans le secteur des médias avec un passage des ventes des magasins en dur vers les téléchargements à partir de l'internet", écrivent-ils.
"En Corée du sud, pays qui a le plus fort taux de connexions à haut-débit, les ventes en ligne comptent pour 8% du total des ventes de détail et augmentent trois fois plus vite que celles des magasins traditionnels," font observer ces analystes.
Certains supermarchés aux Etats-Unis offrent maintenant aux consommateurs la possibilité d'acheter en ligne mais de ramener dans un magasin les articles défectueux ou qui ne leur plaisent pas.
Les commerçants en ligne comme Amazon.com profitent de l'absence de coûts fixes venant de l'entretien de véritables magasins pour pouvoir baisser leurs prix et d'autres se spécialisent dans les articles difficiles à trouver dans les super-marchés.
Source: News.
Ce billet, écrit à 05:15 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 1053 trackbacks
Pour la deuxième année consécutive, les réalisateurs accros du cinéma et du portable ont droit à leur Mobile Film Festival. Au public de juger et de choisir parmi 50 films proposés en votant par SMS surtaxé.
YouTube, DailyMotion et autres sites de diffusion vidéo comme VpodTV séduisent surtout par la richesse de leur contenu. Mais au final, selon les exigences de chacun, la qualité peut laisser parfois perplexe. D'où l'émergence de festivals visant à révéler le meilleur des productions vidéo amateurs et professionnels. « Il est essentiel de braquer les projecteurs pendant un temps bien défini sur des contenus », explique Bruno Smadja, l'organisateur du Mobile Film Festival qui pose pour condition première que les courts-métrages proposés soient réalisés avec un téléphone. « Nous imposons un format d'une minute, ajoute-t-il, pour inciter à la créativité. »
Pour cette deuxième édition, ce festival a mis l'accent sur la présélection des contenus. Sur les 140 films reçus, 50 sont proposés au vote du public, depuis le 10 janvier. Jusqu'au 30 janvier, chacun peut élire le film de son choix par SMS surtaxé. Le 1er février, l'organisation remettra le prix du public et les quatre prix d'un jury présidé, cette année, par le comédien Dominique Pinon : le meilleur film, le meilleur scénario, le meilleur plan séquence, la meilleure idée originale.
Pour la première édition, en 2006, 6 000 internautes avaient voté directement sur le site du festival, et gratuitement, sans passer par le SMS. 320 000 visionnages avaient alors été enregistrés, sans compter les 75 000 autres effectués à partir de Gallery, le moteur de recherche pour mobile.
Un côté expérimental passionnant
« Nous essayons de jouer avec les contraintes et les opportunités du téléphone. Cela conditionne l'écriture. La maniabilité du portable autorise plein de choses. On peut se le passer, se le voler... La caméra fait partie du film », explique Vladimir Rodionov, du Comité de la Claque, récompensé par la mention spéciale du Jury l'année dernière.
Lors de l'édition 2006 du festival, Natacha Quester-Séméon et son frère Sacha avaient également tenu à mettre en scène le téléphone dans un film intitulé "Rendez-vous 2005". Un hommage à la caméra embarquée en 1976 par Claude Lelouch dans une Ferrari 275GTB qui traversait Paris, au petit matin, à grande vitesse. Dans "Rendez-vous 2005", la Ferrari est devenue une voiture radiocommandée, et la caméra un simple portable. « Le téléphone vidéo a un côté expérimental passionnant. On ne retrouve pas ce rapport de force qui va de pair avec une caméra traditionnelle. Les gens se montrent plus spontanés », constate Natacha Quester-Séméon. Cette habituée des tournages est encore en lice pour le Mobile Film Festival 2007 avec un film qui accorde cette fois davantage d'importance au montage.
Que deviennent les lauréats de l'édition 2006 ? Le duo de comédiens belges, Alain Doucet et Mélanie Bridout, a bien reçu le prix du meilleur film, mais il n'a pas encore trouvé un média traditionnel qui accepte de diffuser sa série intitulée Un couple très épatant. « Cela prend du temps. En attendant, nous écumons les festivals et nos vidéos circulent bien sur le net », remarque Alain Doucet. Quant à l'équipe des cinq comédiens, scénaristes et réalisateurs du Comité de la Claque, elle a de son côté réalisé une série de films promotionnels... pour le festival. Une première consécration.
Source: News.
Ce billet, écrit à 05:11 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 1136 trackbacks
vendredi 12 janvier 2007
La major américaine Universal Music a lancé au Royaume-Uni un site e-commerce dédié à la vente de musique jazz et classique. D'après Mark Wilkinson, directeur marketing de la division jazz et classique d'Universal, le créneau se révèlera porteur dans les prochaines années : "la génération iPod grandissant, elle s'orientera bientôt vers les classiques". Le site propose déjà un catalogue de plus de 100.000 pistes et presque 8.000 CD, qu'Universal compte renforcer au rythme de 1.500 nouvelles pistes par mois à 1,50 dollar l'unité.
Source: Journaldunet.
Ce billet, écrit à 07:49 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 636 trackbacks
Apple a annoncé hier le bilan de ses ventes sur iTunes. Au total, deux milliards de chansons ont été vendues en 2006, ainsi que 50 millions d'épisodes d'émissions télévisées et 1,3 million de films. Des chiffres qui feraient du site le plus populaire magasin de biens culturels du monde, selon Apple. L'iTunes Store propose à la vente quatre millions de chansons, 250 films, 350 émissions de télévision et environ 100.000 podcasts. Dernièrement, une centaine de films des studios Paramount ont été ajoutés au catalogue .
Soure: Journaldunet.
Ce billet, écrit à 07:46 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 639 trackbacks
Le loueur de DVD en ligne Locafilm intègre dans son offre le catalogue d'Eagle Vision, spécialiste du DVD musical. Un catalogue, également distribué par Glowria, concurrent de Locafilm, qui compte plus de 300 DVD répertoriés dans 11 genres musicaux. Locafilm propose également sa propre sélection musicale. Au total, le catalogue du loueur de DVD comprend 15.000 titres.
Source: Journaldunet.
Ce billet, écrit à 07:42 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 122 trackbacks
L'Internet et les autres pratiques multimédias sont en progression constante, selon une étude de l'Institut de mesures d'audience Médiamétrie publiée jeudi.
Qu'il s'agisse d'Internet, de l'écoute de musique, de la pratique de jeux vidéo, de l'usage du téléphone, ou du visionnage de programmes vidéo préenregistrés, plus de sept Français sur 10 (72%) de 13 ans et plus ont pratiqué au moins une de ces activités sur un jour moyen de semaine en 2006, contre 70,9% en 2005.
L'équipement numérique se développe toujours. Réseau de convergence par excellence, puisqu'il permet le transport de toute donnée numérique, Internet est aujourd'hui accessible dans 43% des foyers et en haut débit dans quatre cas sur cinq.
Les pratiques évoluent et les frontières entre les médias se resserrent. Ainsi, le contenu TV sort de son cadre classique de réception hertzienne. Si 5,7% des foyers ont la possibilité de regarder la télévision via l'ADSL, 12,5% de la population a déjà regardé des émissions TV sur Internet en streaming (sans téléchargement) et 4% par podcast (téléchargement sur un support mobile).
Les modes de communication sont de plus en plus interactifs. Internet propose toujours plus de logiciels ou de sites permettant l'échange de données (voix, musique, images, vidéo...) entre les utilisateurs. Le courriel reste le mode de communication le plus utilisé par les 11 ans et plus (presque un sur deux dans les 12 derniers mois).
Faire son marché et jouer en ligne constituent les deux autres applications d'Internet les plus répandues. Les achats en ligne se développent et près de 30% des Français font aujourd'hui confiance à ce mode de transaction.
Et les jeux vidéo deviennent de plus en plus interactifs et collectifs: 13% des internautes de 11 ans et plus ont joué en réseau dans le dernier mois.
Source: News.
Ce billet, écrit à 07:37 par cédric dans la catégorie Multimédia a suscité :
111 commentaires
:: 1031 trackbacks
Avec ses prix cassés tout au long de l'année, internet se pose en concurrent féroce des magasins et des boutiques très encadrés par la loi française pour les soldes et promotions, mais le web recèle aussi des pièges pour le consommateur peu averti.
Sur la toile se côtoient les "ventes privées" de vêtements et accessoires haut de gamme 30% à 70% moins chers qu'en boutiques (bazarchic.com, vente-privee.com), des livres et CD d'occasion "comme neuf" à prix fortement réduits (priceminister.com, eBay), des sites proposant des bons de réduction gratuits valables auprès de centaines de cyber-marchands (buycentral.fr, edengo.com, bpm-shop.com), et pour ces soldes d'hiver, certains e-marchands proposent des rabais jusqu'à 95%.
"Internet devient incontournable pour ceux qui veulent économiser de l'argent car pour attirer le client, les sites marchands s'efforcent d'être moins chers que les magasins. Cependant, face à la multitude de sites, on est perdu quand on veut trouver la bonne information ou le bon article", commente Stéphane Ruhlmann, fondateur de ventepriveedunet.fr, qui énumère les meilleurs sites de "ventes privées".
Pour aider les internautes à dénicher les bonnes affaires, M. Ruhlmann a aussi créé l'annuaire bonsplansdunet.com, un annuaire qui se situe dans la même veine que radins.com ou bon-reduc.com, qui recensent les sites distribuant des échantillons gratuits, des bons de réduction, etc.
Mais outre le foisonnement de sites, le cyber-chaland peut être confronté à des problèmes plus sérieux, comme les retards de livraison, le non respect du droit de rétractation ou des remboursements difficiles, selon une enquête de 60 millions de consommateurs, le mensuel du l'Institut national de la consommation.
"Ces problèmes peuvent réduire à néant les économies des internautes", souligne Benjamin Douriez, spécialiste du multimédia à 60 millions de consommateurs et initiateur de l'enquête.
"La pratique la plus surprenante est l'ajout de services (assurances et extensions de garanties) et d'objets non sollicités dans le panier, notamment sur les sites Cdiscount, RueDuCommerce et Pixmania", ajoute M. Douriez.
Sur Cdiscount (Casino), en choisissant d'acheter un appareil photo numérique Canon coûtant 395,21 euros, le client se retrouve au final avec une facture de 488,36 euros, car le site a ajouté notamment dans le panier un étui (6,99 euros), un protège-écran (6,99 euros), une carte mémoire (23,98 euros), une garantie de trois ans (49 euros).
"Ces pratiques sont déloyales, mais difficilement condamnables en l'état actuel de la loi", souligne M. Douriez.
La plupart des sites se contentent en outre de proposer des garanties constructeurs, contrairement aux magasins. Enfin, en cas de litiges, les consommateurs sont obligés de réclamer via des services téléphoniques payants (hotlines).
"Mais le plus souvent, les achats sur internet se passent bien et la majorité des problèmes concernent les livraisons (retard et rupture de stocks)", tempère M. Douriez.
Ce qui explique la popularité croissante de l'e-commerce: 60% des internautes se disaient confiants en 2006 dans ce canal, contre 30% en 2002, selon la Fédération de la vente à distance, qui prévoit un chiffre d'affaires de 21 milliards pour le commerce en ligne en 2008, le double par rapport à 2006.
Source: News.
Ce billet, écrit à 07:34 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 1044 trackbacks
Après la mobilisation de 400 000 gourmands électeurs en 2006 et la consécration de la Saveur Crème Brûlée, tous les partisans de Danette sont appelés aux urnes dès maintenant, et ce jusqu'au 11 mars, afin d'élire leur nouveau parfum préféré parmi trois nouvelles variétés inédites : Saveur Praliné, Chocolat Blanc et Marrons. Choix difficile, les arguments sont tous séduisants et les programmes solides. C'est pourquoi plus d'un million d'électeurs devraient faire entendre leur voix pour cette deuxième édition de "On Vote Tous pour Danette". Avant-goût des élections présidentielles de cette année 2007, les trois candidats Danette sont en ligne et attendent les témoignages de soutien dès ce jour sur le site www.onvotetouspourdanette.com. Un seul atteindra les marches du rayon frais. A suivre...
Source: emarketing.
Ce billet, écrit à 07:30 par cédric dans la catégorie Annonceurs a suscité :
538 commentaires
:: 531 trackbacks
Créée en 1997, Réseau Ferré de France (RFF) reste une entreprise méconnue du grand public. Pour sa première prise de parole en télévision, RFF a choisi l'agence Australie et adopte une nouvelle signature : "Traçons les liens entre ici et demain". Dans le film, très graphique, l'idée est de faire du rail le fil conducteur. Le spot de 30 secondes commence donc à la naissance du rail pour suivre son évolution et tout ce qui découle de son arrivée (développement des collectivités, des entreprises, du fret, ouverture vers l'Europe…) avec en filigrane le respect de l'environnement. La campagne TV, qui démarre le 10 janvier, sera complétée par une campagne web (mini-site et bannières) sur le site www.rff.fr.
Source: emarketing.
Ce billet, écrit à 07:25 par cédric dans la catégorie Annonceurs a suscité :
aucun commentaire
:: 741 trackbacks
Déjà primée au Festival du film publicitaire français en 2006 pour sa campagne "Les perles du bac", Bic se lance à nouveau dans une opération de buzz marketing mêlant films viraux et blog. Ciblant les hommes de 15 à 35 ans, la nouvelle campagne comprend trois niveaux : une série de huit films satiriques et drôles à télécharger, un jeu concours viral multijoueur et un blog collaboratif permettant aux internautes de soumettre et de commenter des articles. Pour amorcer l'opération, la campagne sera lancée par une action de RP auprès de 200 blogueurs influents et leaders d'opinion avec BuzzParadise.com. En faisant ainsi le choix du tout Internet, Bic souhaite offrir un message alternatif afin d'établir un réel dialogue avec les consommateurs.
Source: emarketing.
Ce billet, écrit à 07:22 par cédric dans la catégorie Marketing Viral a suscité :
aucun commentaire
:: 736 trackbacks
jeudi 11 janvier 2007
Les rédacteurs citoyens vont pouvoir devenir des journalistes reporters d'images citoyens : le site Agoravox se propose de publier leurs vidéos sur un site dédié et de recenser tout reportage d'actualité disponible sur le web.
Agoravox, le site de "journalisme citoyen", dont les articles sont réalisés par des internautes, ouvre sa web TV, Agoravox TV. Les lecteurs sont en effet invités à soumettre leurs reportages vidéo au comité rédactionnel du site.
Quiconque peut « filmer et mettre en ligne ses propres réalisations, il suffit pour cela d'un banal téléphone portable ou d'un caméscope », explique en guise de présentation Carlo Revelli, l'un des cofondateurs du site. « Un an et demi après le lancement d'Agoravox, nous avons décider de lancer Agoravox TV pour mettre en valeur et dynamiser encore ce mode de communication de l'information. »
« On testait <la vidéo> depuis quelque mois de manière non officielle sur Agoravox, et ce d'autant que depuis le lancement, certains rédacteurs nous soumettaient régulièrement leurs reportages », a-t-il ainsi affirmé à ZDNet.fr.
Concrètement, le site s'appuiera sur trois sources. Les reportages envoyés par les internautes rédacteurs, les vidéos signalées par les lecteurs, trouvées au cours de leur navigation sur internet, et enfin celles repérées par l'équipe de rédaction d'Agoravox sur les plates-formes telles que Dailymotion, Youtube ou Google Vidéo. « Chaque vidéo sera commentée, classée, mise en perspective et reliée à l'actualité », a souligné Carlo Revelli.
Passerelles entre le texte et la vidéo
« Nous ne voulons toutefois pas nous mettre en concurrence avec les autres plates-formes vidéo, ce qui nous intéresse, c'est réussir à trouver, via celles-ci, des vidéos qui suivent de près l'actualité », poursuit-il. Ce qui explique selon lui, que peu de vidéos, hormis les contenus propres de l'équipe Agoravox, ne soient à terme hébergées directement sur le site.
Agoravox et Agoravox Tv sont deux sites distincts, « car nous avons voulu séparer les formats : les vidéos ne seront pas forcément aussi riches qu'un article sur Agoravox », a--t-il précisé. « Et puis les publics ne sont pas les mêmes ». Mais des « passerelles » existeront toutefois entre les deux, grâce à un système de tags et de mots clés. « Par exemple, quand sur Agoravox un article évoque tel ou telle responsable politique, immédiatement, on retrouvera les vidéos en relation avec la personne sur Agoravox TV et vice-versa ». Le site envisage également de permettre aux utilisateurs de laisser des commentaires vidéo au bas des articles.
Agoravox revendique 700 000 visiteurs par mois et environ 8 000 rédacteurs. Le site fonctionne sur un modèle publicitaire classique. « Nous avons testé les Adwords pendant quelques mois, mais désormais, nous faisons appel à des régies pour commercialiser des espaces publicitaires », a affirmé Carlo Revelli. Il espère atteindre l'équilibre d'ici à la fin de l'année 2007.
Source: News.
Ce billet, écrit à 07:02 par cédric dans la catégorie Média a suscité :
aucun commentaire
:: 639 trackbacks
La présentation mardi soir du futur iPhone d'Apple par Steve Jobs en personne semble avoir séduit les marchés financiers. Même si ce nouveau smartphone sous Mac OS ne sera pas lancé avant plusieurs mois, les investisseurs ont massivement acheté des titres d'Apple inc dont le cours affichait mercredi matin une belle hausse de plus de 8%.
La fortune des uns fait toutefois le malheur des autres et d'autres constructeurs de smartphones ont vu leur cours boursier reculer de manière significative. Principal constructeur de smartphones sous Windows Mobile, le constructeur taïwanais HTC a vu son cours reculer de 4,07% dans la nuit de mardi à mercredi. Pionnier des ordinateurs de poche et fabriquant de la gamme de smartphones Treo, Palm a également vu son cours reculer de plus de 5.39%. Même débâcle pour Research In Motion, le constructeur canadien de la gamme BlackBerry, dont le cours de bourse s'est effondré de 7,85%.
Plus diversifiés, de grands noms du téléphone mobile comme Nokia ou Motorola ou Samsung ont limité leur baisse : le finlandais recule de -1,28%, l'américain décroche de -1,83%. Bien que Samsung soit le principal fournisseur de mémoire flash d'Apple, son cours boursier a également reculé de 2,63%.
Smartphone à écran tactile sous Mac OS, cet iPhone semble en tout cas séduire les marchés financiers. Sa commercialisation devrait débuter en Juin aux Etats-Unis, fin 2007 en Europe et début 2008 en Asie. A terme, Apple vise une part de 1% du marché des téléphones mobiles.
Source: MoBiNauTe.
Ce billet, écrit à 06:57 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 524 trackbacks
Revendiquant 312.000 client à la fin 2006, le MVNO du groupe NRJ annonce avoir atteint et même dépassé ses objectifs en termes d'acquisition de clients sur l'année. NRJ Mobile récolte notamment les fruits d'une politique agressive en matière de prix à l'approche des fêtes de fin d'année. A titre de comparaison, M6 mobile comptait 600.000 clients en septembre 2006, tandis qu'Universal Mobile en revendique 500.000 à la même date. Cependant, leurs offres respectives sont sorties plusieurs mois avant celle d'NRJ.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 06:48 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
un commentaire
:: 520 trackbacks
Les dépenses publicitaires en ligne devraient augmenter cette année de 13,4 % Outre-Atlantique, selon les prévisions de TNS Media Intelligence. Des prévisions qui ne prennent pas en compte la publicité sur les moteurs de recherche ou les petites annonces. En comparaison, l'ensemble du marché publicitaire devrait ralentir, avec une croissance limitée à 2,6 %, contre 3,8 % en 2006. Selon ces mêmes prévisions, les dépenses publicitaires progresseront de 1,7 % en radio, de 0,6 % en télévision nationale, mais reculeront de 0,9 % dans les journaux et de 2,8 % sur les télévisions locales.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 06:45 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
un commentaire
:: 526 trackbacks
mercredi 10 janvier 2007
A l'occasion du Consumer Electronic Show de Las Vegas, Yahoo a lancé la version 2.0 de son moteur de recherche pour mobile, Yahoo Go Mobile. Outre un moteur de recherche Yahoo Go propose la consultation des e-mails, des informations et des cartes locales ainsi que des informations générales et thématiques (sports, info, finance, météo et partage de photos). Celui-ci devrait être compatible avec 70 téléphones, parmi les modèles récents des principaux équimentiers mobiles (Motorola, Nokia, Samsung et Blackberry). Il sera également distribué par l'opérateur anglais 3 dans les principaux pays où il opère (Royaume-Uni, Irlande, Suède et Danemark) ainsi que par des opérateurs asiatiques tels que Bharti Airtel, Hutch et Idea Cellular en Inde, DiGi en Malaisie, ou encore Globe Telecom aux Philippines. Autant de pays où le mobile représente un important mode de connexion à l'Internet.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 05:58 par cédric dans la catégorie Marketing-internet a suscité :
366 commentaires
:: 1136 trackbacks
A Villeneuve-d'ascq, dans la banlieue de Lille, les parents des enfants scolarisés dans l'une des 38 écoles de la ville peuvent, depuis quelques mois, régler les frais de cantine en se connectant au site municipal. Fin décembre, 31 % des parents villeneuvois étaient passés au paiement en ligne.
Villeneuve-d'Ascq (65 000 habitants), ville nouvelle créée en 1970 et dirigée par Jean-Michel Stiévenard (PS), compte plus de 50 % de logements sociaux. "L'âge moyen des habitants était, lors du dernier recensement, de 29 ans, et la ville abrite deux universités", précise Marie Ginet, chargée de mission à la mairie, qui trouve là des explications à l'engouement pour le Web.
Depuis 1995, les écoliers sont dotés d'une carte à puce qu'ils glissent chaque matin dans un lecteur placé à l'entrée de leur école. Les enfants - et leurs parents - indiquent de cette manière s'ils utiliseront les services de la cantine ou des centres d'accueil et de loisirs proposés aux écoliers avant et après la classe. Les services municipaux peuvent, au jour le jour, préparer le nombre de repas nécessaires.
Les parents se procurent la carte à puce, une par enfant scolarisé, à l'hôtel de ville ou dans l'une des six mairies de quartier. Les repas sont facturés en fonction du revenu, de 50 centimes pour les foyers gagnant moins de 2 368 euros par an jusqu'à 4,23 euros pour ceux dont le revenu dépasse 12 487 euros annuels. Depuis mars 2006, une fois qu'ils sont en possession de la carte, les parents ne sont plus obligés de se déplacer. Ils peuvent alimenter leur compte par Internet et reçoivent un e-mail d'alerte lorsqu'ils doivent le remplir.
La proportion de paiements en ligne ne cesse de progresser, mois après mois. La ville constate le même engouement pour les services en ligne de la médiathèque municipale. "50 % des personnes qui empruntent des livres paient sur Internet", remarque Mme Ginet.
Pour la commune, l'opération présente plusieurs avantages. Elle permet d'éviter les fraudes. En effet, "il arrivait que des parents aux faibles revenus achètent, à bas prix, des tickets qu'ils revendaient à des parents plus aisés", explique la chargée de mission. Les paiements, effectués à l'avance, permettent en outre à la municipalité de disposer d'une trésorerie non négligeable.
Villeneuve-d'Ascq projette d'étendre le paiement en ligne à d'autres services municipaux, comme l'accès aux piscines ou aux musées. Une douzaine de villes de l'agglomération lilloise se montrent en outre intéressées par l'expérience.
Source: LeMonde.
Ce billet, écrit à 05:54 par cédric dans la catégorie technologie a suscité :
31 commentaires
:: 58 trackbacks
Après Microsoft dimanche, plusieurs groupes électroniques, dont le japonais Sony et la société Sling Media, ont dévoilé, au Consumer Electronics Show de Las Vegas, des boîtiers permettant de regarder sur un téléviseur du contenu vidéo disponible sur internet.
Sony a annoncé que sa nouvelle gamme de téléviseurs à écrans plats et haute définition Bravia pourrait recevoir le contenu vidéo internet gratuit de certains médias partenaires comme AOL, Yahoo!, le site d'échanges de vidéos Grouper (racheté par Sony) ou encore Sony Pictures et Sony Music, grâce à un appareil gros comme un lecteur de DVD appelé Internet Video Link.
Ce module se connecte à internet en haut débit et diffuse la vidéo en streaming sur la télévision à travers le modem de l'utilisateur, sans besoin d'un ordinateur.
"Nous transposons la vidéo depuis un écran d'ordinateur, où il faut se pencher en avant, vers le confort d'une télévision à grand écran dans votre salon", a expliqué le vice-président de Sony responsable des produits pour la maison, dans un communiqué.
"La vidéo sur internet sera clairement la prochaine étape de l'évolution de la télévision haute-définition, en donnant aux consommateurs plus de contrôle du contenu qu'ils regardent", a-t-il expliqué. Ce produits devraient être disponibles dans les prochains mois
De son côté la société Sling Media, spécialiste de la télévision sur ordinateur, a annoncé la sortie d'un appareil appelé SlingCatcher, qui permet de transmettre sur une télévision tout le contenu vidéo du web ou d'un ordinateur, sans se limiter à des médias partenaires.
Cet appareil se connecte au câble ou à un décodeur de télévision par satellite, via une liaison sans fil, afin de transmettre sur la télé n'importe quel contenu vidéo. Il permet aussi aux utilisateurs d'enregistrer des extraits d'émissions de télévision et de les envoyer par e-mail à ses proches, analogue au service que propose le site d'échanges de vidéos YouTube.
Dimanche le patron de Microsoft Bill Gates a annoncé que sa console de jeu XBox, déjà vendue à 10 millions d'exemplaires, pourra aussi servir de décodeur capable de transmettre sur un téléviseur une nouvelle offre de télévision sur internet, appelée IPTV (télévision sur internet), en partenariat avec certains médias.
Un système qui permettra aussi d'enregistrer les programmes sur le disque dur de la console, promue magnétoscope numérique, et que Microsoft veut visiblement transformer en centre de loisirs numériques de la maison.
C'est dans ce contexte très concurrentiel que le groupe Apple devait dévoiler mardi son propre appareil liant internet à la télévision, l'iTV, lors de la conférence macSWorld Expo qui s'ouvre à San Francisco.
L'appareil pourrait se limiter à la réception du contenu vidéo disponible sur le site de téléchargement d'Apple, iTunes, limité pour l'instant à certains groupes de médias comme Disney ou des chaînes de télévision.
Les sociétés high tech commencent à se bousculer pour trouver le maillon manquant entre télévision et internet, une liaison qui selon un récent sondage intéresserait 80% des foyers américains, malgré des offres déjà pléthoriques de télévision par câble et satellite.
De nombreux groupes électroniques avaient tenté de lancer des boîtiers transposant internet sur la télévision il y a 10 ans, mais qui avaient échoué faute d'une assez bonne qualité technique.
Source: News.
Ce billet, écrit à 05:52 par cédric dans la catégorie technologie a suscité :
un commentaire
:: 741 trackbacks
Les groupes Nokia et Motorola, leaders mondiaux des téléphones intelligents, n'étaient guère impressionnés lundi par l'annonce par Apple du lancement d'un "iPhone", affirmant avoir déjà lancé eux-mêmes des modèles plus performants et moins chers.
"Nous avons lancé dès 2002 le premier téléphone intelligent, avec lecture de musique, accès internet et appareil photo, le Nokia 7650", a expliqué Kari Tuutti, directeur des produits multimédia de Nokia, sur son stand au Consumer Electronics Show de Las Vegas (Nevada, ouest).
"Nokia a vendu l'an dernier plus de 40 millions de téléphones intelligents, qui ont tous la lecture de musique, accès internet et appareils photos intégrés, sur 90 millions vendus au total dans le monde", a-t-il dit.
"Mais ce segment est celui qui croît le plus, avec 250 millions d'unités qui devraient être vendues en 2008: il y a beaucoup de place pour beaucoup d'opérateurs", a-t-il ajouté.
"Le choix d'Apple valide notre stratégie de proposer des appareils multi-fonctions, a-t-il poursuivi. "Nous sommes le leader, Apple nous suit", a-t-il commenté, rappelant que Nokia est aussi de loin le premier vendeur de baladeurs musicaux avec 70 millions d'unités vendues l'an dernier, autant que l'iPod en 5 ans.
"L'iPhone n'a qu'une capacité (de transmission internet) en 2G, bien plus lente que le 3G, dont est équipé notre dernier modèle, le N95, qui sort en mars en Europe et en Asie, et qui télécharge 20 fois plus vite que le 2G", a poursuivi M Tuutti, visiblement très au fait des caractéristiques techniques du produit d'Apple.
"Et l'iPhone ne sortira en dehors des Etats-Unis qu'en 2008, c'est un très long processus pour Apple sur ce marché", a-t-il dit.
"Le N95 a aussi une balise de localisation GPS et la cartographie, ce que n'a pas l'iPhone", a-t-il aussi souligné. Il sera proposé à 550 dollars, un prix proche des 500 à 600 dollars de l'iPhone, des prix très élevés dans ce secteur.
Sur le stand de Motorola, on affichait la même sérénité. Le groupe s'est refusé à tout commentaire, mais ses représentants ont montré plusieurs modèles qui comme l'iPhone combinent déjà musique et accès internet: notamment le "Q", un PDA largement vendu aux Etats-Unis, le "MotoMing", un téléphone-PDA qui est déjà le premier modèle vendu en Asie, pour quelque 300 dollars et le MotoRokr, qui a un large écran tactile et intègre aussi un agenda électronique avec reconnaissance de l'écriture, des fonctions plus riche que l'iPhone.
Sans menacer les leaders, "pour Apple, l'iPhone cela pourrait être un succès" avec une bonne valeur ajoutée pour les actionnaires, a cependant souligné Chris Ambrosio, directeur des produits sans fil du cabinet Strategy Analytics.
"Apple pourrait en vendre un million et quelque dès cette année à travers son partenariat avec l'opérateur Cingular, et 5 à 10 millions par an lorsqu'il aura conclu des accords avec d'autres opérateurs", a-t-il jugé. "C'est un objectif réaliste. Apple saura créer une différenciation dans la facilité d'usage, et il y aura des fans de l'iPod qui voudront dépenser 500 dollars pour un tel produit", a-t-il dit.
Sans être techniquement révolutionnaire, le point fort du produit d'Apple devrait rester le design et la maniabilité, estimaient généralement ses concurrents. "Je pense que cela peut changer le marché, en créant une nouvelle référence", a commenté à titre personnel une responsable du groupe coréen LG, autre gros fabricant de super-téléphones.
Source: News.
Ce billet, écrit à 05:50 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
61 commentaires
:: 1041 trackbacks
Téléviseurs du futur, écrans plats toujours plus grands, lecteurs de DVD de nouvelle génération tiennent la vedette au salon de l'électronique grand public de Las vegas. Sans oublier les gadgets. Focus sur quelques-uns des premiers produits phares.
Sony a profité du CES 2007 pour dévoiler ses téléviseurs à écran plat OLED. Le fleuron de la gamme affiche une diagonale de 27 pouces (un peu plus de 67 cm). Le constructeur nippon s'est toutefois bien gardé d'annoncer la disponibilité effective ou le tarif de ces nouveaux produits.
La diode électroluminescente organique, OLED (Organic Light-Emitting Diode en anglais) est une technologie d'affichage censée procurer une meilleure image pour une consommation d'énergie moindre. Les écrans OLED devraient à terme remplacer les LCD.
Blu-Ray VS HD DVD
Qui du Blu-ray ou du HD DVD l'emportera ? LG propose un compromis avec la commercialisation d'un nouveau lecteur capable de lire, et les DVD classiques, et les deux formats de disques haute définition. Plus cher que les lecteurs Blu-Ray ou HD DVD, il sera d'abord vendu aux Etats-Unis 1200 dollars (925 euros environ).
De son côté, Warner a dévoilé son nouveau format de DVD haute définition, « Total HD » qui fonctionnera aussi bien sur les platines Blu-Ray que HD-DVD.
Lors de l'ouverture du CES 2007, Bill Gates, président et fondateur de Microsoft, a présenté sa vision de la maison connectée. Outre la mutation de la Xbox en un décodeur pour recevoir la télévision par internet, et la présentation d'un serveur central pour les foyers dont l'objectif est de fédérer tous les appareils électroniques domestiques, Bill Gates a fait la démonstration de l'écran tactile du nouveau PC de HP baptisé TouchSmart.
A l'aide d'un stylet, d'un clavier ou du doigt, l'écran permet de rédiger des notes, mais aussi d'inscrire des rendez-vous sur un calendrier, ou encore d'afficher des photos.
Le mini-clip électronique de la société israélienne Epos permet d'écrire sur une feuille de papier et de voir apparaître, en direct, sa propre écriture sur l'écran de son ordinateur. Des notes peuvent aussi être prises pour être transférées un peu plus tard sur son PC.
Le stylo cache un émetteur sans fil. En se déplaçant, l'émetteur envoie un signal au clip, qui calcule sa position instantanément, et peut ainsi retranscrire le tracé (lettres ou dessins) sur l'écran de l'ordinateur. Un logiciel de reconnaissance des caractères retranscrit les lettres en texte dactylographié.
Sharp voit les choses en grand avec son téléviseur LCD de 108 cm. Le constructeur n'a pas indiqué le tarif de l'écran qui sera disponible l'été prochain. Ce modèle de la gamme Aquos surpasse en taille les plus grands téléviseurs à écran plasma.
Source: News.
Ce billet, écrit à 05:46 par cédric dans la catégorie technologie a suscité :
32 commentaires
:: 654 trackbacks
Aujourd'hui, 8 heures : les soldes d'hiver ouvrent officiellement dans toute la France, dans les boutiques physiques comme sur le Net. Dès les premières heures, certains d'entre vous vont se précipiter sur leur navigateur pour profiter de ces promotions exceptionnelles, qui peuvent atteindre, en fin de période, plus de 50 % du prix initial du produit.
Mais où dénicher les meilleurs tarifs ? Il existe plusieurs moyens de ne pas rater les « bons plans » sur la Toile. Petit tour d'horizon pratique.
Utilisez les moteurs de comparaison
Certains moteurs de recherche ont choisi de mettre en place une rubrique spéciale pour cette période. Chez Kelkoo, plus de 200 offres seront sélectionnées dès le début des soldes, le chiffre étant amené à grossir tout au long de ces quatre à six semaines (selon les départements). Les promotions seront accessibles grâce à un moteur spécial qui pourra effectuer une recherche sur un pourcentage de réduction. « Notre activité sur le mois de janvier, en raison des soldes, est parfois supérieure à celle de décembre. C'est une grosse période pour nous. C'est pourquoi cette année encore nous créons un espace dédié qui sera couplé à un agenda sur les prochaines ventes privées spéciales <sur des sites spécialisés, NDLR> », explique Laurent Moreau, responsable produits chez Kelkoo. Par ailleurs, le comparateur de prix, filiale de Yahoo!, proposera - en guise de clin d'oeil - une rubrique « antisoldes » où se côtoieront des produits onéreux.
Les soldes seront également accessibles chez le petit dernier des moteurs de comparaison : Twenga. Baptisée « Bonnes affaires », la rubrique permettra de faire une requête sur les tarifs à la baisse par rapport aux prix initialement pratiqués sur les sites marchands. Twenga gardant en mémoire les prix des articles sur 30 jours. « Chaque promotion, réduction ou solde apparaîtra ainsi dans cette rubrique où il sera possible de faire des recherches par rapport aux pourcentages de réduction », commente Sébastien Duclos, PDG de Twenga. Selon lui, la rubrique recensera entre 30 000 et 50 000 articles au plus fort de la période.
D'une manière générale, mieux vaut effectuer des recherches sur plusieurs moteurs de comparaison de prix. Ces derniers étant dans leur presque totalité rémunérés au clic, ils sont loin d'être exhaustifs et tendent à mettre en avant leurs partenaires dans la liste de leurs résultats. A ce sujet, la rubrique soldes de Kelkoo sera majoritairement réservée à ses partenaires.
Multipliez les sources
Vous pouvez également utiliser, comme source d'information, un site comme Ohmybuzz!, sorte de guide d'achat collaboratif lancé ce mardi 9 janvier. Le site référence des articles vendus en ligne mais aussi hors ligne. Et met en avant ceux pour lesquels les internautes ou la presse, par exemple, ont marqué le plus d'intérêt. « Nous n'aurons pas de rubrique particulière, mais grâce à Ohmybuzz! une petite enseigne sans site Internet pourra communiquer sur ses soldes, scanner ses coupons de réduction. Elle sera ensuite géolocalisée grâce à Google Maps », souligne Hugues de Musset, cofondateur du site.
D'autres acteurs du Net mettront l'accent sur les soldes, comme Bonweb ou 1001bonnesaffaires, qui référencent tout au long de l'année les promotions en cours sur les sites marchands. « Nous présentons plus de 200 promotions <en général, NDLR>, majoritairement dans l'univers de la mode. Nos visiteurs sont à 90 % des femmes », indique Olivier Vigor, président de l'association à but non lucratif 1001bonnesaffaires.com. Les liens d'affiliation servent à couvrir les frais de ce site, comme sa rubrique de petites annonces gratuites par exemple.
Créez des alertes
Si vous préférez éviter les intermédiaires, il est possible de créer directement des alertes sur les sites des cybermarchands. LDLC, Pixmania ou encore RueduCommerce par exemple, avertissent par mail le consommateur dès que l'article recherché passe sous la barre d'un prix qu'il a lui-même déterminé. Deux conditions : laisser une adresse e-mail valide et être réactif.
Prenez en compte le SAV
Sur la Toile, comme ailleurs, les commerçants ont pour obligation d'afficher à côté du tarif soldé, le prix initial de l'article. Par ailleurs, il peut être préférable de faire ses emplettes à un prix attractif sur un site connu, plutôt que d'acheter votre lecteur MP3 au tarif le plus bas du marché auprès d'un acteur obscur.
Les sites les plus importants ont mis en place un service après-vente (SAV) chargé de reprendre et réparer l'article en cas de panne. Et il sera sans doute plus facile de leur faire reprendre votre produit, si vous changez d'avis. A l'inverse des boutiques physiques, les cybermarchands ont pour obligation de vous reprendre vos achats dans les sept jours. La législation sur la vente à distance s'applique également pendant la période des soldes.
Source: 01Net.
Ce billet, écrit à 04:39 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
38 commentaires
:: 640 trackbacks
mardi 9 janvier 2007
ChaCha, le moteur de recherche communautaire accessible en version bêta, peut désormais compter sur un financement privé de 6 millions de dollars. De nombreuses personnalités sont à l'origine de ce placement, parmi lesquelles Jeff Bezos, président et fondateur d'Amazon, Rod Canion, co-fondateur de Compaq et Jack Gill, investisseur reconnu de la Silicon Valley.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 07:46 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
aucun commentaire
:: 638 trackbacks
Le brevet sur les calculs de similarité, déposé par Google à la fin de l'année 2001 vient d'être validé par l'USPTO, organisme américain gérant les brevets. Pour rappel, un contenu similaire figurant sur plusieurs pages différentes peut être considéré par Google comme une tentative de spam. Le filtre de "duplicate content" mis en place par le moteur, lui permet de détecter les pages similaires afin de ne valider dans son index qu'un seul exemplaire.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 07:43 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
37 commentaires
:: 1010 trackbacks
Le site de recrutement Monster lance une nouvelle campagne publicitaire sur les chaînes de télévision généralistes (130 spots) et thématiques (1.000 spots) pendant deux mois. Elle sera également relayée sur les principaux sites d'information et de e-commerce français. La campagne, intitulée "Monster, votre recherche s'annonce bien !", se compose de six spots thématiques adaptés à la catégorie socio-professionnelle des téléspectateurs. A destination d'un public large, cette campagne vise à motiver les candidats et à transmettre leur CV sur Monster. Le site en compte 2.400.000 aujourd'hui.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 07:39 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
18 commentaires
:: 115 trackbacks
Le groupe Yahoo! a présenté lundi à Las Vegas un nouveau portail internet pour téléphones portables, avec des services variés et un moteur de recherche adapté, afin de prendre la premère place dans le marché en pleine expansion de l'internet mobile.
Baptisé "Yahoo! Go for Mobile 2.0", ce portail qui agrège quantité de données pratiques est téléchargeable gratuitement partout dans le monde, si l'on dispose de l'un des 70 modèles de téléphones homologués, qui seront 400 d'ici un an, a expliqué Marco Boerries, responsable du département "Vie connectée" chez Yahoo!.
"Nous voulons être le numéro un mondial de l'internet mobile", a-t-il annoncé. Yahoo!, qui vient d'être devancé par son rival Google dans l'internet sur ordinateur, en nombre de visiteurs mensuels, veut ainsi prendre de l'avance dans le marché prometteur de l'internet mobile. Le nouveau service sera financé par de la publicité.
Version nettement améliorée du premier Yahoo! Go datant de début 2006, ce nouveau portail se veut spécialement adapté à la consultation d'internet sur un portable, avec des principes différents de la consultation sur ordinateur, a expliqué M. Boerries, lors d'une conférence de presse au Consumer Electronics Show, le salon électronique de Las Vegas.
Le moteur de recherche intégré, appelé oneSearch, est ainsi conçu comme une guide pratique plutôt qu'une banque de données, pour de nombreux types de recherche.
Ainsi quand on tape par exemple un nom de ville, de film, de magasin, d'entreprise ou de plat, entre autres, on obtient automatiquement une série de données pratiques variées: météo, cartes et guide de shopping pour une ville, horaire, résumés et photos pour un film, localisation sur une carte et commentaires de clients pour un magasin, cours de Bourse et dernières infos pour une entreprise, potins et photos pour une star, etc..
Le portail rassemble aussi le mail, la messagerie et autres services internet classiques.
"Il y a 12 ans, nous apportions l'internet sur les PC. Aujourd'hui l'internet vient sur les mobiles", a-t-il lancé, "et le moteur de recherche sera un élément clé". "Nous fournissons toutes ces données combinées instantanément grâce au fait que nous sommes le premier agrégateur de contenu pour internet", a-t-il dit, sans vouloir indiqué combien de personnes utilisaient le premier Yahoo! Go.
"Google s'efforce lui aussi de s'imposer sur les téléphones mobiles, et a également lancé en 2006 une version mobile de services internet, là aussi téléchargeable gratuitement, avec ses points forts adaptés pour les écrans petits: moteur de recherche, cartes (notament pour les magasins recherché), mail, actualité.
Le groupe a d'ailleurs annoncé lundi au CES un accord avec Samsung pour que les téléphones du groupe coréen soit prééquipés des services internet de Google, ont indiqué les deux entreprises.
Les PDG des deux plus grands fabricants de téléphones, Nokia et Motorola, ont eux rendu hommage lundi au lancement de Yahoo! Go on Mobile dans leurs présentations respectives lundi.
L'internet mobile se développe sur la vague de l'avalanche d'appareils électroniques nomades multi-fonction et super-téléphones, dont les derniers modèles présentés au CES de Las Vegas promettent des communications encore plus rapides sur des appareils de poche où que l'on se trouve, y compris pour la video, internet et la télévision.
Source: News.
Ce billet, écrit à 07:02 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
45 commentaires
:: 519 trackbacks
De petits bijoux électroniques portables, couplés à des services mieux adaptés, rendent enfin possible l'"internet mobile", un internet à emporter dans sa poche, qui s'annonce comme une révolution comparable à l'avénement du web sur les ordinateurs il y a 10 ans.
Au Consumer Electronics Show de Las Vegas, les fabricants rivalisent d'offre de super-téléphones ou appareils portables, dotés d'écrans tactiles, de connexion internet, ou encore de caméras et de balise de localisation GPS, et apte à faire tout ce que fait un ordinateur de bureau, et davantage.
Parallèlement, le contenu disponible s'enrichit chaque jour. Tous les grands groupes internet, comme Yahoo!, Google et MSN de Microsoft, mais aussi des sites d'échanges comme MySpace, YouTube, s'adaptent aux téléphones portables.
Il faut séduire un consommateur qui hésite encore: l'internet mobile ne concerne pour l'instant que 10% des usagers.
Les groupes de médias rendent maintenant leurs contenus disponibles sur tous ces appareils nomades, via internet, des groupes bancaires les transforment en système de paiement sans contact dans les magasins et les annonceurs publicitaires s'intéressent désormais à leur audience. Deux groupes, MediaFlo et Samsung, ont eux annoncé lundi des systèmes de diffusion de la télévision pour téléphone ou lecteur vidéo portables.
Lundi, en présentant au CES de nouveaux modèles encore plus sophistiqués, les PDG de Nokia et Motorola ont tous deux parlé de révolution en marche. "La mobilité va complètement changer internet", a lancé Olli-Pekka Kallasvuo, le pdg de Nokia, leader mondial des téléphones.
"Ce n'est qu'un commencement, tout arrive très vite, maintenant", a renchéri Ed Zander, patron de Motorola, numéro deux du secteur.
Le groupe Yahoo! est lui aussi passé à l'offensive lundi en lançant un portail internet et un moteur de recherche entièrement repensés pour s'adpater à l'internet mobile, où ses services ont pour l'instant une place de leader.
Ses rivaux se préparent à une nouvelle guerre sur ce champ de bataille: Google a récemment lancé Google Mobile, une version pour mobile de ses services. Microsoft a lancé fin novembre Live Search for Mobile, un moteur spécialement destiné aux portables.
La totalité du secteur high tech et du loisir, matériel, services et contenus, rêve du marché potentiellement immense de ce deuxième internet. Avec 90 millions d'unités, les téléphones-intelligents ont représenté 10% environ du milliard ou presque de portables vendus en 2006.
Quant aux contenus, les loisirs sur téléphones portables (pornographie, jeux d'argent, jeux vidéos, téléchargement de musique, télévision, émission de loisirs), devraient exploser dans les 5 ans, passant de 17 millions de dollars actuellement à 47 millions en 2009 et 77 millions en 2011, selon Jupiter Research.
Pourtant, le consommateur reste à être converti, notamment aux Etats-Unis, qui sont très en retard dans l'usage des téléphones pour autre chose que la voix, derrière l'Europe et l'Asie, a souligné selon Carmi Levy, analyste chez info-Tech. Selon la société d'études Telephia, au 3e trimestre 2006 seuls 3,8% des Américains acheteurs de téléphones avaient choisi un téléphone intelligent, contre 8,8% des Européens de l'ouest.
Et même en Europe, rares sont les consommateurs qui surfent depuis leur téléphone, indique une étude de Forrester parue en décembre: 54% ne le font jamais et 27% disent ne pas l'avoir sur leur portable.
Le problème reste encore le débit des données, souvent 50 fois moins rapide que sur ordinateur, le parc de téléphones où les téléphones sophistiqués sont peu répandus, et le prix, car ces services sont généralement hors forfaits: on paie au temps de surf sur internet.
Il faudra des années pour que le gros des consommateurs aient des super-téléphones, estime Forrester.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:59 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
35 commentaires
:: 514 trackbacks
Le mini-clip électronique de la société israélienne Epos permet à celui qui écrit sur une feuille de papier de voir apparaître, en direct, son écriture sur l'écran de son ordinateur, ou de stocker ces notes pour les transférer plus tard dans son PC.
Ce minuscule appareil, présenté au Consumer Electronics Show de Las Vegas, est clippé sur une feuille de papier. Il faut écrire avec un stylo spécial, qui cache un émetteur sans fil. Le stylo en se déplaçant envoie un signal au clip, qui calcule sa position instantanément, et peut ainsi retranscrire le tracé (lettres ou dessins) sur l'écran de l'ordinateur. Un logiciel de reconnaissance des caractères retransforme alors les lettres en texte dactylographié.
La société propose un clip de transfert instantané, qui doit être connecté à l'ordinateur, mais aussi un clip de voyage qui permet par exemple de prendre des note sur un calepin lors d'une conférence, pour ensuite les enregistrer sur son ordinateur, a expliqué un porte-parole d'Epos.
Le produit doit sortir mi-2007 pour un prix conseillé de 79 dollars.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:51 par cédric dans la catégorie technologie a suscité :
2163 commentaires
:: 843 trackbacks
Le groupe Meetic fait l'acquisition d'un portail de rencontre en ligne concurrent.
Selon l'agence de presse Reuters, ce lundi, le groupe Meetic, leader européen dans le domaine de la rencontre en ligne, a annoncé une nouvelle acquisition. Malgré son débarquement sur le marché chinois en août dernier, le groupe n'en oublie pas pour autant son principal premier terrain de chasse, à savoir l'Europe, et rachète ainsi un portail britannique.
DatingDirect et ses 4,5 millions de membres
Meetic met ainsi la main sur le site DatingDirect. Créé en 1999, ce dernier est le premier portail britannique de rencontre en ligne avec 4,5 millions de membres inscrits en Europe, dont 3,5 millions en seule Grande-Bretagne, et un chiffre d'affaires estimé à 16 millions d'euros.
Au passage, le groupe Meetic a aussi signé avec les actionnaires pour l'acquisition de la société Chemistry, qui est quant à elle spécialisée dans l'organisation d'évènements de rencontre au Royaume-Uni.
La transaction totale est valorisée à 27,3 millions de livres sterling, soit environ 40,6 millions d'euros. Elle sera entièrement réglée en numéraire lors de la fin de l'opération qui devrait avoir lieu courant janvier normalement.
Source: GNT.
Ce billet, écrit à 06:48 par cédric dans la catégorie Business a suscité :
21 commentaires
:: 984 trackbacks
lundi 8 janvier 2007
La ville du jeu, aux Etats-Unis, accueille jusqu'au 11 janvier le Consumer Electronic Show. Cette grand-messe permet d'entrevoir ce que l'avenir nous réserve en terme d'équipements électroniques. Il y a 40 ans, on y avait vu un nouvel appareil baptisé magnétoscope.
A 18h30, dimanche 07 janvier à Las Vegas, soit 3h30 du matin à Paris, le CES a ouvert ses portes avec un coup d'envoi officialisé par le patron de Microsoft en personne, Bill Gates. Quatre jours d'une exposition au cours de laquelle devrait se dégager les grandes tendances 2007 de l'actualité high-tech :
• L'IPTV. Les opérateurs téléphoniques, les chaînes de télé et Microsoft devraient annoncer de nouvelles initiatives permettant de suivre des programmes télévisés via l'internet. Ce qui n'était encore qu'un vague concept, il y a deux ans, au CES est aujourd'hui un marché prometteur.
• Les réseaux domestiques. Bon nombre d'entreprises comme Cisco Systems, Intel ou Gateway tentent, depuis plusieurs années, d'encourager les particuliers à connecter entre eux téléviseurs, ordinateurs et chaînes stéréo. Sans véritable grand succès. L'émergence de la vidéo sur internet ainsi que celle des technologies Wi-Fi et CPL est en train d'inverser la tendance. Plusieurs nouveaux produits doivent être présentés au cours de ce CES.
• Le Blu-ray et le HD DVD. Si les deux nouvelles générations de DVD existent bel et bien séparément, des constructeurs réfléchissent déjà à des appareils combinant les deux technologies. Ainsi, le Coréen LG Electronics devrait présenter un lecteur polyvalent. Une question subsiste toutefois sur le coût d'un tel appareil.
• Les terminaux numériques. On en parlait beaucoup dans les années 90 ; le consommateur pourrait tout faire à partir d'un décodeur : surfer sur le net, télécharger des films et trouver de l'information pratique. Le concept, qui finalement avait fait long feu, revient au goût du jour. L'année 2007 devrait voir fleurir de nouveaux services de ce type. La société Digeo en particulier devrait faire une annonce en ce sens.
• Des téléviseurs plus grands, plus performants. Les fabricants devraient rivaliser au CES avec leurs nouveaux modèles de TV HD et leur résolution de 1080p, le meilleur niveau d'affichage disponible à ce jour. Sharp devrait créer l'évènement avec la présentation d'une nouvelle technologie qui devrait repousser encore un peu plus les limites de l'affichage. D'autres, comme Samsung, pourraient aussi donner un aperçu de l'image télévisée en trois dimensions.
• La sécurité domestique. C'est l'un des thèmes phares du CES. Jumelles à vision nocturne, pistolet neutralisant électrique et autres articles d'autodéfense donnent toujours lieu à des présentations appréciées.
• Les disques durs contre la mémoire flash. Ce sera l'un des duels du CES. Alors que des fabricants comme Hitachi et SeaGate s'apprêtent à commercialiser des disques durs d'un téraoctet, d'autres fabricants planchent sur l'utilisation de la mémoire flash.
• Le WiMax. L'adoption de cette technologie de connexion sans fil à haut débit sur de longues distances est amenée à se développer avec l'utilisation généralisée des ordinateurs portables. Intel devrait présenter une nouvelle gamme de processeurs adaptés à ce nouveau standard.
• L'automobile. Signe des temps, l'espace consacré aux nouvelles technologies et la voiture a pris de l'ampleur cette année, au CES. Même si la présentation des produits, en particulier celle des lecteurs de DVD embarqués ou des autoradios MP3, ne constituera qu'un préambule au salon automobile de Détroit qui se tiendra la semaine prochaine.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:32 par cédric dans la catégorie technologie a suscité :
21 commentaires
:: 744 trackbacks
Un troisième projet de moteur de recherche européen est sur les rails. Baptisé Pharos, il doit déboucher sur la création d'une plate-forme de recherche vidéo professionnelle et grand public.
Alors que le projet de moteur de recherche Quaero a du plomb dans l'aile, un nouveau projet de coopération européenne dans ce domaine voit le jour. Il s'agit du programme Pharos pour "Platform for search of audiovisual resources across online spaces" (ou plate-forme de recherche de ressources audiovisuelles sur les espaces en ligne).
Il est piloté par l'éditeur de solutions de recherche Fast (Fast Search and Transfer), situé en Norvège. Son objectif est de « créer une plate-forme de recherche audiovisuelle de nouvelle génération, conçue, développée et utilisée conjointement par un consortium mondial d'acteurs universitaires et industriels ».
Treize partenaires européens ont déjà donné leur accord pour participer à ce projet, dont France Télécom, le Fraunhofer Institute for Digital Media Technology, l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, le Technical research centre of Finland. Au total neuf pays - France, Allemagne, Autriche, Espagne, Finlande, Norvège, Italie, Suisse et Royaume-Uni - sont impliqués.
Pharos repose sur des fonds privés, mais aussi sur des financements publics : il a reçu à la fin du mois de décembre une enveloppe de 8,5 millions d'euros de la part de la Commission européenne.
L'indexation de contenus audiovisuels est un secteur très porteur avec l'explosion des sources de diffusion vidéo, qu'elles émanent des sites de distribution officielle de contenu ou des plates-formes communautaires, type YouTube. Face à ce phénomène, Pharos entend mettre au point « une nouvelle infrastructure (...) pour permettre aux organisations dotées d'un contenu audiovisuel de renforcer et d'étendre leurs offres de produits et services, en intégrant les meilleures solutions <de recherche> ».
Le moteur Pharos devrait ainsi fournir à la fois des solutions de recherche pour les entreprises, pour intranet ou autre, et des éléments réutilisables par le grand public, pour une recherche internet classique. Ce positionnement le place en confrontation directe avec Quaero, devenu depuis quelques jours, un projet franco-français, même si Pharos met beaucoup plus l'accent sur la vidéo.
Il est en revanche complémentaire avec Theseus, le moteur que souhaite développer l'Allemagne, et qui s'orientera plutôt vers la recherche sémantique.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:29 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
aucun commentaire
:: 638 trackbacks
Le constructeur finlandais vient d'annoncer le nombre des ventes des combinés mobiles multimédia pour 2006.
Le fabricant nordique, leader en termes de parts de marché, a indiqué aujourd'hui avoir vendu 40 millions de téléphones mobiles multimédia en 2006 et approximativement 70 millions de combinés acceptant les fichiers musicaux.
Selon les estimations de Olli-Pekka Kallasvuo, directeur exécutif de Nokia, relayées par Reuters et Sharewatch, le marché total des téléphones multimédia était de 90 millions d'unités en 2006 et devrait croître à hauteur de 250 millions en 2008. La firme, s'est par ailleurs penchée sur le bas de gamme en 2006 accroissant ses ventes et stabilisant ainsi sa part de marché globale.
Lors du C.E.S. ( Consumer Electronics Show ) de Las Vegas, Nokia a par ailleurs dévoilé trois nouveaux combinés multimédia de la gamme N-Series, et notamment le N76, téléphone ultra-fin de 13,7 millimètres d'épaisseur.
Le constructeur scandinave a enfin déclaré qu'il travaillerait avec eBay pour proposer l'intégration des appels Skype ( propriété d'eBay ) via son modèle Nokia N800 Internet, également présenté lors du C.E.S.
Source: GNT.
Ce billet, écrit à 06:23 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
un commentaire
:: 530 trackbacks
Le groupe Yahoo, selon le Wall Street Journal, va proposer son application de recherche sur Internet pour téléphones mobiles directement aux utilisateurs.
Jusqu'ici, les services de recherche Yahoo pour combinés nomades n'étaient disponibles que par l'intermédiaire des constructeurs avec lesquels Yahoo avait réalisé des partenariats. Selon l'article du WSJ relayé par Reuters, la firme devrait outrepasser ces accords et les proposer directement aux internautes.
Ainsi, les utilisateurs pourront télécharger le produit qui sera présenté à une conférence du C.E.S ( Consumer Electronics Show ) de Las Vegas et l'installer sur leur téléphone mobile compatible.
Google versus Yahoo
Cette annonce si elle est suivie des faits donnera une nouvelle estocade à Google, leader de la recherche sur ordinateurs. En étant le plus rapide à proposer une telle plate-forme de recherche pour mobiles, Yahoo pourrait de fait commencer à proposer son système de publicités liées à la recherche.
Par ailleurs, le Wall Street Journal nous indique que Yahoo devrait dévoiler de nouveaux partenariats avec les constructeurs que sont Motorola, Nokia, Samsung ou bien encore Research in Motion, fabricant des fameux Blackberry. Lesdits accords concerneraient l'intégration des services de recherche Yahoo dans les combinés nomades.
Le groupe n'a pas commenté cette information pour le moment. Fin novembre, Nokia décidait de proposer la recherche Web de Yahoo pour ses modèles 6300, 5300 XpressMusic et 5200.
Source: GNT.
Ce billet, écrit à 06:16 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 1126 trackbacks
Plus de 150 millions de personnes dans le monde seraient abonnées à la téléphonie de troisième génération.
Selon l'UMTS Forum, un puissant consortium regroupant des industriels et des opérateurs du secteur de la téléphonie mobile, il y aurait actuellement plus de 150 millions d'usagers 3G dans le monde.
Plus de 150 millions d'abonnés 3G à travers le monde
La chose a été officiellement annoncée le 29 décembre dernier par l'UTMS Forum. La barre symbolique des 150 millions d'abonnés 3G dans le monde aura été franchie en début d'année. 100 millions d'entre eux sont reliés au réseau UMTS / WCDA, norme utilisée en Europe, et les 50 millions restants sont connectés au réseau CDMA2000, standard utilisé sur le continent nord-américain.
Jean-Pierre Bienaimé, Président de l'UMTS Forum, commente : " Cela a été une autre année incroyable pour la téléphonie 3G, et en particulier pour la norme WCDMA. Sur la base des taux de croissance actuels, nous estimons que le nombre d'abonnés mondiaux à la téléphonie 3G pour toutes les technologies aura conforablement dépassé les 275 millions à la fin de l'année 2007. Par la suite, vers la fin de cette décennie, nous nous attendons à ce que le standard WCDMA compte pour environ trois quarts du nombre total d'abonnés 3G approchant les 800 millions. "
Il poursuit ainsi : " Nous nous attendons à ce que cette croissance spectaculaire, au cours de prochaines années, vienne de marchés comme l'Inde, la Chine, l'Europe de l'Est et l'Amérique Latine. Ici, il y a un énorme potentiel pour la norme 3G / UMTS - et ses améliorations en termes de vitesses HSDPA et HSUPA - pour fournir des services rentables de voix et de données, notamment dans des zones géographiques à faible densité de population où la connectivité et la pénétration du PC demeurrent pauvres. "
Et conclut ainsi : " A partir de la fin de cette décennie, la 3G LTE ( Long Term Evolution ) déclenchera une nouvelle vague des services mobiles très haut débit mobiles, prolongeant encore plus l'attrait de la 3G / UMTS pour les opérateurs et les utilisateurs finaux. "
Source: GNT.
Ce billet, écrit à 05:54 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 633 trackbacks
vendredi 5 janvier 2007
Dash, spécialiste américain de la technologie GPS, va bientôt intégrer les services de recherche locale proposés par le moteur Yahoo. Les détenteurs du GPS Dash Express pourront directement rechercher des services de proximité et des entreprises grâce à l'outil de recherche Yahoo! Local. Ils auront également accès à la base de données d'avis sur ces services déposés par les utilisateurs de Yahoo.
Ce billet, écrit à 06:32 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
aucun commentaire
:: 587 trackbacks
Google s'est associé avec China Mobile, pour proposer ses services de recherche sur le portail Wap de l'opérateur mobile, leader du marché chinois avec 296 millions d'abonnés à la fin novembre. En phase de test depuis décembre, le service devrait être lancé officiellement au début de cette année. Déjà présent en Chine avec son propre site, Google fournit aussi le moteur du portail China.com.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 06:28 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 1031 trackbacks
Amazon créé Endless.com, un site dédié à la vente de chaussures et de sacs à main. C'est la première fois que le e-commerçant crée un site, autre que le sien, sous une marque différente. Le marchand estime en effet que les passionnés de maroquinerie ont besoin d'un site dédié en particulier à ces catégories de biens. Les boutiques en ligne de ce secteur ont bénéficié d'une forte croissance cette année, à l'image de Zappos.com, mais aussi de nombreuses marques de luxe vendant exclusivement de la maroquinerie en ligne. D'après Forrester research, les revenus issus de la vente de sacs sur Internet pourraient passer de 9.6 milliards en 2006 à 11.3 milliards de dollars en 2007 et ceux des chaussures de 2,9 milliards de dollars, à 3,5 milliards de dollars.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 06:25 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 523 trackbacks
Le robot n'est plus un mythe. Il devient une réalité. Très présent dans l'industrie, mais aussi dans l'armée et le nucléaire pour des missions périlleuses, il fait un pas en direction du particulier, notamment vers les séniors. En France, un groupe d'industriels se regroupent autour du projet Robodomo.
Au Japon, un quart de la population aura plus de 65 ans en 2010. L'Europe devrait souffrir de ce vieillissement de la population à l'horizon de 2020. Dans un tel contexte, le chiffre d'affaires généré par le marché mondial des services de santé dans la maison numérique devrait atteindre 2,1 milliards de dollars (1,5 milliard d'euros) en 2010, selon une étude du cabinet américain Parks Associates Research. En France, on estime que sur les 10 000 accidents mortels par an dont sont victimes les personnes âgées à leur domicile, près de 9 000 sont dus à des chutes.
C'est pour répondre à cette préoccupation que différentes sociétés, dont plusieurs entreprises françaises (SFR, Veolia, GDF, Tam Santé, etc.) se sont réunies autour du projet RoboDomo. Proposé par le MBDS, un master de la Faculté des sciences de l'Université de Nice Sophia-Antipolis, le développement de RoboDomo a été organisé en trois étapes. La première, bouclée en novembre 2006, consistait à piloter, à l'aide d'un téléphone et visioconférence 3G, le robot robuLAB80, puis robuLAB10 mis au point par Robosoft, l'une des premières start-up de l'INRIA. Exploitant la nouvelle solution robotique de Microsoft, ces tests ont permis de vérifier la bonne réception et émission des données audio et vidéo.
La phase 2, programmée entre novembre 2006 et septembre 2007, concerne un bouquet de services dits "3P" (Peur, Paresse, Plaisir) intégrant des objets communicants sans fil (capteurs de chute, de température, tensiomètre, pèse-personne...). Prévue à la fin de cette année, la dernière phase donnera lieu, quant à elle, à un test grandeur nature dans une cinquantaine de foyers à Nice.
Des robots déjà commercialisés au Japon
Si en France, nous n'en sommes qu'à la phase expérimentale. C'est au Japon, pays du robot par excellence, que les applications pour améliorer la vie des personnes âgées sont les plus avancées. En raison du vieillissement de sa population, le Pays du Soleil levant poursuit logiquement des recherches depuis de nombreuses années. Plusieurs robots sont même déjà commercialisés.
Parmi les nombreux exemples, citons le "gardien de maison" FII-RII, proposé pour 180 euros environ, par le géant des télécoms NTT et le fabriquant de jouets Takara. Comme le Maron-1 de Fujitsu, son propriétaire peut le diriger via un téléphone portable mais aussi depuis un PC relié à internet. D'une hauteur de 16 cm, doté d'émetteurs infrarouges au bout des membres, il est capable d'actionner des appareils électroniques.
Mitsubishi Heavy Industries s'est aussi lancé sur ce nouveau créneau en adaptant ses robots chargés de la surveillance des centrales nucléaires. Wakamaru, aux allures d'humanoïde, haut de un mètre, est doté de deux bras articulés et se déplace sur roues. Sa mission consiste à détecter les situations inhabituelles chez les personnes qu'il surveille et d'alerter le médecin ou les familles concernées. Il est pourvu de tous les systèmes de communications actuels : vidéo, e-mail, passerelle et retour vidéo sur téléphone mobile, gestion individuelle et vocale d'un agenda ou d'un traitement à suivre. Riche de plus 10 000 mots, son vocabulaire lui permet une interaction simple avec les utilisateurs. Wakamaru serait capable de reconnaître visuellement et vocalement jusqu'à 8 personnes différentes. Lancé en 2005, ce joyau de l'électronique ne reste réservé pour le moment qu'aux milliardaires qui ne supporteraient plus leurs domestiques. Car son prix est loin d'être attractif : 12 000 euros.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:21 par cédric dans la catégorie technologie a suscité :
60 commentaires
:: 622 trackbacks
Officiellement opérationnel depuis le 1er janvier 2007, le centre NeuroSpin va repousser les limites de la neuro-imagerie et permettre de mieux comprendre le fonctionnement du cerveau. Objectif : prévoir les perturbations à l'instar d'un modèle météorologique.
« Nous ne savons pas vraiment comment fonctionne le cerveau. Il est déjà souvent trop tard lorsque l'on voit le signe de la maladie d'Alzheimer sur un scanner. Il faut anticiper. » Ce constat relayé par Denis le Bihan, directeur de NeuroSpin, justifie à lui seul la mise en service du tout nouveau centre dédié aux recherches en matière de neuro-imagerie cérébrale par résonance magnétique nucléaire en champ intense. Dépressions, Parkinson, Alzheimer, huntington, épilepsie, schyzophrénie, autisme, addictions, les maladies du cerveau sont en passe de devenir les premiers maux des sociétés développées. Un phénomène amplifié par l'allongement de l'espérance de vie.
Le plus puissant scanner IRM au monde
NeuroSpin est implanté à Saclay, en Ile-de-France. Quatre-vingt personnes représentant toutes les disciplines scientifiques sont déjà à l'oeuvre sur les quelque 11 000 m2 que compte le site. Un scanner d'imagerie par résonance magnétique (IRM), d'une puissance de 3 Tesla (mesure de champ magnétique) y a été installé, ainsi qu'un modèle plus puissant de 7 Tesla. Ce dernier modèle est le premier du genre en France, le 4e en Europe. D'ici à 2009, les équipes pluridisciplinaires de Neurospin auront doublé, avec un effectif de 160 personnes. Le centre accueillera alors le scanner IRM le plus puissant du monde avec 11,6 Tesla au compteur.
Grâce à sa puissance, l'outil devrait donner lieu à des avancées sur la compréhension du fonctionnement de notre cerveau. L'allemand Siemens, pour le scanner et le laboratoire français Guerbet, pour l'imagerie moléculaire, sont les deux partenaires industriels de ce projet alimenté par une enveloppe de 200 millions d'euros. « Ces nouveaux outils vont nous permettre de voir des choses que l'on ne voit pas aujourd'hui. À partir de là, il sera plus facile de mieux guider les scanners de moindre puissance pour qu'ils regardent exactement là où il faut », avance Denis le Bihan. Aujourd'hui, on recense quelque 12 000 scanners IRM dans le monde dont la puissance ne dépasse pas pour la plupart, 1,5 Telsa.
Une vitrine civile pour le CEA
Le Commissariat français à l'Energie Atomique est très impliqué dans le projet Neurospin. Il apporte 64% (33 millions d'euros) du financement et plus de 50% du personnel. Une façon pour l'institution, plutôt associée à des besoins militaire et nucléaire, d'embellir son image. NeuroSpin représente en effet une belle vitrine de promotion des recherches médicales menées par le CEA. « Il met ses connaissances en matière de supraconductivité à la disposition des neurologues », précise Denis le Bihan. « La maturité est désormais suffisante pour que toutes les disciplines scientifiques collaborent sur un tel projet. »
Un mini-hôpital de 8 lits a été mis en place dans les locaux de NeuroSpin. Tous volontaires, les patients se livreront à des expérimentations sous protocole scientifique. À la fin de l'année 2009, un autre scanner d'une capacité de 17 Tesla sera également en expérimentation. Mais cette fois, le tunnel ne pourra accueillir qu'une souris.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:15 par cédric dans la catégorie Santé a suscité :
aucun commentaire
:: 732 trackbacks
Les opérateurs mobiles et internet, qui s'étaient engagés à instaurer la gratuité du temps d'attente des services d'assistance téléphonique (hotlines) pour fin 2006, n'ont pas tous joué le jeu, et déçu par cette mauvaise volonté, le ministère de l'Industrie va leur imposer cette mesure par la loi.
Cette gratuité sera inscrite, comme la menace en planait depuis plusieurs mois, dans le projet de loi sur la consommation, qui doit être discuté à l'Assemblée nationale fin janvier.
"Il y aura obligation de légiférer", a indiqué à l'AFP un porte-parole du ministère, qui proposera une "application immédiate".
Si beaucoup d'acteurs de l'internet et de la téléphonie mobile ont appliqué cette gratuité spontanément, il reste quelques récalcitrants dont Free, Neuf Cegetel ou Bouygues Telecom. Chez ces derniers, le temps d'attente est généralement décompté du forfait ou facturé 34 centimes d'euro la minute.
Leur principal argument? La complexité technique de changer de tarif en cours de communication, qui serait gratuite pendant l'attente, puis payante dès que le conseiller est en ligne.
Cette disposition était l'un des 21 engagements pris publiquement en 2005 par les opérateurs de téléphonie et d'internet pour améliorer leurs relations avec les consommateurs, qui multiplient les plaintes (31.000 en 2005).
Parmi ceux qui ont instauré une gratuité ou des crédits de communication figurent Orange (ex-Wanadoo, groupe France Télécom), Alice (Telecom Italia), Club Internet (Deutsche Telekom) et Tele2 (racheté en octobre par SFR). Certains ont même rendu gratuit leur service d'assistance téléphonique.
D'autres rechignent encore, comme Free et Neuf Cegetel, acteurs majeurs du haut débit français.
Du côté des opérateurs mobiles, qui promettaient d'agir dès mi-2006, Orange a instauré la gratuité en juin, puis SFR en novembre.
Bouygues Telecom, quant à lui, met en avant la rapidité de sa "hotline", avec un temps d'attente inférieur à 20 secondes. Selon lui, la mesure aurait comme "effet pervers" d'inciter les opérateurs à ne plus investir dans les emplois et la qualité de leurs centres d'appels: pour compenser la perte de revenus, ils pourraient être tentés de réduire leurs effectifs.
Alice, qui avait largement médiatisé la gratuité de sa hotline, instaurée dès 2005, a vite dû faire face à une centaine de procédures judiciaires lancées par ses abonnés, sous l'égide de l'association de consommateurs UFC-Que Choisir, car son service était devenu injoignable.
Certains professionnels se demandent cependant pourquoi cette mesure ne concerne qu'eux seuls et non les autres secteurs, notamment les services publics.
Pour l'UFC-Que Choisir, comme pour l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep), c'est la hotline elle-même qui devrait être gratuite: "D'accord pour ne pas payer le temps d'attente, mais est-ce que le consommateur a à payer le reste?", s'interroge Julien Dourgnon, directeur des études de l'association.
"C'est vrai que les services clientèle ont un coût, à peu près 120 millions d'euros pour tout le secteur, mais il faudrait l'inclure directement dans le prix du service" (forfait mobile ou abonnement internet), estime-t-il.
L'association, qui dit n'avoir "jamais cru" à une adhésion spontanée des opérateurs sur le sujet, est également pessimiste sur le projet de loi sur la consommation, craignant qu'il n'ait "pas le temps de passer" avant l'élection présidentielle.
Source: News.
Ce billet, écrit à 06:12 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 1040 trackbacks
jeudi 4 janvier 2007
Selon les prévisions d'IDC, Salesforce.com pourrait être racheté en 2007. L'engouement du marché pour « le logiciel en tant que service » (SaaS) fait du spécialiste du CRM à la demande une cible de choix pour les poids lourds de l'informatique de gestion mais aussi pour les acteurs de l'Internet.
Salesforce.com, qui prévoit de générer 720 millions de dollars de revenus à la fin de son exercice fiscal 2008, pourrait compléter l'offre « mid-market » d'éditeurs comme SAP, Oracle, Microsoft et IBM, ou encore participer au développement de Google ou Yahoo! dans les services en ligne professionnels.
A ce jour, l'offre Salesforce.com est utilisée par 27.100 entreprises clientes et 556.000 abonnés à travers le monde. Très Web 2.0, la 21ème édition du service (Winter'07) inclut une interface utilisateur basée sur Ajax et un espace de travail axé sur les services, le tout propulsé par le langage de programmation Apex.
« Apex permet a des millions de développeurs, partenaires et clients de bénéficier de la puissance du développement d'applications à la demande multi-utilisateurs et de créer des millions de nouvelles applications et mash-ups », a souligné, en octobre dernier, Marc Benioff, CEO de Salesforce.com.
Proposée en 4 éditions, à partir de 70 € par utilisateur/mois, Salesforce.com est associée à la plate-forme de distribution d'applications à la demande AppExchange. Cette dernière permet aux développeurs et aux partenaires de la société américaine de créer de nouvelles applications à la demande et de les intégrer à leurs applications existantes.
Globalement, selon IDC, le marché du logiciel devrait enregistrer une croissance supérieure à 8% en 2007, celui des services informatiques de 6% (en retrait par rapport à l'année précédente) et celui du matériel en ligne de 6,5%.
Source: NeteCo.
Ce billet, écrit à 08:06 par cédric dans la catégorie Marketing-CRM a suscité :
aucun commentaire
:: 624 trackbacks
Eric Schmidt, Pdg de Google a récemment expliqué à des étudiants de Stanford que selon lui les communications GSM seront à terme gratuites car financées par la publicité. Une gratuité néanmoins corrélée à un usage intensif des mobiles de l'ordre de 7 heures par jour pour un usage multimédia. Vodafone étudie justement cette voie aux Royaume-Uni. L'opérateur à l'intention de proposer à ses abonnés des publicités mobiles administrées par Yahoo en contrepartie d'une réduction des coûts de communication en mode data. Des encarts publicitaires seraient ainsi affichés sur le portail mobile de Vodafone et sur certains services. Un test est actuellement en cours.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 08:01 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 644 trackbacks
L'achat de jeux vidéo pour téléphones portables devrait progresser de 16 % par an jusqu'en 2010 selon une étude américaine publiée par le cabinet IDC. Autant d'opportunités de croissance pour les opérateurs mobiles ou les fournisseurs de services sur un marché qui devrait compter 50 millions de consommateurs en 2010. Selon l'étude, l'année 2006 a vu le marché se structurer grâce notamment à l'arrivée de technologies 3D capables désormais de proposer des jeux plus perfectionnés. Une autre étude du cabinet IDC révélait que 11 % des sondés avaient acheté un jeu mobile lors du troisième trimestre 2006. L'étude prévoit que le prix moyen des jeux devrait augmenter de 2,5 dollars d'ici 2010.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 07:58 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
un commentaire
:: 533 trackbacks
TV-Card, un fournisseur de solutions intégrées de marketing direct et de prépaiement de services télévisuels ouvre un bureau à Londres. La société compte se développer outre-Manche grâce à un partenariat avec le britannique MGt, spécialisé dans la gestion de la relation client (CRM) pour les médias et professionnels de l'audiovisuel. TV-Card, une entreprise de 10 salariés, est déjà implantée en Italie.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 07:54 par cédric dans la catégorie Marketing-CRM a suscité :
aucun commentaire
:: 1155 trackbacks
Les ventes de détails réalisées aux Etats-Unis entre le 23 novembre et le 23 décembre ont progressé de 6,5 % sur un an à 8,75 milliards de dollars selon l'institut NPD Group. Celles de 2005 avaient déjà progressé de 10 % par rapport à 2004. Les foyers américains se sont arrachés en priorité les TV LCD dont les ventes ont grimpé de 109 % sur un an, à hauteur de 924 millions de dollars. Les autres articles les plus demandés ont été les caméras numériques, les ordinateurs portables et les lecteurs MP3.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 07:49 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
aucun commentaire
:: 530 trackbacks
PayPal vient de lancer une version bêta limitée à quelques utilisateurs d'une nouvelle application capable de générer des numéros de carte de crédit pour un usage unique. En partenariat avec Mastercard, le système permet aux consommateurs d'effectuer un achat en toute sécurité en générant un numéro de carte lié à un solde prédéfini sur un compte PayPal. Le numéro de la "Virtual Debit Card" sera automatiquement renseigné dans les champs valides des modules de paiements des e-commerçants. Sans, pour l'utilisateur, devoir entrer son numéro de compte paypal ou son numéro de carte bancaire. PayPal percevra une commission sur chaque opération réalisée.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 07:46 par cédric dans la catégorie E-commerce a suscité :
32 commentaires
:: 119 trackbacks
Le 1er janvier 2007, les téléspectateurs ont découvert de nouvelles marques dans les écrans publicitaires. Des marques qui ne leur sont pas inconnues, puisqu'il s'agit d'enseignes comme Leclerc, Système U, Intermarché ou encore Auchan. A l'exception notable du leader Carrefour, ces marques n'ont pas manqué l'ouverture de la distribution à la publicité télévisée sur les chaînes hertziennes.
Selon TNS Media Intelligence, 11 enseignes ont communiqué sur le petit écran en ce jour symbolique avec 25 spots différents. La distribution a représenté, le 1er janvier, un quart des recettes publicitaires des chaînes hertziennes, soit 2,5 millions d'euros.
Pas question d'extrapoler après une seule journée, l'impact de l'arrivée de la distribution en télévision. Il n'empêche. Alors que ce client de poids débarque, nombre d'acteurs s'inquiètent. Parmi les sujets de préoccupation : la hausse du prix de la publicité télévisée.
"Cela pourrait relancer une certaine inflation des coûts", reconnaît Gérard Noël, président de l'Union des annonceurs (UDA). Une analyse partagée par Philippe Sarrazin, président de l'agence de conseil en médias Initiative : "L'arrivée de la distribution à la télévision va créer un encombrement. Selon la logique de l'offre et de la demande, les tarifs des régies publicitaires télé augmentent. C'est le premier facteur d'inflation. Le second est lié à l'érosion des audiences des grandes chaînes, grignotées par celles du câble et de la TNT."
"COÛT AU CONTACT"
Les chaînes de télévision vendent en effet aux annonceurs un "coût au contact". Cet indicateur est le ratio entre le coût d'un spot et le nombre de téléspectateurs qui le regardent. Si les tarifs augmentent et si les audiences s'érodent en même temps, le coût d'une publicité télévisée s'envole.
Cette tendance a commencé à se faire sentir mi-2006. L'UDA chiffre la hausse à 7,2 % en 2006. Mais Stéphane Martin, du Syndicat national de la publicité télévisée (SNPTV), préfère qualifier cette évolution de "rattrapage", après des années relativement stables. Résultat, selon M. Noël, "quand les coûts à la télévision augmentent, cela ferme la porte à des annonceurs de taille moyenne". Certains vont d'ailleurs quitter la télévision et arbitrer différemment leurs investissements publicitaires. "Cela peut être un atout pour les autres médias" suggère M. Sarrazin au moment où la presse écrite, la radio et l'affichage craignent de voir leurs recettes baisser après l'arrivée de la grande distribution à la télé.
L'UDA veut aussi modifier les règles du jeu. "Nous souhaitons une libéralisation de l'espace publicitaire autorisé en télévision", affirme M. Noël. Un dossier qui sera ouvert en 2007, après les échéances électorales.
Source: LeMonde.
Ce billet, écrit à 07:37 par cédric dans la catégorie Publicité a suscité :
aucun commentaire
:: 106 trackbacks
Ipsos en est convaincu, le téléphone mobile va bouleverser en profondeur les méthodes d'enquête des instituts de sondages. L'entreprise en fait déjà bon usage pour ses enquêtes de terrain.
« Internet et le téléphone mobile sont en passe de révolutionner le recueil des données dans le secteur des études et des sondages », estime Oliviero Marchese, directeur des Opérations chez Ipsos. Troisième acteur mondial sur ce secteur, Ipsos anticipe déjà depuis plusieurs années le fait que la mobilité permette de se rapprocher du terrain.
Ainsi, l'institut d'études a-t-il équipé de téléphones mobiles ses enquêteurs pour certaines missions. La première a eu lieu au cours de l'été 2006 sur une soixantaine d'aires d'autoroute. Thème du sondage : la restauration sur les aires de repos. Quelque 5 000 entretiens ont ainsi été réalisés pendant 4 mois par 50 enquêteurs dotés de smartphones sur lesquels avait été installée une application mobile dédiée, Y-Survey.
Cette application permet aux enquêteurs de télécharger la liste des questionnaires à effectuer ainsi que les questions ajoutées en dernière minute. L'enquêteur réalise ses entrevues en cochant sur le mobile les réponses obtenues. Il peut même les enrichir par la prise de photos, le tournage de vidéos ou l'enregistrement de commentaires audio. À l'issue de l'enquête, les questionnaires sont adressés en temps réel à la base de collecte des données, via les réseaux sans fil EDGE ou GPRS.
« Le client de l'étude sur la restauration sur les aires d'autoroute a particulièrement apprécié le suivi régulier mené sur une étude aussi longue, la possibilité d'accéder aux résultats intermédiaires et de modifier le questionnaire et l'augmentation du nombre d'interviews rendue possible par l'usage du mobile. Sans compter que cette solution high-tech ne lui a pas coûté plus cher qu'un questionnaire sur papier », affirme Oliviero Marchese.
Les questionnaires bientôt envoyés directement sur les mobiles
Du côté de chez Ipsos, les gains sont nombreux également. De la remontée rapide des données au taux d'erreur très faible obtenu grâce à l'absence de saisie, en passant par l'accessibilité de l'outil facilement appréhendé par les enquêteurs, le déploiement et les mises à jour rapides des questionnaires, ou encore la possibilité de suivre le déroulement de l'étude au jour le jour.
Ipsos a depuis mis en oeuvre la solution pour de nouveaux sondages de terrain, notamment dans le cadre d'enquêtes dans des magasins de luxe des Champs Elysées, à Paris. « Les questionnaires ont été conçus en plusieurs langues et les touristes interviewés ont eux-mêmes répondu sur le mobile, précise Oliviero Marchese, car nos enquêteurs ne maîtrisent pas toutes les langues ».
La réalisation des études sur téléphones mobiles par les enquêteurs n'est pour Ipsos qu'une étape intermédiaire. La société imagine bien demain envoyer directement les questionnaires sur les téléphones portables des utilisateurs, sous certaines conditions.
« Si le mobile peut constituer une contrainte de plus dans la réalisation d'enquêtes téléphoniques de qualité, car il faut rechercher de nouvelles manières d'échantillonner, collecter et pondérer les informations obtenues et imaginer d'autres façons de questionner, cela ne doit pas occulter les opportunités qu'il recèle comme canal d'accès à l'individu en situation de mobilité », déclare Oliviero Marchese. « C'est un objet éminemment personnel avec lequel l'utilisateur entretient une relation intime ». Oliviero Marchese en est même persuadé : « les taux d'équipement sont tels aujourd'hui que le mobile va devenir le moyen le plus universel pour accéder à l'individu ! »
Source: News.
Ce billet, écrit à 07:30 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: un trackback
mercredi 3 janvier 2007
Orange annonce avoir passé le cap des 3,5 millions d'abonnés équipés d'un téléphone compatible avec ses services haut débit. Sur cette base, 400.000 visionnent au moins une vidéo sur leur mobile par mois. En 2006, l'opérateur a enregistré la consommation de plus de 13 millions de produits musicaux (consultations audio, vidéo ou radio, téléchargements de titres, sonneries et logos).
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 06:06 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 530 trackbacks
DoubleClick poursuit son recentrage sur la publicité en ligne. Il annonce en effet la vente d'Abacus, sa filiale spécialisée dans la gestion de base de données et d'outils analytiques à Epsilon, un prestataire marketing multicanal. L'opération, d'un montant de 435 millions de dollars devrait être finalisée au cours de ce trimestre. Abacus avait été acquis par DoubleClick en 1999 pour 1 milliard de dollars. Au début de l'année 2006, DoubleClick avait déjà vendu sa branche e-mailing à Epsilon pour 90 millions de dollars.
Source: JournalDuNet.
Ce billet, écrit à 06:02 par cédric dans la catégorie Marketing-CRM a suscité :
aucun commentaire
:: 731 trackbacks
Côte ouest de la Floride, à l'orée de l'an 2000. Jimmy Wales, 34 ans, mène une vie trépidante de courtier en Bourse et de patron du site Bomis.com, moteur de recherche qui héberge des contenus de divertissement, dont des photos érotiques.
Mais il a envie de créer l'encyclopédie du nouveau millénaire, sur Internet : "J'étais impressionné par le mouvement du "logiciel libre" fondé sur le bénévolat, l'entraide et le partage des connaissances, qui a produit les meilleurs logiciels du monde. Je voulais étendre ce concept au-delà de l'informatique, et créer une encyclopédie générale, gratuite et ouverte à tous, produite collectivement par les internautes intéressés."
Jimmy Wales pose des principes "non négociables" : obligation de rédiger les articles en respectant la règle de la "neutralité de point de vue" pour éliminer les textes militants ou tendancieux. Nupedia, son projet, séduit deux programmeurs ; il embauche un rédacteur en chef, Larry Sanger, 31 ans, docteur en philosophie. L'encyclopédie est hébergée sur les serveurs de Bomis. Un an plus tard, Nupedia n'a toujours pas décollé.
Les internautes qui envoient des contributions sont rares, le processus de validation des textes par des groupes d'experts lent et complexe. Wales et Sanger créent donc un second site fonctionnant grâce à un nouveau logiciel librement disponible et en vogue sur le Net, le Wiki ("vite", en hawaïen). Contrairement aux sites classiques, un Wiki peut être modifié à tout moment et à volonté par ses visiteurs : l'outil idéal pour le travail en commun.
Le succès de ce site baptisé Wikipedia, est immédiat : des milliers d'équipes se mettent à rédiger collectivement des articles sur tous les sujets, des plus sérieux aux plus futiles. Les textes sont corrigés, réécrits ou enrichis en permanence par des bénévoles enthousiastes. Les frictions entre auteurs sont innombrables, les conflits incessants, mais l'encyclopédie prend forme. Des versions en langues étrangères naissent sur tous les continents.
En 2002, Nupedia est abandonnée au profit de Wikipedia, que Jimmy Wales qualifie fièrement de "bazar absolu".
Larry Sanger, fidèle au principe d'une encyclopédie classique pilotée par des spécialistes reconnus, quitte le projet, et lance plusieurs sites rivalisant avec Wikipedia. Sans succès à ce jour.
Un an plus tard, le serveur de Bomis ne suffit plus à gérer le trafic de Wikipedia, qui se dote de serveurs dédiés, donc coûteux. Jimmy Wales en appelle aux internautes : pour que le projet reste gratuit et indépendant, il faut qu'ils lui adressent des dons. Pour être en règle, Jimmy Wales crée une Fondation à but non lucratif baptisée Wikimedia, domiciliée en Floride.
Chapeautant l'encyclopédie et les projets annexes, elle sera propriétaire des équipements, des fonds et de la marque. Aujourd'hui, Wikipedia est une institution mondialement reconnue, qui s'est imposée comme référence et outil de travail quotidien pour les internautes de tous les pays. Et Jimmy Wales vient d'annoncer, pour 2007, le lancement d'un moteur de recherche, Search Wikia, fonctionnant sur le modèle de Wikipedia.
Cette dernière reçoit plus de 350 millions de visiteurs par mois, ce qui la classe dans les dix premiers sites mondiaux. 300 serveurs dédiés sont installés en Floride, à Amsterdam et en Corée du Sud.
La seule version en anglais contient 1,5 million d'articles et s'enrichit de plus de 1 000 articles par jour. Wikipedia existe en 249 langues - en tête l'anglais, l'allemand, puis le français. Elle vit toujours grâce aux dons de particuliers et au mécénat d'entreprise. Alors qu'il s'établit à 50 000 dollars en 2004, son budget devrait atteindre 6 millions de dollars en 2007.
Au fil du temps, Wikipedia s'est dotée d'une structure fondée sur l'équilibre et le cloisonnement des pouvoirs. Certains des "wikipédiens" les plus actifs sont promus par leurs pairs au grade d'"administrateur" (ils éditent les nouveaux articles, surveillent les modifications, repèrent les auteurs débutants mal préparés ou les vandales). "Pour la version anglaise, ils sont un millier, explique Jimmy Wales. Ils sont indispensables. Ils font le boulot ennuyeux et fournissent un soutien logistique aux auteurs."
Il y a aussi les "bureaucrates" qui gèrent des petites communautés autour d'un projet local, les "stewards" qui règlent les problèmes d'organisation et de police interne, les "check-users" qui traquent les fauteurs de troubles pour les bannir et les "oversights" qui peuvent aller jusque dans les archives pour détruire un article diffamatoire...
Pour les conflits les plus aigus, Jimmy Wales a créé pour la version anglaise un comité d'arbitrage d'une douzaine de membres. Ses décisions sont sans appel.
D'autres pays l'ont imité, mais pas tous : les wikipédiens allemands soumettent les conflits insolubles au vote des utilisateurs.
Pour faire fonctionner cette énorme machine, la Fondation n'a que sept employés rémunérés ! Jimmy Wales se consacre aux relations publiques de Wikipedia (conférences, interviews, rencontres avec des responsables politiques, économiques et scientifiques)... Il rêve d'aller en Chine, où Wikipedia est interdit : "Nous avons une version chinoise très active, grâce à Taïwan et à Hongkong, et quelques auteurs sur le continent. Mais les autorités de Chine populaire font bloquer nos sites. Je vais aller à Pékin voir des responsables, leur expliquer qui nous sommes, comprendre pourquoi ils font ça."
Wales a aussi créé Wikia, société commerciale qui utilise le logiciel Wiki pour construire des communautés virtuelles de divertissement, sur les grands thèmes de la culture populaire américaine.
En septembre, il a cédé la présidence de la Fondation à Florence Devouard, une Française de 38 ans qui réside près de Clermont-Ferrand. Ingénieur agronome, passionnée d'informatique, Mme Devouard se consacre entièrement à son travail bénévole pour Wikipedia.
Elle a découvert Wikipedia en 2002, comme simple utilisatrice : "Je faisais des recherches sur la biosécurité ; les sites Internet étaient très tendancieux. Wikipedia fournissait des masses d'informations factuelles, de façon neutre, et mentionnait les diverses opinions. J'ai été séduite, je me suis mise à écrire des articles."
Lors de la guerre en Irak, elle découvre que les wikipédiens américains publient des informations très différentes des médias français et entreprend de leur fournir une autre vision des événements. Son rôle évolue : "Je me suis mise à dialoguer avec des auteurs pour leur apprendre la neutralité de point de vue, à ne pas trier l'information de façon partisane, à diversifier leurs sources."
Elle s'impose vite comme une médiatrice apte à trouver des compromis entre auteurs de tendance opposée : "Je les incite à se parler, à comprendre la logique de l'autre. C'est un combat de chaque instant, c'est parfois impossible, par exemple avec des sectes. Mais dans l'ensemble, ça fonctionne."
La nouvelle présidente s'est fixé des priorités : "Wikipedia a grandi très vite, c'est le foutoir ! Il faut établir des mécanismes de décision plus rapides puis rationaliser la gestion financière. Des grandes entreprises informatiques nous ont donné des paquets d'actions, que nous allons gérer pour dégager des revenus."
Elle souhaite aussi renforcer l'aspect international de Wikipedia : "Le nouveau conseil compte trois Américains et quatre Européens, c'est important. Nous devons nous ouvrir sur l'Afrique, qui représente moins de 0,1 % de nos connexions."
Mme Devouard souhaite aussi "faire le ménage" dans les contenus : "Un chanteur inconnu écrit un article sur lui-même en se présentant comme une grande star, en fournissant comme source son site personnel, ce n'est pas tolérable."
Pour elle, Wikipedia doit cesser d'abriter une masse d'informations "non significatives", qui s'appuient sur des sources "non fiables", comme les blogs.
En revanche, pas question de revenir sur le bénévolat, l'indépendance et la gratuité : "Dans les médias, on nous associe souvent au Web 2.0, la nouvelle génération de start-up, et certains s'imaginent que nous allons être rachetés par Google. Ils n'ont rien compris : nous ne sommes pas à vendre, nous sommes une organisation caritative internationale, comme la Croix-Rouge. Le "Libre" se répand, tout le monde devra faire avec."
Source: LeMonde.
Ce billet, écrit à 05:59 par cédric dans la catégorie technologie a suscité :
2206 commentaires
:: 129 trackbacks
Plus de 200 millions de SMS ont été envoyés pour souhaiter une bonne année au cours de la journée du 1er janvier, selon les données communiquées mardi par les trois principaux opérateurs français, Orange, SFR et Bouygues Telecom.
Sur la seule première heure de 2007, les clients d'Orange ont envoyé 24,8 millions de textos (contre 19,7 millions en 2006), ceux de SFR 11,5 millions (contre 10 millions) et ceux de Bouygues Telecom 8 millions (contre 6,5 millions).
Les trois opérateurs, qui avaient renforcé leurs équipes techniques pour l'occasion, n'ont noté aucun problème d'acheminement des SMS.
Chez Orange, premier opérateur français, 95,9 millions de SMS ont été envoyés lundi, soit une hausse de 20,3% par rapport aux 79,7 millions envoyés lors de la première journée de 2006. Entre 23H00 le 31 décembre et 23H00 le 1er janvier, la barre des 100 millions de SMS a même été franchie.
"Le Jour de l'An, le trafic SMS d'une journée lambda (entre 25 et 30 millions de SMS) est fait en une heure, entre minuit et une heure du matin", a indiqué un porte-parole d'Orange, notant un autre pic d'envoi entre 10H00 et midi.
Vers 00H10, un rythme de 10.000 SMS par seconde a été atteint, a-t-il ajouté.
De son côté, SFR a noté une hausse de 13,5% par rapport au 1er janvier 2006 du nombre de SMS écrits par ses clients, à 68,1 millions de textos. Sur une journée classique, entre 19 et 20 millions de SMS sont envoyés, a précisé une porte-parole de l'opérateur.
Enfin, le troisième principal opérateur français, Bouygues Telecom, a enregistré 39,4 millions de messages textes envoyés, en hausse de 41% par rapport à 2006.
Nouveau vecteur des voeux de bonne année, le MMS (Multimedia Message Service), qui permet d'ajouter photos et vidéos au message et qui est facturé plus cher par les opérateurs que le désormais classique SMS, a comme attendu connu un véritable essor le 1er janvier.
Orange a enregistré l'envoi de 450.000 messages multimédias entre 21H00 le 31 décembre et 08H00 le 1er janvier, soit une hausse de 30% par rapport à l'an dernier.
SFR a comptabilisé 925.000 MMS envoyés lundi, contre 850.000 messages il y a un an, tandis que chez Bouygues Telecom, le nombre de MMS et mails envoyés depuis les portables de ses clients a doublé à 594.000.
Source: News.
Ce billet, écrit à 05:44 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 643 trackbacks
« Walletex », ce nom vous dit peut-être quelque chose puisqu'il y a un peu plus d'un an cette startup dévoilait un produit assez original : la clé USB au format carte de crédit. Aujourd'hui, à quelques jours de l'ouverture du CES 2007 (Consumer Electronic Show), la firme s'inspire de sa première création pour dévoiler un nouveau produit baptisé « Walletex Wallet MP3 ».
Les plus perspicaces auront deviné qu'il s'agit d'un baladeur audio numérique au format carte de crédit. Certainement destiné à concurrencer des baladeurs d'entrée de gamme, comme les clés USB classiques et autres iPod Shuffle 2ème génération, ce produit particulièrement fin et compact est capable de lire des fichiers audio MP3. Il intègre un port USB double face (pouvant être connecté dans n'importe quel sens), qui est aussi employé comme connecteur casque via l'utilisation un adaptateur. Ce baladeur sera alimenté par une batterie miniature interne qu'il sera possible de recharger via l'USB
Ce baladeur sans écran devrait être proposé dans des capacités allant de 128 Mo à 2 Go et pourra être personnalisé, sur demande et moyennant finances, avec des photos et autres textes / slogans. Aucun prix n'a encore été annoncé et le produit ne devrait pas être disponible avant le mois de juin 2007.
Source: Clubic.
Ce billet, écrit à 05:34 par cédric dans la catégorie technologie a suscité :
38 commentaires
:: 1034 trackbacks
mardi 2 janvier 2007
Plus besoin de descendre au vidéoclub pour louer un film. Depuis plusieurs années déjà, il est possible d'accéder en permanence, grâce à Internet, aux films, dessins animés ou séries de son choix et de les regarder sur son ordinateur. Désormais, la même chose est possible aussi sur son téléviseur, la plupart des fournisseurs d'accès à Internet incluant ce service dans leurs abonnements à leurs "box", qui combinent l'accès à Internet, au réseau téléphonique et à la télévision.
Alors que les chaînes spécialisées, accessibles par câble ou par satellite, ne proposent leurs programmes qu'à heures fixes, la télévision par ADSL (liaison numérique haut débit) permet de louer des vidéos à n'importe quel moment du jour et de la nuit. Toutefois, pour avoir accès à ces services de vidéo à la demande, il faut d'abord pouvoir recevoir les émissions de télévision via le réseau de télécommunication.
Tout dépend ainsi de la distance qui sépare son domicile du central téléphonique. Plus on en est éloigné, plus le débit de la ligne (mesuré en mégabits par seconde) est faible et plus la réception des programmes de télévision sera mauvaise. Au minimum, il faut disposer d'un débit de 2,5 mégabits par seconde pour pouvoir louer une vidéo via l'ADSL chez Free. Certains fournisseurs, comme Neuf Telecom, voulant s'assurer de la meilleure qualité de service, exigent un débit deux fois plus important. Pour sa part, Club Internet demande 6,5 mégabits par seconde et Alice réclame 8 mégabits par seconde.
ÉTOFFER L'OFFRE
Cet impératif devrait néanmoins s'assouplir dans les prochains mois, au fur et à mesure que la nouvelle norme MPEG 4 - qui permet de compresser les programmes pour les diffuser via la Toile - sera généralisée. Dès à présent, déjà 10 millions de foyers sont en mesure d'avoir accès au service de télévision via l'ADSL et donc à la vidéo à la demande.
Une fois sûr que la liaison téléphonique offre un débit suffisant, il faut relier sa "box" à la télévision en la raccordant à un décodeur. Les branchements effectués, regarder des émissions devient presque un jeu d'enfant. En pianotant sur sa télécommande, le téléspectateur peut choisir son programme. Il peut ensuite le regarder comme un DVD : faire une pause, revenir en arrière ou accélérer la lecture du programme, à sa guise. La location dure généralement vingt-quatre heures, elle peut être plus longue chez certains fournisseurs (quarante-huit heures avec Alice) ou en fonction des programmes achetés.
C'est Orange qui fut le premier à ouvrir ce type de service, fin 2003. Si ce système a mis un certain temps à être adopté par le public, il commence à rencontrer le succès. En novembre, 150 000 programmes ont été loués. Free, de son côté, a ouvert son service de vidéo à la demande en décembre 2005. Au premier semestre 2006, il revendiquait quelque 40 % du marché, soit environ 750 000 programmes loués. Club-Internet à l'automne, Alice pour ses clients de Paris depuis la mi-décembre et Neuf Telecom le 20 décembre ont suivi.
"Aujourd'hui, ne pas proposer un tel service n'est pas discriminant dans le choix de son fournisseur d'accès à Internet, mais dans un avenir proche ce sera pénalisant", juge Eric Coffre, responsable télévision chez Neuf Telecom. L'essor de ces services devrait permettre aux fournisseurs d'accès à Internet d'augmenter leur chiffre d'affaires. La richesse des programmes proposés (de moins de 0,50 à près de 10 euros, selon le genre) est très variable. Orange propose environ 1 400 programmes dont un peu plus de 400 films. Chez Free, on assure donner accès à 1 000 films et à environ 2 500 programmes. Club Internet dispose de 1 000 programmes dont 350 films.
Pour que la vidéo à la demande prenne vraiment son envol, il faudra étoffer l'offre proposée aux clients. Selon les études disponibles, les abonnés qui peuvent avoir accès à ce service louent, en moyenne, un peu plus d'une vidéo par mois. D'ores et déjà, les fournisseurs d'accès à Internet réfléchissent à la mise en place d'un système qui permettrait aux particuliers d'acheter - et non plus seulement de louer pour quelques jours - les programmes qui les intéressent.
Source: LeMonde.
Ce billet, écrit à 07:14 par cédric dans la catégorie technologie a suscité :
aucun commentaire
:: 1042 trackbacks
Premier moteur de recherche avec près des deux tiers des requêtes des internautes, Google s'impose également comme le premier média de l'internet français. Selon deux études publiées fin décembre par des instituts de mesure d'audience, Google attire sur ses sites de 16.83 millions de visiteurs uniques (source Comscore Europe) à 18.7 millions de visiteurs uniques (source Médiamétrie).
Derrière Google, Comscore estime que le top 10 de l'internet français est dominé par Microsoft (15,39 M de VU), France Telecom (13,47 M VU), Free (12,12 M VU), Yahoo (10, 851 M VU), Pages Jaunes (10,758 M VU), eBay (9,6 M VU), PPR (8,9 M VU), Aprovia/01net (7,4 M VU) et Orbus/Skyrock (6,8 M VU).
Médiamétrie confirme Microsoft en seconde position (15,9 M de VU), mais place France Telecom (13,7 M de VU) devant Free (13,3 M de VU). Derrière on retrouve Yahoo (10,5 M de VU) puis PagesJaunes (9,8 M de VU), eBay(9,3 M de VU), Voila (7,6 M de VU) et Mappy (7 M de VU).
Quel que soit l'institut d'audience, Google attire désormais plus de la moitié des 28,3 millions d'internautes français sur ses pages chaque mois. A l'échelle internationale, l'audience globale de Google atteint désormais 475,71 millions de visiteurs uniques, ce qui le place devant son rival Yahoo, dont l'audience est de 475,26 millions de visiteurs uniques, mais encore derrière Microsoft dont l'ensemble des sites, qu'il s'agisse de la galaxie Windows Live ou de son site de support logiciel, atteint une audience globale de près de 502 millions de visiteurs uniques.
Source: NeteCo.
Ce billet, écrit à 07:00 par cédric dans la catégorie Search Marketing a suscité :
aucun commentaire
:: 648 trackbacks
L'institut NPD a publié son dernier rapport concernant la croissance du marché des smartphones aux USA pendant la période du mois d'octobre dernier. Il en ressort qu'il reste très dynamique, les smartphones représentant désormais 6% du marché total des téléphones mobiles.
Augmentant de près de 230% par rapport au moins de janvier 2006, ce sont ainsi 715 000 smartphones qui ont trouvé un acquéreur en octobre 2006 contre 216 000 un an auparavant. A l'occasion de la publication de ces chiffres, Neil Strother du NPD Group a précisé que « depuis quelques années, les opérateurs mobiles et constructeurs de terminaux espéraient que le marché des smartphones explose, permettant de mieux capitaliser sur la DATA par rapport aux possesseurs de téléphones mobiles traditionnels. »
Concernant les marques qui ont le mieux profité de ce fort engouement du marché des smartphones, il apparait que c'est le smartphone Motorola Q sous Windows Mobile qui a été le plus vendu au troisième trimestre 2006 aux USA. Il est suivi par les Palm Treo 650, Verizon Wireless XV6700, Palm Treo 700p et BlackBerry 8700. Ni Nokia, avec sa gamme de smartphone N-Series, ni HTC, leader en produits Windows Mobile, n'ont donc réussi à hisser l'un de leurs produits dans ce classement.
Pour le reste, il est à noter que le prix des smartphones à baissé de 10% en moyenne depuis janvier 2006 aux USA tandis qu'ils sont désormais plus nombreux avec des marques comme Motorola, Palm, Blackberry ou Nokia. Enfin, le NPD Group rapporte que les smartphones permettent d'augmenter sensiblement l'ARPU pour les opérateurs, leurs utilisateurs dépensant en moyenne $6,31 par mois lorsqu'ils en sont équipés contre seulement $0,89 lorsqu'ils possèdent un téléphone mobile classique.
Source: NeteCo.
Ce billet, écrit à 06:56 par cédric dans la catégorie Marketing Mobile a suscité :
aucun commentaire
:: 214 trackbacks
Revendiquant le statut de numéro 2 sur le marché de la vente privée avec plus de 2.5 millions de visiteurs uniques par mois, la société OLFO annonce une levée de fonds de 3.5 millions d'euros auprès de Edmond de Rothschild Investment Partners et OTC Asset Management
«AchatVIP s'inscrit dans une stratégie de développement articulée autour de trois sites internet : ADSLfacile.com, site comparatif d'offres haut débit, AchatVIP.com, site de ventes privées, et AchatFacile.fr, première galerie commerciale virtuelle en 3D. L'augmentation de capital va nous permettre d'asseoir notre position sur le marché tout en continuant à garder le même état d'esprit avec nos partenaires 'marques' et nos clients 'membres' en leur apportant en complément d'une expérience d'achat unique un futur Club renforçant l'esprit clubbing VIP .» expliquent Stéphane Guillemot et Olivier Le Floch, les deux fondateurs d'AchatVIP et de la société OLFO.
Selon un classement de l'audience des sites marchands français publié en mai dernier par Médiamétrie//NetRatings et la Fevad, près d'un quart des internautes (23,4%), soit 5 110 000 visiteurs uniques, a consulté au moins un des cinq premiers sites de ventes privées. Avec 3 685 000 visiteurs uniques et une couverture de 17%, c'est le pionnier Vente-privee.com qui dominait largement ce secteur, devant ses challengers AchatVIP.com (1 799 000 VU), SurInvitation.com (1 240 000 VU), EspaceMax.com (717 000 VU) ou encore linvitedesmarques.com (594 000 VU). En septembre dernier, Patrick Robin, l'un des pionniers de l'internet, s'est également lancé sur ce segment avec 24h00.fr.
Source: NeteCo.
Ce billet, écrit à 06:52 par cédric dans la catégorie Business a suscité :
63 commentaires
:: 654 trackbacks