L'actualité du Marketing Internet

L'op?ɬ�rateur mobile propose avec son nouveau forfait "Exprima 24/24" les appels illimit?ɬ�s vers les t?ɬ�l?ɬ�phones fixes, en plus des appels vers mobile. Pour le moment, ce forfait n'est disponible que jusqu'au 26 mars prochain. Il y a un an, Bouygues T?ɬ�l?ɬ�com avait d?ɬ�j?ɬ� lanc?ɬ� le forfait "Neo" proposant les appels illimit?ɬ�s vers les fixes, mais en soir?ɬ�e seulement.

Source: JDN.

Yahoo Search Marketing a lanc?ɬ� vendredi dernier une nouvelle tarification pour son syst?ɬ�me d'ench?ɬ�res de mots cl?ɬ�s. D?ɬ�sormais, il sera possible de r?ɬ�aliser une ench?ɬ�re minimale pour 0,05 euro, sur certains mots cl?ɬ�s, contre 0,10 euro auparavant. Le montant minimum d'ench?ɬ�res ?ɬ�tant fix?ɬ� en fonction des tendances de march?ɬ� du moment (la tendances Google XD).

Source: JDN.

Google travaille ?ɬ� la cr?ɬ�ation d'un nouveau format publicitaire vid?ɬ�o avec Sony et Warner Music. Google veut en effet profiter de l'essor de la vid?ɬ�o sur Internet pour d?ɬ�velopper ses ressources en mati?ɬ�re de mots cl?ɬ�s. En pratique, ses deux partenaires proposent des contenus vid?ɬ�os dans lesquels sont ins?ɬ�r?ɬ�s les mots cl?ɬ�s via son programme AdSense. Ces "cha?ɬ�nes", ?ɬ�tant ensuite reprises sur des sites Web. L'achat de mots cl?ɬ�s ne serait plus au coup pour mille (CPM), mais au co?ɬ�t par clic. Un test de ce type avait d?ɬ�j?ɬ� ?ɬ�t?ɬ� r?ɬ�alis?ɬ� par Google avec les sites de MTV Networks du groupe Viacom.

Source: JDN.

Le pr?ɬ�sident du directoire de Publicis, Maurice L?ɬ�vy, a d?ɬ�clar?ɬ� dans le Financiel Times que son groupe se devait de devenir un important fournisseur de contenus sur Internet. Pour ce faire, Publicis travaillerait d?ɬ�j?ɬ� sur un projet de portail et sur le d?ɬ�veloppement des sites de ses agences sur Internet. Selon lui, les parts de march?ɬ� des moteurs de recherche comme Google et Yahoo vont continuer de cro?ɬ�tre sur le secteur.

Source: JDN.

Selon Akama?ɬ�, le nombre de connexions sur les sites marchands a ?ɬ�t?ɬ� multipli?ɬ� par 2,5 le premier jour des soldes le 10 janvier. Un ph?ɬ�nom?ɬ�ne qui a surtout pu ?ɬ�tre observ?ɬ� entre 7h30 et minuit avec un pic ?ɬ� 21h00. Une enqu?ɬ�te de la F?ɬ�d?ɬ�ration de la vente ?ɬ� distance (Fevad) men?ɬ�e par Direct Panel montrait que 68 % des personnes interrog?ɬ�es d?ɬ�claraient avoir l'intention de faire les soldes sur Internet, contre 31 % en 2006.

Source: JDN.

L'essor de la t?ɬ�l?ɬ�phonie via internet, technologie baptis?ɬ�e voix sur IP, pourrait aiguiser en 2007 l'imagination des criminels informatiques, toujours ?ɬ� la recherche d'attaques diversifi?ɬ�es, pr?ɬ�viennent des sp?ɬ�cialistes de s?ɬ�curit?ɬ� informatique.

Alors que les virus sur t?ɬ�l?ɬ�phones mobiles commencent ?ɬ� appara?ɬ�tre, avec le d?ɬ�veloppement des appareils 3G, la t?ɬ�l?ɬ�phonie sur IP permet de num?ɬ�riser la voix, qui circule avec d'autres donn?ɬ�es sur un m?ɬ�me r?ɬ�seau, ce qui l'expose potentiellement ?ɬ� des risques informatiques.

Selon l'Autorit?ɬ� de r?ɬ�gulation des communications ?ɬ�lectroniques et des postes (Arcep), la France comptait fin juin plus de 4,8 millions d'abonnements ?ɬ� la t?ɬ�l?ɬ�phonie sur IP.

"Par essence, la t?ɬ�l?ɬ�phonie sur IP est ouverte et donc plus vuln?ɬ�rable" que la t?ɬ�l?ɬ�phonie traditionnelle, estime Eric Domage, sp?ɬ�cialiste s?ɬ�curit?ɬ� du cabinet d'?ɬ�tudes IDC.

Pour les entreprises, des attaques d'atteinte ?ɬ� la confidentialit?ɬ� et de d?ɬ�ni de service (saturation malveillante d'un serveur) sont envisageables, puisque tout est r?ɬ�uni sur le r?ɬ�seau de l'entreprise.

Les postes t?ɬ�l?ɬ�phoniques d'entreprise "deviennent des ordinateurs" et doivent ?ɬ�tre prot?ɬ�g?ɬ�s comme tels, affirme M. Domage.

"Toute nouvelle technologie va toujours g?ɬ�n?ɬ�rer un emploi malveillant et un risque sp?ɬ�cifique", estime Pascal Lointier, pr?ɬ�sident du Club de la s?ɬ�curit?ɬ� de l'information fran?ɬ�ais (Clusif). Cependant, il ne faut s'attendre ?ɬ� "rien de neuf" du point de vue des m?ɬ�thodes de piratage, ajoute-t-il.

Si les conversations entre particuliers ont peu d'int?ɬ�r?ɬ�t pour les pirates informatiques, le pourriel ("spam") et le "phishing" (fraude exploitant la na?ɬ�vet?ɬ� des internautes en les incitant ?ɬ� communiquer des donn?ɬ�es personnelles), ont d?ɬ�j?ɬ� trouv?ɬ� leur adaptation en voix sur IP, les fraudeurs pouvant une nouvelle fois jouer sur la cr?ɬ�dulit?ɬ� des victimes.

Ces nouvelles arnaques ont d?ɬ�j?ɬ� ?ɬ�t?ɬ� baptis?ɬ�es: le spit (spam over IP Telephony) et le "vishing" ("voice-phishing").

Sur le m?ɬ�me principe que le "pourriel", le spit est un coup de t?ɬ�l?ɬ�phone non d?ɬ�sir?ɬ� par le receveur, ?ɬ� qui on proposera des produits contrefaits ou l'achat d'actions, tr?ɬ�s en vogue dans les spams ?ɬ�crits.

Les objectifs sont identiques: saturer les messageries, faire perdre du temps aux victimes et attendre que quelques-unes tombent dans le panneau de l'arnaque.

La voix sur IP permet de g?ɬ�n?ɬ�rer un plus grand volume de communications pour un moindre co?ɬ�t. Selon des essais r?ɬ�alis?ɬ�s par une soci?ɬ�t?ɬ� sp?ɬ�cialis?ɬ�e, 1.000 appels d'une dur?ɬ�e de trente secondes peuvent ?ɬ�tre envoy?ɬ�s en cinq secondes, indiquait r?ɬ�cemment Vincent Maret, consultant s?ɬ�curit?ɬ� chez Ernst & Young, dans le cadre du panorama 2006 de la cybercriminalit?ɬ� du Clusif.

Le fait que le message soit lu et non ?ɬ�crit peut rendre son filtrage plus compliqu?ɬ�, estime-t-il.

Dans le "vishing", l'utilisateur tromp?ɬ� est orient?ɬ� vers un serveur t?ɬ�l?ɬ�phonique factice, par exemple de banque, et non un faux site internet comme dans le phishing, qui lui demandera des donn?ɬ�es confidentielles.

A ce jour, les attaques de masse restent de l'ordre du th?ɬ�orique. Seuls quelques cas limit?ɬ�s ont ?ɬ�t?ɬ� rep?ɬ�r?ɬ�s, et encore aucun en France, indiquent les sp?ɬ�cialistes interrog?ɬ�s.

Source: News.

La Chine, o?ɬ? un habitant sur dix est internaute, pourrait d?ɬ�tr?ɬ�ner dans les deux ans les Etats-Unis du premier rang mondial pour les usagers d'internet, un eldorado pour les investisseurs, mais aussi un d?ɬ�fi pour les autorit?ɬ�s en raison de la fracture num?ɬ�rique croissante.

D'apr?ɬ�s le dernier rapport du Centre d'information chinois sur l'internet (CNNIC selon son acronyme en anglais), la Chine comptait, fin 2006, 137 millions d'internautes, soit une progression de 23,4% par rapport ?ɬ� fin 2005, dont 104 millions utilisaient un r?ɬ�seau ?ɬ� large bande.

"C'est un bond important, signifiant qu'un Chinois sur dix est un internaute", a d?ɬ�clar?ɬ� le pr?ɬ�sident du Centre, Mao Wei.

"Apr?ɬ�s avoir d?ɬ�pass?ɬ� 10% (de taux de p?ɬ�n?ɬ�tration), l'internet chinois conna?ɬ�tra une p?ɬ�riode de croissance encore plus rapide", a-t-il ajout?ɬ�.

Le profil type de l'internaute chinois d?ɬ�fini par l'?ɬ�tude est un homme, c?ɬ�libataire, ?ɬ�g?ɬ� de moins de 35 ans, de formation universitaire avec un revenu mensuel inf?ɬ�rieur ?ɬ� 2.000 yuans (258 dollars). Il passe en moyenne pr?ɬ�s de 17 heures par semaine en ligne, contre pr?ɬ�s de 16 heures en 2005 et 8 heure et demie en 2001.

Pour un autre responsable du CNNIC, Wang Enhai, vu les rythmes de progression, la Chine deviendra rapidement le plus grand march?ɬ� mondial pour l'internet devant les Etats-Unis, o?ɬ? il y a actuellement 210 millions d'internautes.

"Nous pensons qu'il faudra deux ans tout au plus ?ɬ� la Chine pour d?ɬ�tr?ɬ�ner les Etats-Unis", a-t-il estim?ɬ�.

L'un des d?ɬ�fis sera de d?ɬ�velopper l'usage de l'internet dans les campagnes et dans les r?ɬ�gions de l'ouest d?ɬ�favoris?ɬ�es.

"Il existe une diff?ɬ�rence dans le d?ɬ�veloppement de l'internet en Chine entre les villes et les campagnes et entre les r?ɬ�gions", souligne le rapport du Centre, mettant en lumi?ɬ�re une fracture num?ɬ�rique.

La province du Guangdong (sud), la plus riche, figure au premier rang pour le nombre d'internautes avec 18,31 millions de personnes (13,4%), suivie des autres riches provinces de l'Est (Shandong, Jiangsu et Zhejiang).

Les taux de p?ɬ�n?ɬ�tration ?ɬ� P?ɬ�kin, Shanghai et Tianjin, sont respectivement de 30,4%, 28,7% et 24,9%, contre 6,8% dans le Qinghai, une r?ɬ�gion d?ɬ�favoris?ɬ�e du Nord-Ouest, et 5,8% au Tibet.

Cependant, souligne Huang Hui, directeur d'un centre d'?ɬ�tudes sp?ɬ�cialis?ɬ� sur l'internet ?ɬ� l'Acad?ɬ�mie des sciences sociales de Shanghai, la Chine est encore loin d'atteindre les Etats-Unis en terme de revenus.

"En ce qui concerne le commerce ?ɬ�lectronique, la Chine ne peut pas rattraper les Etats-Unis, car ils ont plus d'acheteurs en ligne, ils ont des syst?ɬ�mes de paiement s?ɬ�curis?ɬ�s et modernes et les cartes de cr?ɬ�dit sont largement utilis?ɬ�es", explique-t-il.

Malgr?ɬ� tout, les g?ɬ�ants de l'internet misent sur le d?ɬ�veloppement du march?ɬ� chinois, en d?ɬ�pit des vives critiques des associations de d?ɬ�fense des droits de l'Homme qui d?ɬ�noncent leur politique de collaboration au contr?ɬ�le politique du r?ɬ�seau par le r?ɬ�gime communiste.

Le cabinet IResearch pr?ɬ�voit une explosion du commerce ?ɬ�lectronique en Chine, de 5,6 milliards de yuans (721 millions de dollars) en 2005 ?ɬ� 46 milliards de yuans cette ann?ɬ�e (5,9 milliards de dollars).

Cependant, s'il y a un domaine o?ɬ? la Chine et les Etats-Unis se retrouvent, c'est dans la diffusion des "spams", les deux puissances ?ɬ�tant responsables de pr?ɬ�s de deux tiers de ces courriels ind?ɬ�sirables ou pourriels envoy?ɬ�s dans le monde en 2006 : 34,2% ?ɬ� partir des Etats-Unis, 31% ?ɬ� partir de la Chine, selon la firme de s?ɬ�curit?ɬ� Sophos.

Source: News.

Aller ?ɬ� un concert, prendre un train ou visiter un mus?ɬ�e pourrait devenir une exp?ɬ�rience de plus en plus high-tech, alors que les initiatives pour faire du t?ɬ�l?ɬ�phone mobile un billet ?ɬ�lectronique se multiplient en France.

SFR a lanc?ɬ� lundi la premi?ɬ�re billetterie de spectacles en France enti?ɬ�rement d?ɬ�mat?ɬ�rialis?ɬ�e sur mobile, qui permettra ?ɬ� ses clients d'acheter en ligne leur place de concert, puis de la recevoir par SMS.

L'op?ɬ�rateur a profit?ɬ� d'un changement de loi le 1er janvier: d?ɬ�sormais la distribution de tickets papier n'est plus obligatoire pour les spectacles et ?ɬ�v?ɬ�nements sportifs, "ce qui devrait permettre un d?ɬ�veloppement rapide de ce nouveau service", assure SFR.

Le mobile n'a pas attendu ce coup de pouce pour devenir billet virtuel dans les transports ou les mus?ɬ�es, o?ɬ? la version papier est facultative.

"Nous avons commenc?ɬ� ?ɬ� tester la d?ɬ�mat?ɬ�rialisation de tickets sur mobile en 2004 avec une soci?ɬ�t?ɬ� d'autocars en Savoie", raconte Emmanuel Guyot, pr?ɬ�sident de Digitick, start-up pionni?ɬ�re en France, qui se lancera en 2007 en Allemagne, en Belgique et en Suisse.

Pour s?ɬ�duire les technophobes, il fallait faire simple: le client envoyait un SMS ?ɬ� un num?ɬ�ro surtax?ɬ� pour recevoir un billet sous forme d'image ?ɬ� pr?ɬ�senter au contr?ɬ�leur.

Une fois le test r?ɬ�ussi, la soci?ɬ�t?ɬ� a courtis?ɬ� les salles de th?ɬ�?ɬ�tre et de concert, les festivals... "Aujourd'hui, notre catalogue comprend 600 concerts propos?ɬ�s en permanence, contre 300 il y a trois mois", explique M. Guyot, qui dit compter "plus de 20.000 clients".

La France n'est pas la seule ?ɬ� tenter l'aventure: Rome et Helsinki proposent des billets de bus sur mobile, des exp?ɬ�riences similaires sont men?ɬ�es en Suisse, en Australie et en Nouvelle-Z?ɬ�lande, tandis qu'?ɬ� Barcelone (Espagne), Telefonica permet de r?ɬ�gler sa place de cin?ɬ�ma par t?ɬ�l?ɬ�phone mobile.

Digitick propose au client d'imprimer son billet ou de l'envoyer, sous forme de code-barres, sur son mobile. Jusqu'?ɬ� la fin 2006, il devait quand m?ɬ�me se faire remettre un vrai billet ?ɬ� l'entr?ɬ�e de la salle, l?ɬ�gislation oblige.

De quoi freiner l'adh?ɬ�sion du public: "Seuls 10% de nos clients t?ɬ�l?ɬ�chargent le billet sur leur mobile mais cette proportion devrait passer ?ɬ� 40% avec le changement de loi", estime M. Guyot.

Avec la nouvelle l?ɬ�gislation, le ticket mobile devient plus s?ɬ�duisant: son code-barres, "infalsifiable" selon Digitick, est scann?ɬ� sur l'?ɬ�cran du mobile par les agents de contr?ɬ�le. Pour en b?ɬ�n?ɬ�ficier, nul besoin d'avoir un t?ɬ�l?ɬ�phone dernier cri: seuls une connexion WAP (internet mobile) et un ?ɬ�cran couleur sont n?ɬ�cessaires, des fonctionnalit?ɬ�s de base sur les mod?ɬ�les actuels.

Ce billet virtuel est propos?ɬ� par plusieurs mus?ɬ�es parisiens, dont Le Grand Palais et le mus?ɬ�e de l'Orangerie. Test?ɬ� sur les TER de la SNCF, l'?ɬ�t?ɬ� dernier en Bretagne, il est aussi exp?ɬ�riment?ɬ� par Orange, qui propose depuis peu aux supporters du club de football TFC Toulouse d'entrer dans le stade avec un billet enti?ɬ�rement mobile.

Mais, selon un porte-parole d'Orange, le code-barres n'est "pas assez fiable" ni "adapt?ɬ� ?ɬ� un d?ɬ�veloppement massif": il doit ?ɬ�tre limit?ɬ� ?ɬ� des initiatives locales.

Il mise plut?ɬ�t sur le paiement "sans contact", impliquant un mobile avec une nouvelle g?ɬ�n?ɬ�ration de puce ?ɬ�lectronique, un proc?ɬ�d?ɬ� courant au Japon et en Cor?ɬ�e du Sud: le billet est int?ɬ�gr?ɬ� dans la puce et s?ɬ�curis?ɬ�. "Le lancement commercial en France est pour 2008", dit-il.

Source: News.

Le groupe internet Yahoo! a vu ses b?ɬ�n?ɬ�fices chuter au quatri?ɬ�me trimestre et sur l'ensemble de 2006, malgr?ɬ� des ventes en hausse, en raison de d?ɬ�penses de publicit?ɬ� accrues et du co?ɬ�t des stock options distribu?ɬ�es ?ɬ� ses dirigeants, a annonc?ɬ� mardi le groupe.

Son b?ɬ�n?ɬ�fice net au 4e trimestre a chut?ɬ� de 60,7% ?ɬ� 268,6 millions de dollars. Sur l'ensemble de l'ann?ɬ�e, il a ?ɬ�t?ɬ� plus que divis?ɬ� par deux, ?ɬ� 751 millions contre 1,89 milliard un an plus t?ɬ�t.

Le groupe a aussi annonc?ɬ� des pr?ɬ�visions de chiffre d'affaires inf?ɬ�rieures aux attentes pour le 1er trimestre 2007 et l'ensemble de l'ann?ɬ�e.

En revanche, son chiffre d'affaires a augment?ɬ� de 13% sur le 4e trimestre et de 22,3% sur l'ann?ɬ�e, ?ɬ� respectivement 1,7 milliard et 6,42 milliards, dans les deux cas ?ɬ� un niveau nettement sup?ɬ�rieur aux pr?ɬ�visions des analystes.

Le b?ɬ�n?ɬ�fice par action non ajust?ɬ� a chut?ɬ� ?ɬ� 19 cents contre 46 cents, mais hors exceptionnels il s'est ?ɬ�tabli ?ɬ� 16 cents contre 13 cents il y a un an, alors que les analystes tablaient sur 13 cents.

Son b?ɬ�n?ɬ�fice d'exploitation a ?ɬ�t?ɬ� r?ɬ�duit par une forte hausse des d?ɬ�penses de marketing et de publicit?ɬ�, ainsi que par une tr?ɬ�s forte augmentation des charges li?ɬ�es ?ɬ� l'attribution de stock options, qui ont quasiment d?ɬ�cupl?ɬ� en 2006, atteignant 425 millions de dollars contre 52 millions en 2005. Cette hausse refl?ɬ�te toutefois un changement de comptabilisation de ces charges depuis le 1er janvier 2006.

Source: News.